Les transmutations biologiques du silicium organique

 

Ce texte est un témoignage pointu laissé suite à l'article Arthrose : la solution « silicium organique ». Il nous éclaire sur les propriétés chimiques et alchimiques du silicium organique.

 

 

Suite à votre message, je ne peux m’empêcher de vous transmettre le fruit de mes cogitations :

 

Transmutations biologiques et plaque d’athérome :

En faisant quelques recherches, je me suis aperçu que les résultats obtenus par Le Docteur Guenoun dans des pathologies aussi diverses, si elles avaient bien comme point commun l’élimination de la plaque d’athérome, ne devaient pour autant leur cause à chimie, mais à une véritable transmutation se produisant au niveau nucléaire des composants.

 

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Cela relançait bien sûr le débat sur le bien-fondé de la théorie des transmutations biologiques.
Les résultats ne pouvaient en effet pas s’expliquer par un seul échange localisé au niveau du nuage électronique.
Si l’on peut, pour cause de manque de reproductibilité des résultats, nier la réalité de la « fusion froide », on ne peut pas contester l’existence des transmutations biologiques. Il va sinon falloir expliquer comment un homard peut, sans absorber aucune nourriture, former sa carapace en moins de trois semaines ; comment des soudeurs peuvent être empoisonnés par de l’oxyde de carbone alors que l’atmosphère n’en contient aucune trace ; où les fruits secs arrivent à puiser leur surcroît de magnésium, de phosphore, de fer et de calcium sans aucune source extérieure contenant ces éléments ; comment l’avoine peut produire une telle quantité de calcium au point de rendre impropre à la culture en seulement quelques années le sol sur lequel elle a poussé.


Dans le même ordre d’idées, on s’est aperçu que des poules nourries avec des graines exemptes de toute trace de calcium mais riches en silicium parvenaient à produire des œufs. D’où venait alors le calcium constituant la coquille ?
Quand on sait que le nombre atomique du calcium est de 20, celui du silicium 14, on comprend qu’en fusionnant avec les protons d’un noyau de carbone (nombre atomique : 6) qui est le principal constituant de la matière organique, les protons d’un noyau de silicium peuvent donner naissance à un atome de calcium.
Il en va de même avec la fusion entre le magnésium (12) et l’oxygène (8) ; l’hydrogène (1) et le potassium (19).
Ces mutations à l’intérieur d’un organisme vivant semblent être plus efficaces que l’absorption directe de l élément faisant défaut, car on s’est aperçu qu’en nourrissant des poules avec une alimentation riche en calcium mais pauvre en silicium, elles pondaient des œufs « mous ».


Cela explique aussi pourquoi certains succès des médecines douces là où la médecine académique n’a donné que peu de résultats. Si une personne décalcifiée à qui l’on prescrit du calcium ne peut le métaboliser, elle se trouvera mieux de l’absorption d’une plante censée contenir du calcium mais également riche en d’autres éléments. Et les praticiens de médecine parallèle, face aux améliorations obtenues, n’auront pas fini de vanter la supériorité de la Nature sur la chimie, de prétendre que le calcium ne peut être absorbé que s’il vient d’une « source naturelle », alors que ce qu’il s’est passé en fait n’est rien d’autre que la fusion d’un AUTRE élément, également contenu dans la plante, avec un élément déjà présent dans l’organisme.
En fait, si le médecin avait prescrit le BON élément, chimique ou non, il aurait eu le même effet. Voilà à quoi tient le mythe de la supériorité des médecines « naturelles » sur la médecine orthodoxe.


Le seul avantage d’utiliser un élément naturel plutôt qu’une molécule chimique est que, du fait de la grande variété des substances contenues dans les plantes, l’organisme n’a qu’à se servir en choisissant celle qui convient le mieux au rétablissement de son équilibre.
Les détracteurs de la théorie des transmutations biologiques prétendent qu’elles violent la loi de Lavoisier sur la conservation de la matière. Au nom de cette loi, il ne saurait y avoir de création de matière au niveau des produits si les atomes la composant ne figurent pas au niveau des réactifs.


Mais si l’on se situe non au niveau des atomes eux-mêmes mais de leurs noyaux, on s’aperçoit que la loi de Lavoisier est respectée. Par exemple, les deux atomes d’azote (2N =7×2 =14) vont voir leurs protons fusionner puis se diviser en 6+8 pour donner de l’oxyde de carbone CO toujours égal à 14 protons.
La conservation de la matière, si elle n’est pas respectée à l’échelle atomique l’est incontestablement au niveau nucléaire.
L’utilisation d’un silicium absorbable (si : 14) semble être, en médecine, le choix idéal pour pallier aux insuffisances d’un organisme ou au contraire le débarrasser d’éléments en excès aux endroits où ils compromettent son intégrité. La raison en est dans la complémentarité idéale du nombre de ses protons avec les constituants essentiels du corps humain : le carbone (C : 6) et le calcium (Ca : 20)


Cela explique sans équivoque les résultats qualifiés de « miraculeux » obtenus avec le fameux silicium organique découvert par le chimiste Norbert Duffaut et commercialisé par Loïc Le Ribault sous le nom de G5.
Injecté par voie intramusculaire sous forme d’une solution ad-hoc, les résultats en seront encore plus spectaculaires. Le plus notable est celui de l’élimination de la plaque d’athérome par la réaction Ca – Si (20 – 14 = 6). L’artère solidifiée par le calcaire, voire littéralement transformée en matière calcique avec le temps, va retrouver sa constitution originelle (C +H2O), celle de tous les matériaux organiques à l’exception des os.


Lorsque d’autre part on prend connaissance de la composition chimique du corps humain, on s’aperçoit que si le carbone avec ses 18% occupe la première place de la matière solide, le silicium présente la caractéristique de ne figurer qu’à l’état de trace infime.


http://www.lenntech.fr/francais/data-perio/taux-elements-corps-humain.htm


On note cependant qu’il figure malgré la faiblesse de son taux parmi la catégorie des composants et non celle des enzymes. C’est d’ailleurs l’unique élément se trouvant non seulement à l’état de trace infime mais de trace pure et simple qui est classé dans la liste des composants, les autres à l’état de trace étant des enzymes.


On peut tirer deux conclusions de ces observations :


La première est que le silicium est le seul composant de l’organisme se trouvant à l’état de trace, les autres composants étant tous quantifiés en pourcentage dans le tableau dont le lien figure ci-dessus.


La seconde est qu’il se trouve avec le carbone dans la 14eme colonne du tableau périodique de Mendeleïev, qu’à ce titre il comporte une capacité de liaison optimale (4 valences) avec les autres atomes au niveau électronique. (Cette condition est déclarée comme essentielle pour qu’une réaction nucléaire entre deux éléments puisse avoir lieu.)


La troisième, que son nombre atomique (14) se prête idéalement aux réactions nucléaires en plus ou en moins avec les composants essentiels du corps humain, le carbone par la réaction 14 + 6 = 20 pour former le calcium des os, l’oxygène pour produire du carbone (14 – 8 = 6).


Le silicium présente la particularité de figurer dans la liste des traces infimes des principaux composants du corps humains tout en n’étant pas un enzyme mais un élément à part entière. On peut se demander s’il n’est pas plus abondant si ce n’est parce que sa plus grande partie n’est pas aussitôt transmutée par l’organisme en un élément plus essentiel à son intégrité. C’est également le même rôle joué par le lithium en géologie. Ce dernier est un des éléments les plus rares car, ne comportant que sept nucléons et un nuage électronique très faible, il lui est plus facile de les céder à un autre élément pour accomplir une transmutation.


http://www.fulcanelli.info/alchimie-fusion-froide-3.html


De même, le silicium ne se trouverait dans l’organisme qu’à l’état de trace infime du fait que la plus grande partie absorbée aurait servi à la transmutation en calcium par combinaison nucléaire avec le carbone.


En résumé, le silicium organique semble présenter toutes les caractéristiques nécessaires pour favoriser la formation des tissus de l’organisme ainsi que l’évacuation de ceux qui s’y trouveraient en excès. Cela explique le succès récemment rencontré par les produits en contenant dans le cadre des suppléments alimentaires, ainsi que les « miracles » observés dans les traitements du docteur Guenoun et dont ses nombreux patients ont pu témoigner.

 

Sylvain PAFUMI

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