- Buvez un litre d'eau de Contrexéville en bouteille et, comme le dit la publicité, vous éliminerez, mais par une diurèse d'élimination. En fait, il y a plus exactement un effet de rejet du corps qui
ne peut assimiler 2 000 mg de carbone de calcium (plâtre) au litre. Et comme le dit Rudolph Steiner, père de l’anthroposophie : « La substance qui n'est pas active doit être éliminée, sinon elle est
un facteur de maladie ». C'est l'écharde dans le pied ! (P.87)
- Il faut savoir que les eaux minérales sont les seuls médicaments vendus sans aucune contre-indication. Et là les exploitants d'eaux minérales jouent sur les deux tableaux. D'un côté ils se
prévalent d'un label quasi médical, qui devrait être assorti d'une stricte limitation, et d'un autre côté poursuivent une politique de promotion commerciale très agressive, parfois malhonnête,
exactement comme un produit de grande consommation.
Ce label « d'eau minérale » est un label concédé par l'Administration en raison des vertus médicales, vraies ou supposées, reconnues par l'Académie de Médecine.
Mais cette « eau vivante » captée à sa source et mise en bouteille, n'est plus qu'une eau morte sur la table du consommateur.
Ces eaux minérales ne peuvent avoir une action que si elles sont prisent à la source, à l'émergence, au griffon et à condition que la cure ne dépasse pas 21 jours. (...) (p 88-89)
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Marcelle B (vendredi, 14 janvier 2022 15:10)
L'EAU Le miracle oublié (Jacques Collin)
- Buvez un litre d'eau de Contrexéville en bouteille et, comme le dit la publicité, vous éliminerez, mais par une diurèse d'élimination. En fait, il y a plus exactement un effet de rejet du corps qui ne peut assimiler 2 000 mg de carbone de calcium (plâtre) au litre. Et comme le dit Rudolph Steiner, père de l’anthroposophie : « La substance qui n'est pas active doit être éliminée, sinon elle est un facteur de maladie ». C'est l'écharde dans le pied ! (P.87)
- Il faut savoir que les eaux minérales sont les seuls médicaments vendus sans aucune contre-indication. Et là les exploitants d'eaux minérales jouent sur les deux tableaux. D'un côté ils se prévalent d'un label quasi médical, qui devrait être assorti d'une stricte limitation, et d'un autre côté poursuivent une politique de promotion commerciale très agressive, parfois malhonnête, exactement comme un produit de grande consommation.
Ce label « d'eau minérale » est un label concédé par l'Administration en raison des vertus médicales, vraies ou supposées, reconnues par l'Académie de Médecine.
Mais cette « eau vivante » captée à sa source et mise en bouteille, n'est plus qu'une eau morte sur la table du consommateur.
Ces eaux minérales ne peuvent avoir une action que si elles sont prisent à la source, à l'émergence, au griffon et à condition que la cure ne dépasse pas 21 jours. (...) (p 88-89)