La première semaine du moi de mars, j'ai crevé avec la voiture, pneu arrière droit. La voiture étant mon corps, ma vie, le coté droit le masculin et l'arrière le passé. Le masculin me fait perdre de l'énergie (l'air du pneu) voir même me met a plat, il veut me maintenir dans cette ligne de vie, ne veut pas de changement.
La crevaison était du à la perforation du pneu par un vis à placoplatre.
Expression familière du vis : Pièce comportant une partie filetée et une tête permettant de... ''Donner un tour de vis, serrer la vis à quelqu'un ''.
Le placoplatre sert d’isolant. Isoler, éloigner (de mes besoin), diviser.
Le mari avait réparé avec une mèche, cela na pas tenu longtemps, il a du aller au garagiste. (il avait trop enfoncé la mèche). Malgré son envie de me retenir, presque de se plier a tout mes besoin, je me sens mal quand même.
J'ai acheté un paquet de gâteaux, arrivé chez moi, je voie que la marque est '' le moulin de pivert ''. Encore je pensais en avoir fait le tour. J’habite dans le village de Puivert, dont on entend 'le puit vert' . J'ai passé beaucoup de temps a chercher sur ces deux mots, et aucun puisatier (a ma connaissance ) dans la famille.
Qu'est-ce que vous voulez dire ?
Bien sur c'est sans compter avec le ''hasard'' de la vie.
Vue les limitation de vitesse qui fleurissent un peut par tout, on a le temps de voir le paysage et par fois de lire les panneaux, et oui même les petits bien caché parmi d'autre. Celui ci était écrit ''pont vert'', dans mon interprétation a ce moment là, j'ai put lire le pont vers, le pont qui mène vers un autre lieu. Mon point de chute actuelle n'est pas mon lieu de fin. Mais alors ou dois je aller ? (ou oie aillé)
On reprend les même personnage, on recommence les mêmes histoires et ces parti : Voir le texte, témoignage 448 ''la claque".
Ma sœur M, me téléphone pour que l'on puisse se voir et ce en cachette avec la complicité de son médecin spécialisé qui a bien senti qu'elle ne supporte pas cette coupure (on ne se voie plus et ce téléphone plus depuis bientôt un an).
Rendez vous pris. On s'arrange pour ne pas croiser la belle famille, et le Dr peut commencer la séance.
Ce qui en ressort c'est qu'elle est prise de culpabilité à dire stop à son compagnon, qui la maintien dans cette incapacité de prendre des décisions par elle même.
Toujours mon miroir.
La semaine d'après :
Je me dépêche d'avaler le déjeuner car ainsi je peux aller au courses de bonne heure, le mari ne reviendra manger que plus tard. Je suis énervée, car en réalité, j’essaie d'éviter de le croiser. Car il m'arrive souvent que je ne parle pas, n'osant pas m'exprimer. Je comprend qu'il est difficile de concevoir la façon de voir les vrais chose de cette vie. C'est toujours cet alter qui défend, compatis, victime/bourreau.
Je part vite, alors que j'ai tout l'après midi de libre, en chemin l'ordinateur du véhicule me signale qu'il faut vérifier la pression des roues, je suis contrainte d'attendre devant le garagiste jusqu'à 14h, alors que je voulais faire les courses entre midi et deux.
Non, ces pas vrai j'ai pas encore crevé ! A première vue, aucun pneu n'est à plat.
Toute cette agitation donnait de l'énergie a mon prédateur et m'a montré le problème.
Coupe !
Heureusement dans la boite à gant, un livre est toujours là au cas ou. J'avais écrit un lit au lieu du livre, la lecture passionnante de Castanéda ma procuré l’apaisement et la mise en évidence de cet alter, (aussi efficacement qu'une petite sieste).
Le garagiste regarde attentivement les pneus, se pose la question, pourquoi la réparation de la dernière semaine n'aurais pas tenu ? Rien, il na rien trouvé à aucune roue. Remise en mémoire de la pression des pneu et c'est parti pour les courses.
Sur le chemin du retour, ma sœur me laisse un message sur le téléphone :
Elle m'explique brièvement, qu'elle a dit a son copain qu'elle veut me téléphoner ceux qui met ce dernier dans une grande colère. M me dit qu'elle me contactera plus tard pour que je puise appeler son conjoint.
J'y crois pas, elle veut que je demande la permission a son copain de pouvoir téléphoner à ma sœur !
Après réflexion : Le pneu soit disant ''a plat'', prise d'énergie du prédateur du à la /mes fuites d'accepter de regarder mes besoin, de parler, d'acter.
Qui par effet miroir de ma sœur, le même jour, met à jour le fait que j’attends aussi le consentement du conjoins pour accepter de vivre MA VIE.
Culpabilité de faire (souffrir) autrui le mari, les enfants, (la famille) ….
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