Bonjour l'équipe,
Après plusieurs mois d'expériences karmiques vécu en groupe (c'est douloureux en effet, même si cela implique une guérison), voici mon premier texte correspondant à la connaissance que j'arrive enfin à pouvoir extraire aujourd'hui et que j'aimerais partager au Réseau :
Les relations au sein d'un groupe et d'un couple peuvent être à la fois co-évolutives et co-créatrices.
Les relations de co-dépendance impliquent des schémas de domination/soumission bien qu'elles soient également co-évolutives et éventuellement co-créatrices.
A partir du moment où les personnes acceptent de reconnaitre leurs propres schémas de domination/soumission par l'observation et la communication désidentifiée de l'ego, elles deviennent capables de changer leurs propres comportements.
Les relations de co-dépendance se transforment alors en relations où chacun est à la fois autonome et en évolution, et éventuellement co-créatif.
Ces relations sont basées sur le don sans attente de contrepartie et la connaissance acquise par l'intermédiaire de l'expérience de groupe.
Plus les membres d'un couple ou d'un groupe acceptent d'appliquer à eux-mêmes la connaissance acquise à travers l'expérience de groupe, plus le potentiel évolutif et créatif du groupe augmente.
Bon j'imagine que pour vous ce soit être une Lapalissade mais je suis heureux tout de même d'arriver à partager avec vous le fruit de mes expériences. Je sais que vous préférez sûrement un témoignage vis à vis des détails de la reconnaissance de mon prédateur, mais je suis pas encore capable d'exprimer ceci car j'ai il est un fin manipulateur au service de lui-même, et j'ai encore beaucoup à apprendre de lui.
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Rajout de la part de Romain :
Quand une personne du groupe est dans le déni de la reconnaissance du prédateur, et que donc elle ne veut pas se rendre compte, ou accepter la possibilité que ses comportements soient celui du prédateur, j'ai pu discerner plusieurs façons d'être dans cette situation.
- La première façon d'être est de communiquer de la manière la plus claire et directe possible pour que l'autre puisse se rendre compte et comprendre que son comportement est celui du prédateur.
Lorsque le déni du prédateur est trop ancré par rapport au comportement en question, l'émotionnel peut commencer à prendre le dessus et je peux rentrer moi-même dans le jeu émotionnel c'est à dire dans le jeu des prédateurs sans m'en rendre compte.
Lorsque je m'en rends compte, c'est une belle opportunité pour apprendre de l'expérience et découvrir un programme du service de soi encore actif chez moi et dont je n'avais pas encore pris conscience : le sauveur, le prêcheur, etc.
- La deuxième façon d'être est lorsque je sais d'avance qu'il n'y a pas de communication possible, car l'autre n'est pas encore prêt à considérer la possibilité d'être manipulé par un ou des alters prédateurs.
Dans ces situations il a suffit que je m'en remette à ma capacité à détecter lorsque la personne est à la recherche de mon consentement pour me prendre de l'énergie. Et de me servir de l'expérience pour tourner mon regard à l'intérieur afin de vérifier que le comportement prédateur que je détecte chez l'autre n'est pas le reflet d'un programme du service de soi encore actif chez moi, et que donc je ne suis pas encore dans le déni de me comporter de cette manière à mon tour dans d'autres situations.
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