Salutations à toute l'équipe.
Je continue à partager. Ce matin, ma collègue a amenée sa fille au boulot. Sa fille ce nomme Faith. Le message de mon féminin est clair. Je dois avoir la foi.
Avant de débuter mon partage, je veux simplement vous dire merci pour tout ce que vous faites. Le réseau Léo m'aide véritablement et j'en suis reconnaissant. Je côtoie la solitude depuis un bon moment et même dans mes relations actuelles. Le réseau Léo est réellement une force de soutient dans ma vie et cela m'aide à avancer vers l'inconnu.
Lors de mon dernier témoignage, j'ai mentionné que j'actais le départ de mon boulot. C'est fait. Mon départ est prévu au premier janvier. La gestion de se royaume est terminé. Mes actions doivent suivre mes écrits. Pour l'instant, je suis à l'écoute de ma guidance pour qu'elle me dirige là où j'ai à être et vivre l'expérience qui EST. Un signe était présent sur le derrière d'une voiture. J'ai jamais vu cela sur une voiture. Il y avait un X fait à la main et un autocollant qui disait : Le Saint-Graal. Il était de couleur argenté. Pour le moment, je ne sais pas trop quoi faire avec cela. L'information viendra au bon moment. Je lâche-prise.
Quand Ophélie rime avec pédophilie !
Je suis le frère aîné. J'ai deux sœurs plus jeunes. La plus vieille des deux a eu un garçon et une fille. Lors de la naissance de sa fille, ma sœur et son copain ont fait le choix de me nommer parrain. J'étais pas vraiment en accord avec cela mais j'ai laissé cela se faire. En vérité, j'assiste à aucun de ses anniversaires car je ne crois pas en cela. C'est pour cela que j'étais réticent à être parrain. Je ne serai jamais la vision du parrain qu'ils aimeraient que je sois pour leur fille. Ils ont accepté que j'étais ainsi et je suis quand même le parrain en ce moment. Graduellement, cette enfant a grandit. Elle est devenue capable d'entrer en dialogue avec son entourage. Son nom est Ophélie. Son prénom est la piste qui m'a amener à faire l'identification de l'un de mes alters. L'identification de l'alter a eu lieu récemment mais cela c'est fait sur plusieurs années. J'ai réussi à faire les liens un soir pendant que je lisait un livre. Ce livre s'intitule Mk - Abus rituels et contrôle mental de Alexandre Lebreton.
J'écris ce texte au boulot présentement. Il est 14h23. C'est bizarre ! Les appels téléphoniques sont au point mort ainsi que les courriels. Je me sens sur une fréquence plus élevée pendant la rédaction de ce courriel. Mon boulot est dans le domaine du chauffage hydronique. On est en plein hiver ici et au Québec.
Un jour, Ophélie est de passage chez mes parents. Je suis dans le sous-sol chez mes parents. Je fais du yoga. Elle décide de venir me jaser pendant mes exercices de yoga. Elle me parle de son vagin et du pénis des garçons. Elle me parle d'anatomie. Elle a continuellement l'entrejambe grand ouvert et on voit ses sous-vêtement. Je me sens pas à l'aise. Je sens qu'il y a un message mais je ne vois pas encore.
J'ai toujours été à l'aise avec les enfants. Ma mère avait un garderie à la maison lorsque j'étais plus jeune. J'étais même celui qui devait prendre la relève quand ma mère avait des courses à faire. J'avais à peine 14 ans. J'ai aidé un enfant qui s'étouffait en même temps que je devais m'occuper des autres enfants. J'avais aucun cours en premier soins. J'étais seul aucun adulte. D'où venait cette maturité ? Je ne le sais pas.
Pourquoi j'étais mal à l'aise avec la nudité d'un enfant alors que j'ai jamais ressenti cela avant ?
Un autre jour, je suis encore dans le sous-sol de chez mes parents. Ophélie est présente, Elle est de passage avec sa mère. Elle décide de venir me voir dans le sous-sol. Je suis assis sur le divan. Elle vient me rejoindre avec un jouet. Le jouet est une cuisinière pour enfant et elle me demande ce que je veux manger. Elle s'amuse à cuisiner ce que je lui demande et je fais semblant de le manger. Je joue son jeu avec elle. Je fais un mouvement pour la toucher car on s'amuse. Elle me dit d'un façon inhabituelle de ne pas la toucher. À ce moment, je me suis sentie comme si j'avais fait un attouchement sur un enfant. Je sais très bien que la scène est uniquement là pour me faire prendre conscience de quelque chose qui provient d'une autre ligne temporelle.
J'avais l'habitude de me rendre au parc de mon quartier. Je suis électro-sensible. Je me rendais dans ce parc pour m'y ressourcer. C'était l'endroit où il y avait le plus d'arbres dans le quartier. Il y avait souvent des familles. Les enfants jouaient. J'avais toujours la sensation d'être une menace comme si j'étais pas le bienvenu. Je ne comprenais pas pourquoi je ressentais cela. Je sentais de la honte et un dégoût envers moi-même. Je m'identifiais à cela mais c'était mon alter.
Récemment, je lisais en soirée le livre Mk - Abus rituels et contrôle mental de Alexandre Lebreton. C'était éprouvant et difficile. Mes parents gardaient Ophélie et son frère. Pendant la soirée, Ophélie s'amusait avec mon père sur le divan. La scène était bizarre et intérieurement je bouillonnais. Elle criait. Elle disait continuellement sauvez-moi. Ils se donnaient des coups de pied pour s'amuser sur le divan. J'arrivais plus à lire. Je voulais juste lire.
J'ai voulu intervenir. J'étais debout et Ophélie me regardait. Elle disait : ce n'est pas ma faute c'est grand-papa ! J'avais juste envie de la prendre et de la déplacer sur l'autre divan là où était sa grand-mère. J'ai rien fait car j'étais vraiment trop en colère. J'ai réalisé que quelque chose réagissait en moi. J'aurais été trop agressif dans le moment si j'étais allé la séparer de son grand-père. J'ai choisi d'aller voir ce qui se passait à l'intérieur au lieu. Soudainement, je lisais des extrait du livre qui parlait de la pédophilie. À l'intérieur de moi, c'était évident Ophélie-Pédophilie. Le prénom de la fille de ma sœur est dans le mot pédophilie. D'un coup, j'étais conscient de la vie de cet alter.
Mon alter n'a rien fait alors qu'il aurait pu stopper cela. Mon alter n'a rien fait alors qu'il aurait pu stopper l'abus sexuel qu'il y avait sur des enfants. Il avait la trouille des répercussions d'un groupe qui s'adonnait à ce genre de chose. Il pouvait entendre le viol de ses enfants, mais il n'est pas intervenu à cause de sa peur. Cet alter avait honte de lui. Il avait un dégoût de lui-même. Il était en colère envers lui-même d'avoir laissé sa peur le dominer. L'intégration de cet alter est vraiment difficile. Les sensations que je ressens en mon corps physique ne sont vraiment pas agréables. Ma leçon est : intervenir lorsque c'est juste d'intervenir en respectant le libre arbitre et les leçons de vies d'autrui. Surtout, ne pas laisser ma peur me dominer.
Je continue un pas à la fois. J'avance !
Bienvenue dans mon intimité !
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Suy (lundi, 25 novembre 2019 10:57)
Je n'ai pu m'empêcher de rire :) : on est bien tous, avec nos alters, tiens ! Le mien psychopathe, le vôtre pédophile, d'autres encore super hard ! Ils ne nous font pas de cadeaux ! En tout cas, l'égo (le Prédateur) en prend un coup ! Il est démasqué... et toujours plus ! Ce qui nous rend bien moins manipulables...
Bonne quête à tous pour débusquer chacun de ces petits monstres (qui se leurrent en imaginant que nous nous identifierons ad vitam aeternam à eux !)
Florian Robert (samedi, 21 mars 2020 18:17)
Bonjour Marc-André et Suy,
Je viens de lire ton témoignage poignant et il me fait vraiment réagir intérieurement. Ayant moi aussi lu des ouvrages sur MKUltra ainsi que sur le satanisme institutionnel - au départ uniquement pour comprendre les racines de la "domestication moderne" de l'humain par son élite, puis à titre "vraiment personnel" (cf. infra), je suis en résonance avec ce que tu écris.
Étant écrivain amateur, j'ai connu une période entre 2013 et 2016 - lorsque j'étais en études d'anglais - où la prédation s'en est donnée à cœur joie pour me pomper énergétiquement, en plus de m'injecter continuellement des pensées immondes, lesquelles ont fini par déteindre sur l'univers que je dépeignais dans mes ouvrages sans que je réussisse à juguler (je vivais une forme d'impuissance, un peu comme toi avec ta filleule mais différente). Et bon nombre de ces scènes étaient érotiquement chargées, quand elles ne tombaient pas dans une forme de perversion dont la pédophilie n'était pas absente - c'est là ce à quoi me ramène ton partage.
Parmi ces scènes que je voyais dans ma tête se répéter (j'insiste ! J'en voyais jusqu'à vingt à trente par jour), beaucoup étaient de l'amour de couple au sens classique, le fait de "tirer un coup", de se "soulager les bourses" jusqu'à éjaculation du mâle/mal. Le souci est que ces scènes coexistaient avec d'autres, toutes d'inspiration pédophile, injectées par la prédation afin de saper le peu de confiance en moi que je parvenais à bâtir. Elle se servait notamment de mon traumatisme contracté dans l'enfance vis-à-vis d'un film Disney, Le livre de la jungle, en particulier les deux scènes d'hypnose de Kaa dont la tournure pédophile est plus qu'évidente (surtout la deuxième fois où Kaa chante "Aie confiance, crois en moi", la voix de Roger Carel n'arrangeant rien !). La vibration vile, pour ne pas dire satanique, était évidente.
Pour une raison que j'ignore et qui paraît sans rapport, j'ai eu le même effet en essayant de pratiquer certaines langues étrangères, notamment le portugais - mais pas l'espagnol ni l'italien. J'avais aussi remarqué assez vite que je ne supportais pas toute évocation de l'occultisme, que ce soit Aleister Crowley ou Anton Lavey, que le livre d'Alexandre le Breton me faisait littéralement tressaillir et que l'hypnose en général - manipulation mentale aujourd'hui légitimée par le New Age - provoquait en moi une peur bleue, jusque dans les dessins animés ou dans une banale description du dictionnaire. Tout cela me fait dire qu'une de mes vies - un de mes alters - aurait eu lieu au Portugal et aurait eu à voir avec le satanisme (?).
Bref, tout cela pour dire que les prédateurs ne reculent devant rien pour nous placer face au pire, y compris aux vies parallèles, comme le dit si bien Suy. L'expérience que tu relates avec Ophélie et son grand-père me communique une sorte d'impuissance et de culpabilité qui me ramène à la mienne, à celle dont la prédation se nourrit. Raison de plus pour être vigilant en permanence : cela permet de démasquer la prédation et de neutraliser ses mécanismes. Pour ma part, je t'avoue qu'il m'aurait été difficile de ne pas vouloir intervenir aussi dans une telle situation.
Florian.
Marc-André G. (mardi, 24 mars 2020 21:30)
Bonjour Florian,
Merci pour ta réponse. Présentement, je travaille intérieurement à débusquer mon prédateur. J'utilise la méditation le soir pour l'observer objectivement en mon psychisme tout en observant les sensations qui se manifestent en mon corps quand mon attention est dirigée sur lui. C'est pas agréable mais le travail est nécessaire ! Il se passe des choses à l'extérieur (bulle de perception) quand je fais cela et la nuit dans mes rêves. Vive l'apprentissage !
Ce texte m'a inspiré :
https://fr.sott.net/article/35041-Le-virus-du-wetiko-La-plus-terrible-des-pandemies-connue-de-l-humanite
Bon courage et En-Quête !
Florian Robert (jeudi, 26 mars 2020 22:28)
Bonsoir Marc-André,
J'ai lu l'article dont tu m'as envoyé le lien. C'est fou ce qu'il décrit à merveille ce que j'essayais de rendre dans mon tout premier témoignage Une entité interfère avec mes processus mentaux (N°520). En tout cas, merci car cela me redonne de la matière pour travailler sur moi-même, SOTT étant une bonne référence mais très vaste.
Je dois t'avouer une chose : je suis incapable de méditer. La raison en est simple : je ne tiens pas en place, il faut toujours que je bouge. Par contre, j'arrive souvent à "m'observer" de l'extérieur, à regarder en moi mes "mouvements psychiques" comme j'observerais des programmes tourner sur des écrans d'ordinateur. Cela fonctionne... les trois-quarts du temps. Mais la prédation se niche aussi dans la rationalité, dans le raisonnement, même s'il lui est plus difficile de le manipuler (?)
Je te souhaite une bonne continuation dans ton en-quête.