Je réalise que tout est équilibre dans l'univers que cela soit à l'infiniment petit qu'à l'infiniment grand, ce qui est pareil en terme d'énergie.
Ce monde duel met en avant cette vérité dans notre expérimentation. Pour se défaire de cette dualité, il faut accueillir ces 2 parts(duelles), ce qui les annulera. Moins un, plus un font zero. Comme le fait d' accueillir tous ses altères (bourreau, sauveurs et victime) pour atteindre l'entièreté. Le zero représente le rien et le tout. L'infiniment grand, le tout et l'infiniment petite,le rien.
On alterne toute notre vie entre ses trois facettes :"victime, bourreau, sauveurs ". Si tout est équilibre, il faudra pour annuler le tout que j'accepte d'être alternativement l'une et l'autre des parties par le biais bien sur, d'une prédation bien aiguisée à ces méthodes de manipulation qui s'acharne à nous y maintenir, dans un déséquilibre. Mais nous sommes consentants par notre ignorance . Et il le faut sinon, rien ne pourrait être ainsi et la prédation ne pourrait être nourrie.
Quand je suis victime, j'accepte de faire rentrer le bourreau avec sa part de victime qui ouvre la porte au sauveur. Comme nous réagissons en résonance tout s'équilibre. Mais rien ne s'équilibre vraiment car nous sommes encore ignorant de cette manipulation.
Du jour où l'on prend conscience de ce phénomène, on peut être vigilant.
Pendant cette rencontre à Albiere, Jenael m'a renvoyé ma position de sauveur en quelques mots :"elle ne t'a rien demandé" me dit il, face à un comportement spontané d'aide.sur le coup mon prédateur manipu‐lateur en à prit un coup . Tout de suite ,j'ai senti cet égo (predateur) réagir et je lui ai fait face en exprimant que je me positionnais souvent en sauveur. Aujourd'hui, je me surprend encore dans ce rôle et me tape sur la main (Humour). on ne t'a rien demandé.
Le détachement est le point zero.
Il y a 4 ans en faisant des formations de CNV, communication non violente (nom qui m'a toujours surpris !) j'ai découvert la pyramide de Maslow des besoins. On nous explique que chaque réaction émotionnelle est en résonance avec un besoin frustré ou exacerbé... donc un déséquilibre. Déjà, je réalisais que si nous avions plus (pas) de besoin, Nos émotions ne serait plus nécessaires. Comme dans un véhicule, naviguant avec de l'énergie libre en continu. Plus besoin de voyant indiquant une panne.
J'avais réalisé cela, mais cela me paraissait inconcevable. Comment pourrai je ne plus avoir de besoin ?
Et j'ai fouillé... en-quête. Et cela m'a amené à ce point zéro de l'équilibre que l'on peut atteindre par le détachement complet. Bien sûr la prise de conscience de cette prédation est primordiale sinon nous ne pouvons pas nous détacher de cette manipulation relié la plupart du temps à l'inconscient qui nous fait agir comme des marionnettes automates.
Atteindre le détachement ne peut se faire que par la conscience de l'attachement... une question d'équilibre encore. Conscientiser, Accueillir, intégrer et se libérer de tout état, mène vers le détachement.
La conscience vient par la connaissance ( en-quête et expérience ),l'accueil vient par le non rejet de ses émotions mais en les utilisant comme indices d'enquête en ne rentrant pas dans un émotionnel, bien sûr... par la prédation. L'intégration vient par le partage, le soin que l'on met à écouter les resonnances vibratoires entre nous. Je sais que si je peux expliquer quelque chose avec clarté et en m'adaptant au niveau d'évolution de l'autre ,j'ai intégré cette chose.
Ensuite j'accepte de libérer ce qui doit. Tant que je reste focalisée sur une chose, un état ou que je vis de la retraucosalité dans mes histoires ,ou alors l'augmentation des indices sur le même sujet ,c'est que j'ai forcément une étape à revoir.
Dès que le processus est fini, le point zéro est atteind. Et il faut recommencer avec chaque état. plus on pratique plus c'est facile mais attention à la prédation. J'ai souvent remarqué que les accidents existent aussi chez les plus expérimentés. La prédation utilise tous les stratèges pour détourner l'attention même de faire croire que l'on est vigilant et attentif. Lâcher du leste des fois peut-être, pour reattaquer plus fort ? Il est 6h ,j'écris depuis 2h avec une très grande spontanéité. Vous remarquerez que je met pas de référence ou je ne renvoie pas à des liens . J'ai en effet lu diverses chose celon mes moments. j'en-quête. Mais par la suite je vide ma tasse pour me reconnecter à cette connaissance. A mon en-je. Et je la traduit avec mes mots en connections avec mes expériences de vie.
La relation et les partages, entre les un et les autres n’étant qu'une mise en evidence de nos propre systèmes d'indices pour nous reconnecter au tout, il me paraît important que les références ne restent pas des références mes des indices vers une recherche plus poussée à intégrer le rapport entre elles et son vécu. Donc je ressens la référence mais je ne peux pas l'identifier clairement. Comme quand je rencontre quelqu'un, je suis physionomiste mais je n ai pas la mémoire des nom et lieu de rencontre. C'est pareil pour les références. Quand j'entends des personnes qui retiennent des chiffres, des paroles d'autrui des dicton etc... chapeau bas ! Ça marche pas comme cela chez moi. Je suis plus dans le ressenti, l'inspiration... Je me l'approprie et retranscrit à ma manière, avec mes mots. Je fait un mélange avec toutes mes références et l'émulation devient une compréhension personnelle.
Une sauce salade !
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