Salut à toute l'équipe,
Je tenais à m'excuser des intrusions que j'ai pu faire lors de mes anciens mails, en l’occurrence ceux de l'été dernier. Après plusieurs relectures, je ne comprends pas comment j'ai pu écrire de cette façon ni de cette énergie que j'ai pu utilisé.
C'est pas dans mes habitudes de forcer les choses. Surement par précipitation, influencé par l'un de mes alters (encore non intégré) sous l'emprise de mon prédateur sans doute. N'empêche que ça m'a été utile de voir cet aspect de moi qui était bien dissimulé, même si ça m'a pris du temps à accepter ce débordement que j'ai pu faire. C'est comme si tout ce que j'avais appris avait disparu, chose que j'ai eu du mal à accepter pendant pas mal de temps. Cette partie de moi avait énormément peur de vous contacter, c'est encore présent mais ça s'amenuise petit à petit. Comme si cette partie avait quelque chose à se reprocher envers vous.
Je vous remercie pour le travail que vous accomplissez, ça permet aux personnes de se recentrer lorsqu'ils commencent à sortir des rails.
Au revoir.
L'équipe LEO :
Bonjour Iskender,
Sache que nul n'est parfait, nous sommes tous en apprentissage.
A l'avenir, sois simplement vigilant, car il est très facile de se faire piloter par ses innombrables entités du monde invisible et de se laisser dévier.
Nous t'encourageons à persévérer et à partager ton cheminement et compréhensions sur le Réseau LEO, de façon simple et concise.
A très bientôt.
L'équipe LEO
Pour répondre à votre dernier mail, voici mon cheminement et mes compréhensions du moment.
Le printemps de l'année passée, je suis retourné habiter chez ma mère, l'une de mes sœurs est avec elle. Les circonstances ont fait que ça m’arrangeait bien puisque je n'étais pas encore totalement bien organisé dans mon fourgon, même si le plus gros du travail avait été fait. Mais l'intérieur avait vraiment besoin d'une meilleure organisation parce que je n'avais quasiment pas de place pour bouger dedans. Les semaines ont passé, même des mois...
Durant ce temps, il y avait perpétuellement une tension et une incompréhension de leur part sur ma façon de voir les choses. La moindre chose que je faisais, les dérangeaient. J'étais en territoire ennemi. Le soucis est qu'elles n'en parlent pas forcément, mais je sens leur haine en eux qui montent. Par moment, ma mère pète un câble comme on pourrait dire et me fait des reproches comme si je m’appartenais ou comme si je devais agir comme l'homme de la maison et avec tous les devoirs qui s'en rapportent.
Avec ce genre de phrase "tu ne travailles pas, tu te prends pour qui ?" Je me sentais utilisé comme un vulgaire outil à devoir leur rendre service. Rendre service n'est pas un problème pour moi mais lorsque je me sens utilisé, c'est très désagréable et je n'avais pas peur de dire non, en sachant que ça allait déranger.
J'avais appris à dire non durant mon cheminement. Parfois, je me sentais aussi comme un esclave. C'était assez pénible mais je ne me laissais pas faire par leur emprise. Ceci dit, c'était moins violent et moins pénible que les années précédentes. J'ai finalement décidé de quitter l'appartement. Comme a son habitude, ma mère ne le souhaitait pas, j'ai du redoubler d'énergie pour pas que je me fasse amadouer comme elle savait très bien le faire.
Moins je vois mes parents et moins les prédateurs ont du contrôle sur eux lorsque je suis en leur présence. Suffit que je reste un peu trop longtemps et leur emprise se fait ressentir. Comme s'il redoublait d'effort lorsque je restait trop longtemps avec des personnes qui n'ont aucunes connaissances des êtres multidimensionnelles.
Durant ma vie, j'ai souvent joué le rôle d'intermédiaire, rôle que je ne supporte plus du tout. Je sens aussi comme un malaise dès que je dois passer par l’intermédiaire d'une personne.
Ma compréhension est que sur un autre plan, j'avais été créé pour être utile à ces êtres reptiliens.
Depuis plusieurs semaines, je suis dans "ma roulotte" (image de la sorcière). Lorsque le temps le permet, je me trouve une place et je lis un livre, à l'écart des villes. Rester en ville m'est de plus en plus insupportable. Je me place à l'écart des villes, en général sur des aires de repos.
Ayant toujours la honte sur moi, je n'osais plus vous recontacter. En lisant le dernier livre d'Anton Parks, ça m'a particulièrement aidé. Il dégage quelque chose dans ces écrits qui m'ont libéré d'un poids.
Sinon, lorsque vous expliquez vos expériences de vies, je me reconnais systématiquement dans l'un d'entre vous et aussi avec David lorsqu'il était encore présent.
Brièvement, mon père est l'archétype du père de Sand, pas facile de dialoguer avec lui parce qu'il calcule tout et ça m'est de plus en plus insupportable, je le vois de plus en plus comme l'archétype du dieu AN, un dragon sur ses 2 pattes ; l'ex-femme de Jenaël est semblable à ma mère, avec son contrôle en permanence sur le mâle et sur ses agissements, un peu comme l'archétype de Vera dans le dernier livre d'Anton Parks (du Plérôme à la matière).
Ma mère joue tantôt le rôle de ma femme et de ma fille, j'ai déjà vu ma mère sautiller comme une petite fille dans la rue lorsqu'elle me demandait si j'allais revenir à la maison, j'avais halluciné ce jour là. Je me reconnais particulièrement dans les expériences d'Hélène qui me parlent énormément et ça m'a bien aidé.
Les expériences de David m'ont aussi aidé, je me reconnaissais en lui par moment. Je me reconnais aussi en Jenaël, je le vois comme une personne qui n'a pas besoin d'expliquer ce qu'il fait ou ce qu'il va faire, expliquer ce que je vais faire m'est pénible parce qu'en général c'est pas compréhensible pour les gens et aussi pour moi sur le moment.
Pour en revenir à mon fourgon, je suis étonné comment je me suis organisé et avec le peu de place que j'ai dedans, j'ai optimisé ça petit à petit selon mes inspirations du moment.
Je suis aussi étonné du faite que le chômage me paie toujours alors que je ne montre aucune preuve de recherche de travail. En Belgique, faut chercher, et prouver qu'on cherche sinon on te coupe les indemnités.
Voici une brève explication de mon cheminement actuel.
Au revoir.
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