Bonjour les Léos,
J’aime bien vous écrire. Je sens qu’à chaque fois, mon état vibratoire s’élève et c’est très agréable.
C’est la remarque d’Hélène qui m’a inspiré ce message.
Hélène dit ceci :
" Précisons cependant qu'il n'est nullement nécessaire d'être "thérapisé" d'une manière ou d'une autre pour accéder à, et transformer la conscience de ses alter, d'autant plus que le travail, aussi pénible soit-il, lorsqu'il est effectué par sa propre guidance et sa propre volonté est infiniment plus libérateur ! "
Chapitre XI - Conclusion d'une épopée - par L'épopée de la Conscience.
Je trouve la remarque d’Hélène très judicieuse et je vais faire part de mon inspiration sur ce sujet.
Il est vrai que j’ai pu venir à bout après plus de 30 ans de lutte d'un état dépressif chronique extrêmement handicapant et de ma misogynie sans être thérapisé.
Il en est de même pour mes multiples peurs, angoisses et corps de souffrance. Je suis venue à bout d’un grand nombre d’illusions et donc à bout de quelques programmes karmiques.
Je me suis rendu compte que les illusions étaient le résultat d’une programmation, ce qui m’a permis de me désillusionner grandement.
Je n’ai jamais consulté, ni voyance, ni médium, ni thérapeute et je n’ai utilisé aucune technique.
Mes aides ont été la lecture que j’assimile à mon miroir parce que je l’ai pris comme tel et ma guidance qui m’ont amené vers mes prises de conscience.
Je sais qu’il est très difficile de réaliser des prises de conscience lorsque l’on est dépressif, j’en sais quelque chose, mais je pense que mon âme, mon ange, mon soi supérieur m’ont grandement aidé dans cette guérison.
Je ne désire non plus donner aucun conseil, chacun expérimente à sa façon pour résoudre ses programmes karmiques, du moins ceux qui en ont conscience
Je sais que mon évolution passe par la résolution des bagages qui me plombent, par la résolution de mes programmes karmiques involutifs. Cela, j’en suis absolument convaincu.
C’est pour moi une question de logique.
Comment peut-on s’élever vibratoirement, prétendre cheminer en quatrième dimension SDA si l’on ne se déleste pas de ce poids qui nous empêche de nous élever ? C’est l’exemple de la montgolfière qui me vient à l’esprit.
J’ai expérimenté à ma manière, sans autre aide que celles citées parce que je suis convaincu que mon évolution passe par mes prises de conscience, par l’élargissement de ma conscience, par le travail sur soi.
Qui mieux que moi peut vraiment me connaître dans ce monde SDS ? Qui mieux que moi peut prendre conscience de mes alter ? Je me considère de ce fait comme mon propre laboratoire .
Je ne pense donc pas qu’un thérapeute, psychologue, voyante, médium, gourou etc… ou qu’une technique puisse être plus libérateur qu’un travail personnel parce qu’ils appartiennent, sauf exception, au monde SDS et sont donc soumis inconsciemment à leurs prédateurs personnels.
Je pense même que c’est une profonde illusion de croire qu’ils peuvent résoudre nos maux mais cet avis n’engage que moi.
Bien sûr, souvent l’être humain est amené vers la facilité, vers les techniques pour résoudre ses problèmes, mais je pense que c’est un leurre.
J’ai toujours préféré utiliser une méthode naturelle, celle du travail sur soi parce que cela se réalise par mes prises de conscience, par l’élargissement de ma conscience.
Le naturel relève de la véritable création divine et des lois universelles qui ne devraient pas, à mon humble avis, être court-circuités par des techniques.
Y a-t-il prise de conscience, élargissement de la conscience, travail sur soi lorsque vous êtes soumis à une technique de déprogrammation des cellules ou autre ?
Je pense par contre que le réseau Léo est une aide considérable parce que nous sommes dans une démarche commune, désintéressée, SDA.
Au travers des enseignements, des vidéos, du comportement et prises de conscience des autres qui font fonction de miroir, nous pouvons être amenés à des prises de conscience et à des résolutions karmiques.
Je dois apprendre à marcher tout seul, compter sur moi-même et ne pas m’en remettre aux autres. La force, la vraie lumière, la véritable information est en mon soi supérieur, en ma guidance.
Dans Matthieu 15:14, il est dit ceci :
" Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles ; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse. "
De manière générale, l'homme compte trop sur les autres, sur les techniques, sur l’extérieur et ne compte pas assez sur lui-même parce qu’il n’a pas confiance en lui, parce qu’il a été conditionné à penser que le sauveur était en l’autre ou dans des techniques.
Pour rire un peu, il y a quinze jours, j’ai reçu un coup de téléphone d’un cabinet de voyance.
Je ne me souviens plus exactement si c’était la voyante elle-même ou sa secrétaire mais quand elle m’a parlée, je lui ai répondu avec calme et sérieux que j’étais médium. Elle était un peu confuse et m’a lâché la grappe. Bien sûr, j’ai menti, je ne suis pas médium.
François Y. (Inscrit au cénacle dépt 09)
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Vyninho (lundi, 09 octobre 2017 17:05)
Bonjour François !
Pour rendre hommage a nos prédateur et a la guidance !
L'État dépressif est un outil pour nous ouvrir, et travailler sur la connaissance de soi.
Je te recommande un livre du Dr Kazimierz DABROWKI " la formation de la personnalité par la désintégration positive"
Aux editions pilule rouge.
C est un livre qui parle les étapes de transformations de notre psyche, sortir des besoins primitifs pour des buts supérieur ( de sds en sda, en gros avec ses mots de psychiatre et de psychologue).
Très intéressant et ses informations rejoignent notre orientation.
Bonne quête !
Marie-Odile (vendredi, 13 octobre 2017 04:19)
Bonjour François,
Pourquoi ne pas dire simplement : merci bien, je ne suis pas intéressé, au revoir ? Un mensonge reste un mensonge et à moins d'une menace grave pour la vie, un mensonge n'a pas lieu d'être, c'est une question d'intégrité.
Merci beaucoup pour tes textes, François, je suis comme toi, je n'ai pas fait de thérapie ou de stage, je cherche dans les livres et surtout j'avance grâce aux diverses expériences que la Vie met face à moi à chaque seconde. La plus ensaignante a été la perte de mon premier enfant à la naissance et celle-là, je ne pouvais l'imputer à personne, pas même à moi qui avais vécu une grossesse parfaite avec abandon des mauvaises habitudes : café, tabac, alcool.
La dépression qui a suivi m'a fait comprendre que c'est la Vie qui nous enseigne, mais seulement si on s'y abandonne. Jusqu'alors, tout avait été plutôt bien pour moi, mais là, je me retrouvais dans une situation que je ne pouvais expliquer rationnellement (une autopsie n'avait révélé aucune malformation). Il m'a fallu passer par le fond du gouffre avant de pouvoir reprendre pied et choisir d'accepter les leçons de la Vie ou même plus, d'en être reconnaissante.
Cette expérience difficile m'a permis de changer de voie, moi qui me destinais à être instit dans l'éducastron nationale. La dépression m'en a empêchée et m'a offert bien mieux. Alors que je pensais que finalement je n'étais pas faite pour enseigner, je suis devenue formatrice et libre d'enseigner ce que je voulais, sans aucun programme à suivre.
Je dois dire aussi que , suite à ces turbulences, j'avais pris la ferme décision de ne plus mentir, ou du moins sciemment, en cas de danger extrême. Ce fut mon premier pas vers la guérison et le début d'une belle aventure à la recherche de moi-même.
Je vous aime, les Léos.
MALLET (vendredi, 13 octobre 2017 09:53)
Bonjour,
Un petit clin d'oeil à Madame Synchronicité ! Je suis actuellement une thérapie en psychogénéalogie. M'abreuvant moi aussi, de nombreuses lecture et dotée d'une ferme volonté de prendre conscience et en charge mes "boulets personnels" en lien étroit avec ma lourde histoire familiale, je nourris ces derniers temps, de nombreuses incertitudes sur l'efficacité de la démarche thérapie. Hormis le prix de la consultation qui incite à se reconvertir professionnellement en tant que thérapeute (LOL!!!), je me dis souvent que je possède les clés pour ouvrir les portes de la libération...Alors la lecture ce matin de ton article, me conforte dans ma position et je viens d'annuler mon prochain rdv...Toutefois, si vous avez des livres ou suggestions à me faire pour m'aider dans cette voie, je les lirai avec intérêt
Bises à tous les Léos
Flo
François Y (samedi, 21 octobre 2017 20:40)
Bonjour Vyninho,
Je te remercie pour tes informations.
François Y.
Christine H. (jeudi, 02 novembre 2017 21:56)
Bonjour Flo,
J’ai été interpellé par ta demande car j’ai moi-même fait un profond travail sur le transgénérationnel dans ma famille. Un livre m’a beaucoup aidé dans mes prises de conscience : « Le Syndrome du Gisant » de Salomon Sellam. L’auteur évoque la venue d’un enfant de remplacement 1, 2 ,3 ou plusieurs générations plus tard suite à un deuil inacceptable et inaccepté dans une famille.
Evidemment toutes les familles sur plusieurs générations sont plus ou moins touchées par le deuil d’un enfant, d’un proche parti brutalement et pour lequel il y a une mémoire familiale de réparation qui subsiste. L’auteur propose un travail de libération de la mémoire du défunt pour l’enfant qui en serait porteur. Mais je trouve qu’une proposition de réunification est probablement la clé d’une libération pour toute la lignée.
Lors de ma lecture de ce livre, j’ai été physiquement retraversée par la mémoire d’une grande tante décédée brutalement à 19 ans juste avant la 2e guerre mondiale. Au fur et à mesure que j’en prenais conscience mon corps a subi en quelques heures une sorte de contracture qui m’empêchait de me redresser, j’étais courbée en deux, le dos tout tordu. En me regardant dans un miroir, j’ai entrevu le corps d’une femme de plus de 90 ans, l’âge qu’aurait eu cette grande tante.
Aujourd’hui avec la suite de mes lectures sur le Réseau Léo, je comprends que j’ai probablement réintégré par cette prise de conscience un de mes alter bloqués dans ce deuil jamais réalisé (pour la petite histoire son acte de décès n’avait jamais été mis à jour sur le registre de la mairie).
Je te souhaite un bon cheminement de découverte des mémoires que tu as choisies de travailler avec le choix de ta famille biologique.
Christine H.