Bonjours à tous,
Suite au témoignage 323 de Jeami, j'aimerais partager avec vous une partie de mon vécu concernant le jeûne que je pratique à la demande de mon véhicule depuis quelques décennies. Un, trois, cinq, sept, neuf jours et le plus long à l'automne dernier 17 jours avec toujours et seulement de l'eau comme aliment sauf pour le dernier en date avec une prise d'iode de 3 gouttes le premier jour + 1 goutte par jour de jeûne supplémentaire pour arriver à 20 gouttes le 17ème jour.
Afin d'éviter toute orientation dissuasive et d'altérer le discernement de chacun, il est important de préciser que cette pratique exige quelques principes et connaissances surtout si vous décidez de prolonger le jeûne au delà de 7 jours.
Pour ma part , je me suis appuyé sur les travaux et le bouquin de H.M Shelton " le jeûne" qui reste une référence en la matière même si concernant la reprise alimentaire de nouvelles connaissances sont à considérer notamment sur les méfaits du sucre et sa famille de "ose".
Préparer son organisme par un pré-nettoyage en amont en évitant d'absorber toute sorte d'excitants, (alcool, café , thé, sucre….) quelques jours avant le début du jeûne vous évitera quelques désagréments, ne pas oublier non plus de préparer et d'informer son entourage proche en le rassurant car proie idéale pour ouvrir un canal de prédation, prédation avertie de votre motivation qu'il est inutile d'essayer de vous déstabiliser par la peur, le doute, le découragement et sa cohorte de mauvais sentiments, ne manquera pas d'interagir sur le premier cercle familial.
Prendre un dernier repas le matin du premier jour de jeûne vous aidera peut-être à passer les premières 48 heures et sa sensation de faim qui n'est qu'une sensation due au vide de votre estomac, qui s'estompera lorsque ce dernier se mettra au repos, les intestins feront de même en stoppant leurs mouvements péristaltiques.
Alors oui, il y a quelques désagréments plus ou moins marqués par les toxines libérées et du nettoyage à réaliser ( migraines, douleurs articulaires, vertiges et haleine de "cowboy" ) pour ne citer que les plus courants.
Ensuite , le corps ne réclame plus et entre en autolyse, en cétose et puise dans son garde manger en commençant par le mauvais, c'est bien fait. Inutile d'expliquer le processus largement développé sur le réseau .
Aller marcher au moment des repas et s'oxygéner dans la nature est une bonne chose.
Pour ma part, un ami de longue date, un chêne magnifique m'offre l'hospitalité après lui avoir demandé l'autorisation de l'enlacer pendant une demi-heure tous les matins, un apport d'énergie non négligeable, réminiscences chamaniques par ce travail d'ancrage salutaire car le fait de jeûner chauffe les "mineures", les "lunaires" dit-on dans certaines traditions et le prédateur en souffrance, affolé par ce travail de purification les active par la sphère émotionnelle afin de pouvoir se sustenter de ces émanations " astrales", cavales non maitrisées, eaux tumultueuses.
Pas de panique, ce n'est qu'un écran de fumé, maintenir fermement les rênes, ne pas lâcher la barre et comme tout passe, après la tempête…. quiétude, sérénité, lucidité sont au RV.
Rester l'observateur de ce jeu, se relier à son Etreté , sa Supraconscience permet aux jours de jeûne de " sans chaîner" sans difficulté majeur.
Nonobstant , je décidais de rompre le jeûne au 17ème jour, allégé de 10 kg, je sentais trop d'inquiétude dans mon entourage familial ( canal de prédation) et lourd à gérer cela devenait.
Jeûner jusqu'au retour naturel de la faim sera pour une autre fois peut-être.
Attention à la reprise de nourriture que vous aurez planifié en fonction de vos habitudes alimentaires qu'il faudra peut-être réajuster, pas de solides bien sûr, relancer la machine en douceur en fonction de la longueur du jeûne .
Cette expérience très instructive est un enseignement en soi que seul la pratique étaye, faut-il le rappeler . La connaissance protège.
Bien à vous tous.
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