Il y a des formes à ne pas oublier sur les situations de perturbations au niveau du viol, que cela soit vécu dans cette existence ou dans des schémas de mémoire. Il y a une forme de projection des désirs grégaires et animales, donc instinctifs, qui sont aussi bien issus de "l'agresseur" comme de la "victime". Il y a une force sous-jacente qui induit en ces Êtres une forme d'attraction/répulsion, qui peut alors faire naître une situation de contact dit "malsain".
Suivant les états de conditionnements (explicitement des choses que l'homme, la femme ou l'enfant peut assimiler en observant à l'extérieur) propres aux états socio-éducatifs des structures d'un pays et d'un mode de vie, les Êtres sont amenés (ou forcés) à adopter une certaine forme de désir, quelque chose qui va les pousser à vouloir agir d'une certaine manière, en poussant l'autre à adopter un regard spécifique sur eux-mêmes, qui est induit par ce dit conditionnement (télévision, religion, pub, discussions en tous genres autour de l'entité, manipulation psychique par les égrégores, manipulation par l'astral, par d'autres formes, et le vécu multidimensionnel ou parallèle dimensionnel).
Ce faisant, dans la majorité des cas, il naît une telle situation car quelque chose aura été induit en l'Être, afin qu'il se positionne dans cet état de la manifestation plausible d'un acte.
Dans le cas de l'agresseur, il sera soit happé par une attraction induite par une projection extérieure à lui-même, émanant de l'action d'un environnement ou de la comportementale d'un Être, duquel naitra cette attraction, soit par une forme de résidu générationnel non encore transcendé, dont il se voit porter la charge des générations, chose qu'il est dans l'exercice de dépasser. Ainsi, plus la victime projettera cette forme d'attraction, de manière volontaire ou de manière inconsciente, peu importe, l'agresseur sera alors toujours réceptif à cela, et ce, quand bien même il soit dans un cadre psychologique stable ou instable. Ce faisant, suivant les situations sociales ou de contacts avec cette dite victime, il passera à l'acte ou non. Ainsi, l'agresseur se retrouve aussi bien être l'agresseur que la victime d'une situation, comme la victime est aussi bien l'agresseur que la victime. Ils sont tout deux responsable de la situation, sans forcément avoir conscience de la répercussion de leurs actes, et de l'impulsion que ceux-ci induisent en la partie adverse.
Ces situations de dégénérescences ne sont manifestes que parce que l'état social dans lequel se trouve l'Être l'y pousse, l'y amène, par une forme de formatage suivant cette structure dans laquelle il vit, et suivant le cadre émotionnel dans lequel il se trouve en l'instant (perturbation d'une situation de vie, induite par une trop longue solitude, par une situation de perte de moyens ou de troubles de vie suivant un grand chamboulement, par une dégradation psychologique induite par des absorptions de substances hallucinogènes ou autres, etc.). L'Être qui est convenablement orienté d'un point de vue émotionnel psychologique et physique, qui a la possibilité de se repaitre à satiété dans toutes les formes de besoins légitimes, sera alors très loin de pouvoir adopter une telle comportementale, car il sera en régulation de son émotionnel et de son système nerveux.
Les cas où l'on voit naître ces formes de viols, cela se retrouve toujours dans des cadres où l'Être est dans une situation instable de vie, sur des schémas où il trouve un manque profond, qui perturbe sa régularité de vie et sa stabilité psychique. Et plus ceci est intégré en lui, plus le trouble s'installe, et plus il sera en mesure d'adopter une comportementale perturbatrice.
Et la pseudo victime sera souvent l'impulsion poussant à la déstabilisation de cet Être. La victime souvent est elle-même vicieuse, car elle perçoit qu'en agissant d'une certaine manière, elle invite alors l'impulsion instinctive de son dit agresseur car, de manière consciente ou inconsciente, de ce que l'on dit, mais dans une réalité de perception, on se rend bien compte que la victime sait très bien ce qu'elle fait, car elle perçoit très clairement le jeu qu'elle joue, elle se comporte de façon à l'inviter à l'acte, ou à se mettre dans une position où elle invite cet acte.
Nous observons cela d'une manière extérieure, et considérons que ceci semblerait faux et mal venu de pouvoir prétendre une telle considération. Mais, dans la majorité des cas, ces situations se manifestent de la sorte, et les Êtres qui en sont les auteurs savent très bien, au fond d'eux-mêmes, que ceci se manifeste de cette manière, même si ils ne veulent pas se l'admettre ou l'avouer à eux-mêmes ou autour d'eux.
De fait, comme exprime en amont, il n'y a pas plus de victime que d'agresseur, mais un jeu de manipulation qui se met en mouvement, et qui débouche sur des situations de troubles ou de stabilisations, suivant l'état des Êtres mis à l'épreuve dans cette forme de manipulation subconsciente, inconsciente ou consciente. Ils sont victimes par contre tout deux de la situation sociale dans laquelle ils se trouvent, et des outils qui leur sont offerts par cet état social, afin de se retrouver dans de telles situations.
Dans certains pays, dans certaines tribus, de tels comportements sont inconnus, car les Êtres ne sont pas mis dans des positions qui pourraient leurs être dommageables. Ce sont réellement les schémas socio-culturels dans lesquels sont intégrés les Êtres, qui les amène à adopter de telles comportementales. Et cela s'incruste alors dans les générations, et passe de père/mère en fils/fille.
La prédation joue un rôle majeur sur cet état de fait, mais c'est à l'entité elle-même de savoir dépasser ce cadre de conditionnement, d'une telle influence psychique induite en elle, en dépassant ce cadre de formatage trouble, en acceptant que cette influence induite en elle puisse venir se manifester dans son subconscient, sans pour autant la laisser se manifester dans la vie, et alors devenir maître d'elle-même. Ceci régule alors son état d'être, et lui permet de voir au-delà des monts les comportementales déstabilisées des autres personnes, qui sont le constituant de sa propre personne, dans lesquelles se manifeste de telles comportementales. En stabilisant cette induction de formatage de conditionnement en elle, elle apporte alors la possibilité aux autres parties d'elle-même de pouvoir, elles-aussi, outre-passer ce cadre de dégénérescence des générations et des siècles, de manipulations des masses sociales de ce monde.
C'est en acceptant les parties sombres en soi, en les contrôlant et en les lissant, que l'on arrive alors à être réellement en équilibre avec la création, avec les énergies, et à se reconnecter à la source de la création. En acceptant toutes les parties de nous-mêmes, en les reconnaissant. En captant les situations de leurs manifestations au quotidien, on est en mesure alors de réellement pouvoir redevenir des créateurs conscients et positionnés en stabilité. Devenant ainsi des antennes harmonieuses, desquelles sont transmis les régulations de vie, émotionnelles, psychiques, physiques, et autres, on devient alors des piliers de l'harmonie de l'Univers qui nous entoure et nous constitue.
Cédric L
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