Les incendies de forêt soi-disant historiques aux États-Unis, en Grèce et au Canada ont fait les unes des médias mainstream tout en étant attribués à l'« ébullition mondiale ». Toutefois, le nombre annuel d'incendies de forêt pour 2023 reste dans la moyenne aux États-Unis ainsi qu'en Europe. En Grèce, des pyromanes sont à l'origine de l'augmentation modérée de la moyenne annuelle.
Les médias sociaux ont été inondés d'arguments convaincants et de spéculations, accusant les larbins des psychopathes mondialistes d'avoir déclenché les incendies afin de propager les craintes
d'un changement climatique anthropique, de promouvoir les politiques « Net Zero » dans le monde occidental et de profiter des conséquences de ces incendies pour acquérir des terres à une fraction de leur prix initial.
Les accusations de mainmise sur les terres se sont encore renforcées après les incendies de Lahaina, sur l'île de Maui, Hawaï, lorsque des entreprises privées ont « généreusement » proposé d'acheter les terres sinistrées. Mais le gouverneur Josh Green a alors déclaré qu'il ne permettrait pas que ces terres se retrouvent entre les mains de promoteurs privés, et que le gouvernement pourrait les racheter. Est-ce une bonne nouvelle pour les habitants de Lahaina ? Ou bien les terrains, une fois cédés au gouvernement, finiront-ils de toute façon entre les mains d'entreprises privées ? L'avenir nous le dira.
Mais que la catastrophe de Lahaina soit due à une catastrophe naturelle ou à la main de l'homme, ou aux deux, le bilan officiel des incendies s'élève à 115 morts. Compte tenu de la population de Lahaina - 13 216 en 2020 -, c'est un bilan très lourd. En outre, le major de Maui a indiqué que 850 personnes étaient toujours portées disparues, avant que ce chiffre ne tombe soudainement à 60.
Les causes de cette tragédie sont multiples :
Au début du mois d'août, les réchauffistes continuaient d'affirmer que le monde était en ébullition, alors que les États-Unis ont enregistré un été plus frais que la moyenne habituelle et qu'il s'est mis à neiger dans le nord de l'Italie, les Dolomites et les Pyrénées !
Modifiant quelque peu leur discours, ils se mettent maintenant à imputer au réchauffement climatique les inondations extrêmes qui se produisent dans le monde entier, alors que, comme nous l'avons déjà dit, ces phénomènes s'inscrivent dans des cycles naturels, qui indiquent une évolution vers des températures plus froides à l'échelle mondiale.
Et une fois encore, cela n'a rien à voir avec le CO2 :
Les accusations de mainmise sur les terres se sont encore renforcées après les incendies de Lahaina, sur l'île de Maui, Hawaï, lorsque des entreprises privées ont « généreusement » proposé d'acheter les terres sinistrées. Mais le gouverneur Josh Green a alors déclaré qu'il ne permettrait pas que ces terres se retrouvent entre les mains de promoteurs privés, et que le gouvernement pourrait les racheter. Est-ce une bonne nouvelle pour les habitants de Lahaina ? Ou bien les terrains, une fois cédés au gouvernement, finiront-ils de toute façon entre les mains d'entreprises privées ? L'avenir nous le dira.
Mais que la catastrophe de Lahaina soit due à une catastrophe naturelle ou à la main de l'homme, ou aux deux, le bilan officiel des incendies s'élève à 115 morts. Compte tenu de la population de Lahaina - 13 216 en 2020 -, c'est un bilan très lourd. En outre, le major de Maui a indiqué que 850 personnes étaient toujours portées disparues, avant que ce chiffre ne tombe soudainement à 60.
Les causes de cette tragédie sont multiples :
- Le gouvernement a fait preuve d'incompétence.
- Le budget pour la sécurité contre les incendies de forêt est dérisoire.
- Des graminées exceptionnellement inflammables ont été introduites en 2020.
- La vitesse des vents de la tempête Dora a atteint 100 kilomètres par heure.
- Les sirènes d'alerte n'ont pas retenti.
- L'accès à l'eau a été bloqué par les autorités de l'État.
- Des câbles à haute tension ont été coupés et placés sur de l'herbe sèche.
- Des barrages de police ont empêché la population de fuir les incendies meurtriers.
- Les camions des services publics se sont retrouvés bloqués par l'afflux de véhicules sur les routes au moment où les gens tentaient de fuir.
Au début du mois d'août, les réchauffistes continuaient d'affirmer que le monde était en ébullition, alors que les États-Unis ont enregistré un été plus frais que la moyenne habituelle et qu'il s'est mis à neiger dans le nord de l'Italie, les Dolomites et les Pyrénées !
Modifiant quelque peu leur discours, ils se mettent maintenant à imputer au réchauffement climatique les inondations extrêmes qui se produisent dans le monde entier, alors que, comme nous l'avons déjà dit, ces phénomènes s'inscrivent dans des cycles naturels, qui indiquent une évolution vers des températures plus froides à l'échelle mondiale.
Et une fois encore, cela n'a rien à voir avec le CO2 :
Des recherches récentes suggèrent que les molécules de dioxyde de carbone ont peu d'impact sur le forçage radiatif et que les modèles climatiques actuels attribuent au CO2 des effets fondamentalement erronés sur la température mondiale.Mais cela n'a pas d'importance car l'objectif des psychopathes mondialistes et de leurs larbins - les médias mainstream et les « experts » rémunérés - est d'alimenter les feux de la peur et de l'hystérie. Toutefois, la réalité se révélant parfois de manière assez spectaculaire, il semble que le nombre de personnes convaincues par leurs mensonges soit en constante diminution.
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