Témoignage et questionnement de Marielle suite à la question 94 de ikam et philippe : comment s'en sortir financièrement ?
Bonjour iKam,
Se réveiller est une chose… rester réveillé, dans la vigilance et la discipline en est une autre !
Je continue de recevoir des claques et des « coups de pieds au cul » dès que mes peurs m’incitent à relâcher ma détermination à rester sur la voie du SDA et que la voix cajoleuse du prédateur tente de me faire accepter des « compromissions », comme un "emploi alimentaire rémunéré".
« La peur du manque » (d’argent principalement) est si profondément ancrée en moi, que lorsque j’achète des produits c’est souvent par lot de 2 (un pour moi dans le présent et un pour mon double dans le futur !)
La peur du manque est liée à la difficulté de vivre dans le présent et d’observer ce présent avec attention sans se soucier du futur, ni se référer au passé. Car c’est au présent que nous recevons moultes informations et guidances.
Le mental fait toujours des projections, il analyse, calcule, dissèque, c’est son rôle. Par contre le mental n’est pas le régent unique de nos créativités. Il doit s’associer à notre intuition ET à nos actes.
Quand nous laissons carte blanche au mental (je veux/je ne veux pas), il devient un conduit de la prédation, une porte ouverte à sa manipulation.
Je suis tout à fait d’accord qu’il faut voir ses programmes pour pouvoir s’en libérer.
J’ai pour autant une question pour le Réseau Léo.
Est-ce que dès qu’un programme saute, il y en a un nouveau qui prend sa place ?
Comme nous vivons dans un monde duel, c’est un peu comme dans un système binaire, il existe deux valeurs, le zéro ou le un. L’évaluation comparative du cerveau humain participe ainsi à nos apprentissages et à notre développement.
La programmation du manque serait alors une programmation originelle, conditionnée à notre incarnation dans une densité matérielle où nous sommes ‘’coupés‘’ de notre part « immatérielle et multidimentionnelle », vivant sur d’autres espaces-temps.
Je m’applique à recontacter cette part de moi, à réunifier en moi toutes mes fractales multidimentionnelles.
Le programme du manque est bien lié à la survie, survie bien entretenue depuis des siècles par le système SDS. Alors effectivement, il y a des couches et des couches et des couches dans la mémoire du programme à déterrer en nous.
Lorsque j’ai démissionné, après 27 ans passés au service de l’administration, je me suis détachée de « la sécurité de l’emploi à vie ». J’ai voulu créer ma propre activité, être à mon compte, j’étais toujours dans le service de soi, toujours dans le conditionnement de la matrice SDS. Ce que j’ai vécu comme inconfort et souffrance de ne pas arriver à engendrer des revenus financiers mensuels corrects (au moins le smig) était pourtant le signe apportée par ma supraconscience, le signe que le choix de mon âme est de tendre au service de l’autre.
Au bout de 5 ans d’activité en indépendant, je me suis alors plongée dans le ’’bénévolat’’ non par conviction mais par état de fait, puisque j’officiais au sein de l’association que j’avais créée avec mon partenaire.
Aujourd’hui, je perçois uniquement le RSA et je me sens étouffée dans la justification permanente de rendre des comptes sur ma situation.
Je bataille avec les peurs de contacter des dettes. Je dois partir de mon logement dont j’ai de plus en plus de difficultés à payer les charges…
L’étape suivante, l’ultime, est le saut dans le vide que je n’arrive toujours pas à effectuer.
Malgré mon acceptation totale de ne plus vivre ‘’comme tout le monde’’ et de ne plus revenir en arrière (m’adapter au système), la mémoire de la « survie » est toujours présente et me bloque pour le moment.
Marielle
Réponse de l'équipe LEO :
Bonjour Marielle
Par rapport à ta question "Est-ce-que dès qu’un programme saute, il y en a un nouveau qui prend sa place ?" Nous te dirons que tu y as répondu :
Le programme du manque est bien lié à la survie, survie bien entretenue depuis des siècles par le système SDS. Alors effectivement, il y a des couches et des couches et des couches dans la mémoire du programme à déterrer en nous.
Ce sont bien des couches de programmes, comme les couches de l'oignon, que nous visitons de manière cyclique afin de nous libérer de conditionnements inscrits en notre génétique. Et tant qu'il en reste des traces, nous sommes conviés par notre Ange à perfectionner le nettoyage... C'est notre mission en cette 3ème densité SDS !
Donc, l'aspect cyclique (parfois désespérant) est dû à l'exigence d'un cheminement au service d'autrui qui se propose à nous, car il ne doit rester aucune impureté pour passer par le chas de l'aiguille vers la 4D SDA !
Et lorsque nous comprenons les rouages de la déprogrammation, nos expériences s'allègent pour devenir amusantes.
De victimes de la matrice SDS, nous devenons alors des joueurs SDA expérimentés.
Alors le facteur fondamental actionnant ce "récurage de mémoires" et le phénomène épigénétique qui en découle, est de décider de mettre en pratique ses compréhensions... sinon l'Ange se meurt.
Cela se résume aussi par cette devise on ne peut plus claire : "décide ou décède !"
Voici à ce sujet un extrait d'une conférence de Laura Knight, L'information, les choix et le destin :
Vous devez trouver un moyen de vous séparer de ces 7 milliards [de personnes qui vont droit dans le mur].
Vous vous séparez par des choix différents des leurs. C’est vraiment difficile dans cette réalité de faire des choix différents quand tout le monde choisit d’agir et d’être d’une certaine façon. « En ces temps d’imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ».
Vous devez vous réunir avec d’autres personnes qui ont le même sentiment, non pas pour méditer sur la paix dans le monde – en pensant que méditer passivement dessus vous y mènera – mais pour être différent, être l’habitant d’une autre réalité en raison de ce que vous faites, de votre mode de vie, et de votre façon d’aborder la réalité dans laquelle vous êtes. Vous devez devenir des experts en ce domaine. Cela signifie que vous devez prendre des décisions qui vous font changer de réalité. La seule façon d’arriver à une autre réalité, c’est-à-dire de passer à une réalité totalement différente, c’est de prendre des décisions. […]
Un petit groupe d’entre vous peut créer un assez grand changement ou une assez grande déviation pour passer de cette planète-ci à cette planète-là […]
Dans votre vie personnelle vous avez toutes sortes de possibilités où vous avez plusieurs choix. Vous pouvez choisir en fonction de vos émotions et suivre le cours des émotions souhaitant un monde meilleur pour toujours, et pas une seule chose ne changera.
Mais vous pouvez changer quelque chose dans votre vie. […] Vous pouvez être [plus honnête] dans vos interactions avec les autres, vous pouvez réellement faire des choses physiques qui envoient un signal à l’univers : « Je suis la vérité. Je veux la vérité. Je veux faire partie de la vérité. Je suis relié à des gens qui veulent la vérité ».
Vous devez devenir à la fois un résonateur de fréquence et un décodeur. Vous devez décoder l’information que vous voyez du cosmos. Le cosmos est toujours plein d’informations, en particulier sur la planète Terre. Si vous recevez cette information, vous devez vraiment être bien éveillé et attentif. Vous ne pouvez pas être dissociés, vous ne pouvez pas passer votre temps à jouer à des jeux vidéos [ou autres jeux du prédateur] ! Vous allez avoir besoin de chaque seconde disponible pour charger cette connaissance et information en vous […] de sorte qu’au moment du basculement, au moment de la dérivation, de la bifurcation, vous allez basculer dans cette autre réalité.
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Armelle (vendredi, 01 septembre 2017 13:31)
J'ai le même ressenti que toi Marielle! Je travaille dans le domaine de l'insertion (rien que le mot me rebute) où mon job consiste à "insérer" les gens catégorisés comme "étant en difficulté". D'ailleurs, vu de loin, la situation est presque risible! Cela fait longtemps maintenant que je ne crois plus du tout à ce que je fais et je suis passée par de nombreux stades allant de la tristesse, à la colère puis au dégout, en alternance avec des phases d'indifférence ou de rébellion. certes ces "grand huit émotionnels" qui m'ont permis d'avancer un peu dans mon cheminement et de débusquer un certains nombres de programmes. Mais aujourd'hui c'est bien la peur du manque qui me fait continuer et qui empêche mon "grand saut". Malgré certaines couches qui semblent bien pelées, je constate qu'il en reste encore et encore, si bien que je me demande parfois si je vais réussir un jour à pouvoir respirer. Dès que j'évoque (pour moi même) le sujet (et j'y pense très très très souvent), la crispation de mon plexus solaire m'indique immédiatement l'énormité de mon mal être par rapport à cette peur du manque et je me sens comme toi ...bloquée. La prédation me maintient encore sous sa coupe et je n'en suis pas encore à me déprogrammer de façon amusante. Bonne quête à toi! Armelle