Bonjour les Leo,
Pourriez-vous préciser l'intérêt du chlorure de potassium et l'origine de cette recommandation, car je n'en trouve pas mention dans le protocole de Gabriela Segura et n'ai pas trouvé grand chose d'autre sur internet ? Merci d'avance pour cette précision.
Autre question : j'ai beau grimper à 12-13 gouttes de Lugol 12% (soit environ 100mg de iodure+iode... ce qui commence à faire beaucoup si je me réfère aux recommandations) je ne ressens pas vraiment de symptômes, ni dans un sens ni dans l'autre... du moins je ne crois pas.
Est-ce que quelqu'un a eu à aller à des doses supérieures pour ressentir des effets significatifs ?
Pour complément d'info je suis ceto-adaptée avec 2 repas par jour quasiment tous les jours depuis plusieurs mois, et suis le protocole décrit plus haut à l'exception de l'ALA (chardon marie à la place, mais je vais tester prochainement), du complexe B, et du chlorure de potassium (objet de ma 1ère question). A noter que je prends de la vitamine C liposomale plutôt que la vitamine C normale ; le changement de l'un à l'autre a en revanche été perceptible pour ce complément là.
Merci d'avance et bonne fin de journée
Camille/Aenisuroma
Réponse de l'équipe LEO :
Bonjour Camille/Aenisuroma,
Il faut savoir que notre civilisation est de toute manière carencée en potassium. Voici à ce sujet un article qui ne passe pas par quatre chemins : Ce n'est pas le sel qui est dangereux c'est la carence en potassium.
Sinon le chlorure de potassium est un allié lorsque l'on applique une cétose stricte (moins de 20 g de glucides par jour) et que l'on ressent des crispations musculaires.
Revenu à une cétose souple, c'est à nous d'apprendre à sentir les besoins de notre corps et de varier la dose ou non.
Pour la prise quotidienne, il peut être dilué dans de l'eau ou bien, si le goût ne nous repousse pas, mélangé avec le sel de table.
Tu trouveras quelques informations à ce sujet dans le résumé du livre FAT FOR FUEL du Dr. Mercola que Johannes a traduit en français.
Pour l'iode, chacun y réagit différemment. Certains sentent des effets physiologiques flagrants et d'autres non. De plus, il peut être difficile de les distinguer entre tous les symptômes de transformation que notre organisme manifeste quand il y a de nombreux facteurs qui entrent en ligne de compte (transition alimentaire, autres compléments, étape émotionnelle importante, etc...).
Ce qui est sûr c'est que l'iode "travaille", donc mieux vaut prendre le temps d'affiner son ressenti en suivant les dosages préconisés plutôt que de pousser les doses à l'extrême pour ressentir quelque chose.
La cure d'iode s'avère alors être un bon moyen pour apprendre à revenir à l’écoute de son corps, et cela revient à développer son intuition !
Bonne suite d'expérimentation.
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