Chapitre 9.1 - par Galline

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« Reconnexion féminin - masculin »

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« La part de l'autre, un manque en soi »

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« Réparation épigénétique transgénérationnelle »

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« Mémoire militaire »

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« Homme-femme, piégés dans une génétique

détériorée de génération en génération »

 

 

Après ma reconnexion avec ma part féminine dans le chapitre 6, voilà le temps de ma reconnexion avec ma part masculine. Ce chapitre est le n°9 pas de hasard, c'est un 6 renversé. 

 

Aujourd'hui ma Supra-conscience me fait ressentir la peau du masculin. Ce matin encore j'incite mon époux à maîtriser ses pulsions sexuelles (sous-entendu calme un peu tes envies !). Je l'invite dans le cas contraire à les évacuer comme il pourrait "pisser" par le fait d'une auto-sexualité. Je suis alors dans un total déni et un profond refus de ce qu'il peut vivre à l'intérieur de lui. Mon jugement est d'une férocité : c'est son problème pas le mien, il n'a qu'à prendre la responsabilité de sa sexualité. Cette idée d'auto-sexualité le rebute, il me répond : "je n'ai pas à m'en vouloir de désirer ma femme !". Je perçois bien qu'il y'a un malaise en moi comme en lui. Tout autant que lui ça l'ennui de se faire à lui-même un câlin, ça me dégoûte de savoir qu'il en est là, obligé d'utiliser cette voie pour se soulager. Je le vois comme une bête primaire incontrôlable pour laquelle j'éprouve du mépris. Je le dénigre ce n'est pas mon "gentil mari" c'est une machine à sexe dénué de contrôle !

Cette méchanceté qui s'empare de moi est bien l'impact de mon prédateur sur moi pour m'endormir à la réalité de la situation. C'est bien une remontée mémorielle génétique qu'il vit, celle du temps des "premiers essais génétiques" de la part des reptiliens en créant pour leur service des guerriers "féroces".

L'effet secondaire "non prévu" sur ces sujets est leurs pulsions sexuelles incontrôlables. Anton Parks l'évoque très bien dans les chroniques de Girku dans la rencontre entre Enki et Enlil. Je vois très bien ce lien avec cette programmation "ancienne". Ce qui me fait horreur c'est d'imaginer des manipulations génétiques en vue de contrôler l'homme comme un objet télécommandable. Pourtant c'est bien la réalité encore aujourd'hui, la programmation continue. 

Je comprends mieux ce qui se passe de nos jours grâce à la vidéo 3 Gege le scientifique se dévoile.

 

Mon époux est un ancien militaire, programmé comme une machine à tuer (sans peur) par son entraînement aux arts martiaux. Pourtant fièrement il confie que le vrai contrôle, celui du maître, c'est de savoir immobiliser sans tuer. C'est parfaitement la volonté de notre système militaire actuel : ne pas endommager le "cheptel humain" mais le bloquer pour l'immobiliser à la merci du monde de la prédation. Il le dit lui-même : "je me défends sans tuer". Il a fait autrefois sa carrière dans l'armée de l'air comme membre de la guerre électro-magnétique, la guerre des ondes qui apportent "la mort invisible". A la place d'un soldat en arme au corps à corps une onde qui cible et target à distance, des maladies, des dégénération cellulaire, des arrêt cardiaques...  

Le lien devient de plus en plus perceptible entre programmation, sexualité et génétique. 

 

Il travaillait dans le service de renseignements, dans un bumker sous terre bombardé constamment d'ondes (son unité était dans un espace conçu comme une cage de faraday, l'onde rentre mais n'en sort pas et rebondit.). L'impact physique de ce bombardement électromagnétique sur eux était constamment contrôlé par le corps médical. D'ailleurs tous les hommes de la section ont eu des filles. Il fut la seule exception avec deux garçons nés durant ces années de service. Aujourd'hui, divorcé puis remarié nous avons ensemble une petite fille. Étrangement elle a un caractère très masculin dans son approche de la réalité. Elle est taureau ascendant taureau, ce qui me fait beaucoup rire, c'est une image qui montre bien sa manière frontale d'appréhender les choses. 

 

Je sens son besoin de se connecter à moi et par là, à mon potentiel féminin. Elle me fait faire des bracelets qu'elle porte. Je vois parfaitement sa tentative de reconnexion avec sa part féminine. Je tisse pour elle ses bracelets, un symbole pour montrer que par ma présence et par un effet épigénétique, elle restaure sa polarité féminine endommagée. D'ailleurs, souvent elle est venue vers moi dans des situations de libération par le pleur. Cela a déclenché chez elle également des pleurs. Je peux très bien imaginer que l'énergie quantique faible que libère ma remontée émotionnelle l'impacte au point d'entraîner une répercussion vertueuse dans son ADN, étant, elle aussi un de mes alter.

 

J'en viens à me demander si ce bombardement d'ondes n'a pas pour objectif de modifier la part féminine, la part intuitive en le masculin et dans un second temps sur sa progéniture. En modifiant l'ADN du père, la génétique de l'enfant est impactée : les garçons - les futurs hommes, leur part connectée à leur émotionnel est endommagé et pour les filles - les futurs dames, leur capacité intuitive à ressentir et à se questionner est altérée. Je vois bien à quel point mon époux lutte avec lui (son prédateur) pour contacter son émotionnel.

 

Le repas de midi arrive, au menu saumon-légumes, la graisse (l'huile de noix) a disparu, échappée dans le sac par le couvercle mal fermé de la "boîte à manger". A la fin du repas, une faim insatiable m'envahit : du chocolat. Je veux du chocolat !!! Depuis que je me plonge dans mes remontées mémorielles autour de la sexualité, je mange du chocolat à outrance (j'amène du sucre à mon organisme). Et là clairement, je ressens le manque c'est affreux. C'est terrible comme sensation de faim. Tout mon corps réclame cette pulsion chocolat, ma tête, mes pensées tout est dirigé vers ce but : remplir mon désir (de chocolat). J'en viens à marcher pour évacuer cette tension en moi, je me dis : je veux quelque chose qui va monopoliser mon attention pour évacuer cette obsession. Là, je me vois clairement dans la peau de mon époux quand il est soumis à ses pulsions sexuelles. 

(La question 99 d'Ikam m'a permis de mieux comprendre la manipulation de mon prédateur qui appuie sur le bouton désir, me rendant ainsi esclave de cette pulsion.)

 

Quel choc, je n'imagine pas jusqu'alors la prison dans laquelle il vit. C'est terrible. Je n'imagine pas jusqu'alors la prison dans laquelle je vis moi aussi. Lui l'exprime à travers ses pulsions de sexe, je l'exprime à travers mes pulsions de sucre. A chaque pulsion, on se nourrit pour nourrir notre prédateur.

 

J'ai remarqué à quel point le sucre est une fuite de l'émotionnel. Quand je suis perturbée par la prédation (remontée de mémoire génétique) avant de pouvoir conscientiser le processus, je m'aperçois que je me calme avec le sucre. Cela m'apaise. Ne serait-ce pas la même chose pour le sexe ? En tant que drogué du sexe ou du sucre, quand j'ai ma dose je me calme autrement dit, je me rendors. Car c'est bien qu'en l'émotion est trop forte, prête à exploser en moi (donc à déclencher un effet épigénétique vertueux) que je cherche à calmer cette tempête intérieure par une douceur sexuelle ou sucrée. Finalement je suis bien plus proche de mon masculin que je ne veux bien me l'avouer. On est en miroir.

 

J'ai fait part de ma prise de conscience à mon époux, j'ai ressenti en moi la prison des pulsions. Tout comme lui je suis piégée (moi qui me croyait à l'abris par mon savoir) j'en ai les larmes aux yeux. Il reste silencieux. Ce silence est pour moi un signe terrible de jugement. Alors je me mets à le questionner.

Est-ce que ça te touche ma prise de conscience (je suis en mode dévalorisation, je recherche totalement son approbation ou plutôt l'approbation de son prédateur). Et elle ne tarde pas à venir : si tu me comprends si bien peut-être tu accepteras de me faire l'amour quand je veux ! Je lui rétorque blessée : tu déformes tout ! C'est une "blague" ! Me dit-il, ne te fâche pas. C'est simplement nos prédateurs respectifs qui ont repris à leur compte l'énergie de ce départ de connexion féminin/masculin d'orientation SDA. Tout est fait pour détourner le rôle de l'émotionnel (ici "par l'humour"), pour empêcher qu'il ne déclenche en moi et en lui des questionnements libérateurs. Et surtout que je me mette encore à le juger. Voilà le piège, le dénigrer pour éviter ma reconnexion avec ma part masculine.

Pourtant s'est bien opéré en moi, un bouleversement, ou plutôt un renversement. J'ai ressenti ce que vit ma polarité masculine, mon époux. Est-ce un signe d'un début de reconnexion en moi avec "ma part de masculin" ? 

 

Il m'est douloureux d'accepter cette complémentarité masculin/féminin. Il m'est douloureux de voir l'utilité du masculin et de son prédateur. Car jusqu'alors, je vois le "mâle" comme le "mal". J'ai des difficultés en raison de la douleur de l'information de le voir comme un enseignant, pourtant c'est bien ce qu'il est. 

 

Longtemps mon prédateur m'a fait croire que le masculin n'est pas fiable. L'information qu'il me donne est mensongère "car il raconte que des bobards !" Ça, c'est ce que je croyais avant quand il racontait une histoire qu'on était censé avoir vécu dans cette vie. Alors que dans cet espace-temps cela ne s'est jamais produit. Ainsi sous la houlette de mon prédateur, je ne lui faisais plus confiance. J'avais même honte, surtout quand sa cousine (avec son prédateur complice) me disait : "tu as vu il en fait trop, personne ne le croit mais personne n'ose lui dire, il devrait travailler sa dévalorisation".

Menteur je pensais mais par douceur et complaisance moi aussi je n'osais lui dire. Par contre, je n'hésitais pas à l'envoyer consulter chez des amis thérapeutes pour qu'il reprenne confiance en lui et cesse d'être aussi théâtral pour impressionner son public ! Une belle pirouette de passer en mode sauveur pour aider celui qu'on aime, cela évite de se questionner sur la réalité. 

 

Une autre manière de m'éloigner de mon masculin car la réalité est tout autre. Quand il parle d'une expérience de sa vie alors que cela ne s'est jamais produit ici (sur cette terre à cette époque), il ne fabule pas. Il raconte ses alter, ses expériences de vie dans d'autre espace-temps. Par contre, il les raconte comme s'il l'avait vécu dans cette vie.

Le fait qu'il le fasse à son insu a créé ma confusion. Pourtant il a bien raison, les vies alter se réalisent en parallèle et en simultanée à celles qu'on vit. Leur intrication avec notre réalité est constante. Moi je le perçois comme un film qui se projète sur la réalité de ma vie. (Exemple je joue avec ma fille et je me vois en "transparence" jouer avec "ma sœur" (ma fille aujourd'hui) dans un temps où nos habits sont plus "anciens" et nos âges très proches 6-10 ans. Vu qu'il n'y a pas d'écran blanc comme au cinéma, je vois en transparence. Mon époux l'intègre directement à sa vie, ne faisant plus de différence entre lui ici et lui dans un autre espace-temps. 

 

L'histoire de ses exploits en public est bien une prise de pouvoir. Son prédateur grâce à son ignorance de sa capacité à connecter avec ses alter, se nourrit de l'énergie de sa prise de parole. En public, son prédateur, en le maintenant en "programme dévalorisation", active en lui son besoin d'être reconnu, il se sent alors obligé de raconter ses vies pour avoir sa place lors de repas.

Son prédateur se régale de la connexion émotionnelle que procure en lui le récit de ses "vies autres" et les prédateurs de l'assemblée se régalent de la fascination que cela procure en chaque personne qui l'écoute. Je me rends bien compte que la même prise de pouvoir s'opère chez moi quand je transmets une connaissance théorique à l'autre. Je me protège à travers la généralité pour ne pas me dévoiler (mon prédateur est ainsi bien satisfait d'être protégé et non dévoilé).

 

Jusqu'alors, je dénigrais mon époux car je n'avais pas de repères pour cataloguer sa démarche de conscience. Je me disais qu'il ne s'intéresse pas à l'évolution de son être car il ne cherche pas dans l'ésotérique, ne s'intéresse pas (comme moi) au new-âge ou aux peuples galactiques. C'est une vison bien étroite du chemin que peut prendre la conscience.

Il est temps que je comprenne que l'homme ne vit pas un processus de conscience de la même manière que la femme. Ce qui ne signifie pas (parce qu'il prend un chemin différent) qu'il n'existe pas en lui de prise de conscience. Lui s'intéresse au corps, au sens des maux. Sa compréhension passe par le corps, à chaque prise de conscience coïncide d'ailleurs une réparation qu'il effectue sur le moteur du bateau, de la moto ou de la voiture. (Mais sans connexion avec son émotionnel pas de libération épigénétique, l'information reste mentale.)

 

Cela me renvoie à ne plus le rejeter et de ce fait à ne plus rejeter mon prédateur. Car je renie encore le masculin et mon prédateur soit par le fait de le fuir en me protégeant de lui, soit par le fait de le nier en minimisant son impact sur moi. Le fait que mon prédateur soit en quatrième dimension invisible à mes yeux, cela m'arrange bien pour douter de sa présence et de son interaction avec moi. Pourtant je le ressens avec mes autres sens.

 

Oui le masculin m'enseigne sur un aspect pragmatique, plus "matière de la réalité". D'ailleurs, c'est bien mon mari qui m'a parlé de la guerre des ondes. Information que je retrouve dans la vidéo 3 de Jenaël, Sand et Hélène avec Gégé le scientifique. C'est pour moi le signe qu'il est temps d'arrêter d'écouter mon prédateur qui me pousse à décrédibiliser le masculin et sa place dans le déclenchement de mes prises de conscience. 

 

Il est temps qu'on fasse à nouveau alliance pour se réparer mutuellement. Comment mon masculin va-t-il pouvoir m'aider et comment vais-je pouvoir l'aider ? Je comprends que mon époux a une déconnexion avec son émotionnel. J'en émets l'idée que la déconnexion avec sa part émotive, féminine est une déconnexion due à un dommage avec son ADN. Comment se dommage arrive-t-il ? Sommes-nous nés avec ces dommages ? Sûrement, c'est ce que nous disent les vidéos des Leo. 

 

Parenthèse : je connais toutes ces informations sur l'ADN détérioré par la prédation mais tant que je les ai pas vécues, elles sont pour moi vraies mais "étrangères". Je dois moi même expérimenter pour que le savoir des autres passe par mon vécu et déclenche des émotions pour être une connaissance vivante en moi. Ce texte est cela, ma connaissance vivante. Chaque passage à son sens (mon prédateur m'incite à faire court, à résumer mais cela deviendrait théorique).

 

Un autre indice donné par ma Supra-conscience va me faire prendre conscience de l'impact transgénérationnel de nos comportements. Une collègue de travail finit son repas au moment où je rentre dans la salle. Elle s'écrit : "je n'arrive pas à grossir, c'est un vrai casse-tête, si je ne vais pas au moins une fois à Mc Donald je dépéris ! J'ai sûrement une tendance à l'anorexie pourtant je mange souvent et bien !".

Je ne peux m'empêcher d'intervenir et lui explique les bases d'une alimentation basée sur le sucre et les bases d'une alimentation paléo-cétogène. En d'autres termes la transition du sucre vers la graisse comme nouveau combustible du corps. Elle est effarée et se demande déjà comment elle va pouvoir se passer de sucre. C'est pour elle la fin du monde ! Je lui explique que c'est une drogue dont elle peut se sevrer progressivement.

Elle m'explique alors : "Je ne peux pas, j'aime trop le sucre j'en mourrais de ne plus en manger d'ailleurs mes parents allaient bien avant moi au Mc Donald. C'est dans nos gènes !"

 

En effet, elle a raison, elle court un vrai danger et son sevrage ne pourra se faire que progressivement car l'intoxication est tellement profonde qu'elle a modifiée l'ADN d'une génération à l'autre. La première génération ayant "handicapée" la génétique de la génération suivante. Cependant je la rassure, une sortie de secours est bien possible avec du temps, du courage et de la persévérance. Je sens son désespoir, elle rajoute : "c'est trop dur, pourtant je sais que vous avez raison, le père de mon fils qui est médecin me dit un peu pareil." Elle rajoute : "Et si c'est mon identité (sous-entendu de manger comme ça)". En effet, cela a créé une nouvelle identité induite et programmée par la détérioration de son ADN. Je lui explique que c'est une identité à laquelle elle est soumise et qu'elle n'a pas choisie. Est-ce ce type d'identité imposée qu'elle veut pour elle-même ? La discussion s'arrête là. Pour la première fois, je ne juge pas quelqu'un qui fait des choix différents des miens. Je la respecte et n'insiste pas en voulant la convaincre. Elle représente un de mes alter piégés dans une génétique détériorée de génération en génération.

 

Cette discussion m'a ébranlée, je regroupe toutes les informations de la journée : 

Ondes, guerre électromagnétique (vidéo 3 Gégé le scientifique se dévoile), contrôle super soldat.

Désirs sexuels obsessionnels, effet secondaire des modifications génétiques des reptiliens (Anton Parks). 

Sexualité compensation alimentation.

Alimentation à base de sucre et ADN déstructuré transmis de génération en génération.

 

Je cherche à confirmer mes intuitions de départ sur la déconnexion de mon mari avec son émotionnel par des "recherches extérieures" avant de lui en parler. Pour la première fois je fais appel à mon "cerveau", le mental pour confirmer mon intuition. Voilà ce que je trouve à travers des sites internet et le réseau LEO :

 

Extrait d'article du site SOTT/partie science

"Barry Trower, un physicien expert en micro-ondes ayant travaillé pour la Navy, révèle que les micro-ondes sont employées couramment par les armées et les gouvernements pour nuire à des opposants ou des ennemis en les rendant malades et ainsi les faire mourir à petit feu. 

C'est déjà suffisamment cynique et horrible comme cela, mais Barry Trower explique que le pire, c'est le Wi-Fi : les micro-ondes du Wi-Fi altèrent le matériel génétique et plus spécialement l'ADN des ovules, au point que toute la descendance d'une femme atteinte par ces radiations sera impactée de manière irréversible."

 

Voilà un lien concret entre l'armée, les ondes et le dommage de génération en génération de l'ADN.

 

Un autre article "Le Wi-Fi des portables dégraderait l'ADN des spermatozoïdes" de Jean-Luc Goudet Futura-Sciences mer., 30 nov. 2011

"Dans les laboratoires de Nascentis Medicina Reproductiva, à Cordoba (Argentine), Conrado Avendaño et son équipe ont mesuré un effet possible dans un domaine bien précis : la santé des spermatozoïdes humains exposés à une émission Wi-Fi toute proche. Et leurs conclusions sont que la mobilité de ces cellules sexuelles se réduit tandis que les défauts dans leur ADN se multiplient. Le travail vient d'être publié dans la revue Fertility and Sterility. 

 

Pour l'expérience, le sperme de 29 donneurs a été séparé en deux séries de lots, les uns installés durant quatre heures sous un ordinateur portable téléchargeant des données via une liaison Wi-Fi et l'autre loin de toute émission et exposés aux mêmes conditions de température. Les chercheurs constatent une réduction significative de la mobilité de ces cellules flagellées, un bon indicateur de leur santé et de leurs performances pour la reproduction. Après quatre heures, 86 % des spermatozoïdes étaient encore en pleine forme dans les lots non exposés contre seulement 75 % pour les autres. À l'examen biochimique, ils comptabilisent trois fois plus de défauts dans l'ADN dans les cellules exposées. En revanche, ils ne notent aucune mortalité supplémentaire."

 

Puis dans son article "On sait mieux comment les fœtus deviennent des mâles ou des femelles" de Antoine Grosjean, La Tribune de Genève jeu., 03 jan. 2013 19:20 UTC

"On sait que chez les mammifères, le développement sexuel commence dès la conception, quand le spermatozoïde transmet à l'ovule un chromosome X ou Y qui va déterminer le sexe de l'embryon à venir. Ce que l'on comprenait moins bien jusque-là, c'est comment, au-delà de sept semaines de gestation, ce sexe génétique contrôle la formation d'ovaires ou de testicules, qui sont responsables de la sécrétion d'hormones nécessaires à la féminisation ou masculinisation du fœtus. 

Les chercheurs genevois ont levé une partie du voile sur ce processus complexe, en identifiant le rôle capital joué par une famille d'hormones, les facteurs de croissance apparentés à l'insuline. Ceux-ci sont connus pour leur implication dans la régulation du métabolisme, de la croissance, et des capacités reproductives de l'individu. En observant des souris transgéniques, il est apparu que sans ces facteurs, les glandes sexuelles sont incapables de se développer en testicules ou en ovaires. L'embryon ne se différencie alors ni en mâle ni en femelle."

 

Dans un autre article "IGF-1 ou insuline facteur de croissance" source 

"comme le niveau d'hormone de croissance augmente significativement lorsque le niveau d'insuline est bas (...) 

- L'exercice physique intense et soutenu augmente la quantité et le nombre d'impulsions de libération de la hGH [hormone de croissance]. Intense est le mot clé ici ; la petite course à pied (jogging) ne sera pas efficace.

- Un régime correct, le contrôle diététique aident à surmonter l’excès d'insuline afin de favoriser la sécrétion de glucagon et d'hormones de croissance : préférer les aliments à faible IG (indice glycémique) ayant un temps long de vidange gastrique ; réduire le volume du bol alimentaire.

L'hypoglycémie, le jeûne augmentent la fréquence pulsative et la quantité de hGH sécrétées.

Trop manger stimule l'insuline et s'oppose à la libération de hGH.

À long terme, un régime alimentaire inadéquat peut interférer sur la libération de la hGH et la formation de IGF-1 appropriée. L'obésité diminue la sécrétion pulsative de la hGH, et cause également sa dégradation accélérée par le corps.

- le jeûne en soirée et le jeûne nocturne pour le contrôle et la régulation de l'insuline : L'hypoglycémie, ou faible taux de sucre dans le sang, a tendance à se produire la nuit tout simplement parce qu'on ne mange pas lorsque l'on dort. Quand le taux de glucose dans le sang chute, le glucagon et l'adrénaline sont libérées comme source secondaire d'énergie. En tant qu'hormones stimulantes, cette libération la nuit peut provoquer des conséquences.

Tous les exercices de lever de poids favorisent la sécrétion de hGH, mais ceux qui impliquent la mise en action des groupes de muscles majeurs et de haute résistance tendent à être les plus efficaces."

 

Dans l'article source https://protections-danger-ondes.com/preuve-exposition-ondes-insomnie-troubles-sommeil-stress/

"Par exemple il a été démontré que le fait d’être exposé à un champ électromagnétique a pour conséquence de réduire le taux de l’hormone du sommeil de 80% (Mélatonine) : Créant insomnie, troubles du sommeil, du stress et de l’irritabilité (nervosité)…"

 

Cela réduit ainsi le temps de production favorable de hGH qu'est la nuit (en état de faible taux de sucre dans le sang).

Est-ce pour cela qu'instinctivement j'éteints la box la nuit ?

 

Hélène sur son site de l'épopée de la conscience dans le chapitre 6 écrit :

"l'intégration du rôle fondamental du féminin s'exprimant à travers la spécificité de sa dernière paire de chromosomes XX.

J'ai bien reçu les informations concernant mes capacités engrammées dans ma génétique et maintenues en sourdine. Cependant le déverrouillage n'est pas aussi simple que ça, car mon prédateur se charge d'appuyer sur les bons boutons, me dissuadant de regarder dans cette direction ou m’enjoignant de la rejeter de toutes mes forces…"

 

Ma remarque à cette lecture : L'enjeu pour le prédateur est donc le chromosome XX est sa mise sommeil pour éviter le réveil de l'émotionnel libérateur.

Hélène poursuit "Mon esprit était paralysé par cette camisole, cette cage dont la prédation s'est assurée la transmission au travers des mémoires collectives et individuelles, et qu'elle réactualise lors de certains événements du quotidien. Cette "fillette" (nom donné à une petite cage de torture destinée entre-autre aux sorcières) m'immobilise dans mes schémas de victimisation et de fillette !"

 

Je ne peux pas m'empêcher de penser au bumker construit comme une cage de faraday dans lequel travaillait mon mari dans ses années militaires.

 

Elle écrit ensuite "Aucun manuel scolaire ne parle de ce chemin de libération… sinon ce parcours en 3D serait trop facile, et il en perdrait son sens initiatique ! En brimant le rôle précurseur de l'énergie féminine qui doit s'allier avec le principe masculin dans le processus d'évolution, le système SDS pose un challenge motivant l'humanité à s'émanciper."

 

Ces mots confirment ce que je ressens : L'émancipation passe bien par la reconvention, reconversion, (je voulais écrire reconnexion je conserve les erreurs de frappe) avec son principe féminin. 

Hélène dit dans son texte : "ASSUMER MON RÔLE !

 

C'est assumer que je possède dans ma génétique, ce fameux programme de transmutation auquel mon compagnon ne peut avoir accès en lui-même tant que l'alchimie épigénétique ne s'est pas produite en moi par le biais de l'accueil émotionnel, aboutissant à une humble acceptation de mes schémas de prédatrice, c'est à dire de l'omniprésence du prédateur dans mon psychisme et dans ma physicalité.

Puis dans un second temps, la femme que je suis doit prendre possession de sa capacité à percevoir et à accueillir la manifestation de la prédation. Elle peut alors insuffler cette Connaissance vivante à son alter-ego masculin, qui à son tour va pouvoir apporter au couple une vision plus élargie, plus intellectuelle, ce qui complétera et amendera la Connaissance qui éclos au sein du féminin.

Donc la femme qui reconnecte l'énergie féminine primordiale en dépassant ses blessures, redécouvre au travers de son rapport à la prédation la science des émotions. Elle peut alors retrouver l'usage de sa clé afin d'ouvrir la voie.

 

Cela confirme mon ressenti, la reconnexion à son principe féminin permet de recontacter son émotionnel. Par le biais d'ondes, l'ADN en son principe féminin peut-être altéré. Omnipotent, l'être cherche sa patte manquante, sa part féminine.

Cela me fait penser à une araignée qui s'est posée sur ma main. De son côté gauche (le masculin), une patte sur les quatre est cassée. Elle est présente mais inopérante, elle la traine ce qui entrave sa marche. Quelques heures plus tard, elle meure.  

 

Hélène parle ensuite de sa situation avec son compagnon :

"Cette situation me rendait d'autant plus triste qu'elle me touchait de près : je constatais à quel point David était soumis au poids de ces puissants conditionnements, consistant entre autre à refouler ses émotions...

 

Pourtant, l'humain fortement endoctriné peut tout aussi bien être porteur d'une génétique permettant de propulser l'âme vers la Quête Sacrée du SDA. Mais ces gènes ont été rendus inactifs par une technologie de reprogrammation mise en œuvre par les seigneurs de l'involution afin que l'humanité devienne aveugle et sourde à cette "option" originelle. Il n'y a que par la prise de conscience (donc l'activation de l'émotionnel refoulé, combiné à une connaissance élargie de la réalité du système de contrôle) que peut s'activer l'alchimie épigénétique. C'est à dire en transcrivant ces gènes originels jusqu'à présent éteints, et en permettant à d'autres lignées galactiques inscrites dans ces séquences d'ADN (telles qu'Abgales, Léonines, Kadistu, Nungal...) d'exprimer leur plein potentiel au service d'une évolution vertueuse et non vicieuse.

 

Ce X, vint me rappeler l'information selon laquelle la femme (par la complétude de la dernière paire de chromosomes XX) a effectivement en elle la clé qui lui confère la capacité d'ouvrir des portes.

Et je constatais une chose importante : cette paire de chromosomes féminins sur les panneaux de la gare avait un lien direct avec le poids accablant des bagages du masculin soumis à ses programmes limitants... La femme que je suis a le choix, elle peut soit continuer de se laisser écraser (et bien sûr écraser l'autre à sa manière), soit sortir du déni qu'elle entretient par son statut de victime, et donc VOIR son importante responsabilité concernant l'accumulation de valises, formant maintenant une montagne, et rendant si difficile la progression du mâle ! "

 

 

* * *

 

A travers mes expériences vécues et ces articles internet, voici ce que je comprends :

 

Le but de la prédation de 4ème dimension, à travers les opérateurs SDS comme l'armée, les industries alimentaires ou médicales, est de maintenir sous leur coupe l'Homme sapiens sapiens (nous) en s'assurant que son ADN continue à se détériorer ce qui constituent pour eux l'assurance d'une docilité du cheptel humain et d'un servage invisible. 

 

Le principal danger, qu'il ne contrôle pas, est l'énergie nucléaire faible émise par l'univers. C'est aussi cette énergie qui a lieu quand une remontée émotionnelle (pleurs) s'opère en connexion avec la partie féminine, la partie intuitive de l'être que l'on soit homme ou femme. Cette même énergie réveille un élément chiristique, un liant de l'ADN qui permet une reconstitution de notre génétique. Cet élément réparateur en l'ADN les Atlantes, les Cagots, les Templiers... en sont porteurs dans leur génétique et l'ont transmis de génération en génération pour un réveil de l'humanité. 

 

Pour contrée cette transmission la prédation s'est, en premier temps systématiquement attelée à éradiquer les porteurs de ce gène dangereux pour le maintien de leur pouvoir. Ce qui explique les exterminations répétées, les atlantes au moyen-âge, les cagots et sorcières ensuite, les cathares puis les templiers et ensuite les juifs.

Mais aujourd'hui cette génétique est disséminée dans l'humanité. Il est temps de réduire le nombre d'hommes et femmes pour mieux maîtriser leur vie et de s'assurer qu'ils restent dociles concrètement, qu'ils ne contactent pas leur intuitivité, leur part féminine qui les pousse à se questionner.

Mais une torture ou une élimination classique est voyante, longue et crée des rébellions. Par contre un embrigadement par la pensée pousse les gens à défendre eux-mêmes et de leur plein grès une cause qui les enferme. C'est ce que l'expérience de la Seconde Guerre Mondiale à révéler.

Donc la troisième guerre mondiale, aujourd'hui est une attaque non frontale mais invisible sur l'ADN de chacun de nous, à travers une programmation culturelle médiatique, alimentaire mais aussi une interférence constante avec des champs électromagnétiques dont le corpus prédateur maîtrise l'impact.

L'homme se retrouve piégé dans une cage faite avec ses propres côtes son ADN mais c'est ce qui fait aussi la fragilité de la cage car si l'ADN se restaure la cage s'ouvre.

 

Mon époux représente cette nouvelle armée : "un embrigadement par la pensée pousse les gens à défendre eux-mêmes et de leur plein gré une cause qui les enferme". Il s'est lui-même porté volontaire pour défendre la cause des démunis et grossir les rangs de l'armée. Il est dès le départ sélectionné par test psycho-technique, psychologique et physique pour être l'élite de l'armée de l'air propulsé dans la guerre électronique au service des "écoutes".

Son intuitivité et son émotionnel lui a toujours valu d'être repéré par ses chefs car il contestait tout ordre de mission non justifié. Ce qui lui a valu de ne jamais être officier en réprimande. Ce qui renforce l'idée d'une grande dévalorisation d'être un homme féminin sensible. L'armée a instauré cette croyance, si tu es émotif, tu te poses des questions c'est mal, tu es puni. Tout élan sensible intuitif est donc systématiquement réprimandé.

 

Il travaille donc à écouter le monde, dans un bunker sous terre, une cage de faraday, où les ondes rentrent, mais ne sortent pas (pas de fuite d'information). Un vrai rat de laboratoire.

En plus du bombardement des ondes, on lui apprend à fragmenter son esprit (on le sait aujourd'hui c'est l'une des techniques les plus efficaces pour accéder au consentement d'autrui par le fractionnement de sa personnalité). Il sait écouter et transcrire à l'écrit 5 langues.

 

A la fin de sa carrière il est un "crac" (son ADN fait crac), il prend deux langues en même temps, dans une oreille il écoute l'éthiopien et dans l'autre le somalien. Il a sur son ordinateur deux fenêtres ouvertes et il alterne la prise de chaque langue. Il me confiera que parfois quand il rentre chez lui, au lieu de dire bonjour en français, il le dit en éthiopien ; un bel exemple de fractionnement de la personnalité.

 

D'ailleurs, cela l'impact d'un point de vue énergétique car quand il passe la porte de chez lui, ses enfants à l'époque tous jeunes, lui disent : "Bonjour monsieur". L'enfant plus intuitif ne reconnaissait pas l'énergie de son père. Il fallait deux à trois jours le temps que cela s'estompe (le temps qu'il retrouve son identité ? Grâce à la connexion avec le féminin par le sexe ?)

 

Cette omniprésence d'ondes est contrôlée par les scientifiques de la base qui surveille leur "rat" précieux. Quand ils se reproduisent, la majorité de son équipe fait des filles. Mon époux est la seule exception pourquoi ?

Son ADN est particulier donc sûrement plus résistant. Il possède la capacité de changer de groupe sanguin, selon le milieu dans lequel il se trouve, en Europe dans une situation calme il est un groupe, en Afrique, en zone de conflit il est un autre. Il possède deux uretères à son rein...

A l'époque, il ne sait pas que ce sont des mémoires vivantes de son ADN Atlante ou autres, pourtant l'armée, elle le sait bien, avec tous les tests qu'elle fait sur lui. D'ailleurs, un jour un général, celui qui a formé son équipe 20 ans auparavant l'appelle et lui dit : vous êtes le dernier de votre promotion. Il prend cela comme un avertissement du destin et quitte l'armée pour la mer comme capitaine de port. Mais pourquoi alors qu'il est si précieux, on le laisse partir sans danger ? Il a été neutralisé. Son ADN a été endommagé pour le rendre inopérant à sa prise de conscience. Sans compter un contrôle permanent par le bais de son prédateur en quatrième dimension.

 

En effet, je pense que les vaccins en sur-dose, le bombardement d'ondes (entre autres) qu'il a subi ont affecté son ADN au point de le couper de sa partie féminine, intuitive. Lui qui est un homme très sensible de naissance, un masculin très féminin voir maternel dans sa relation aux autres. Je comprends mieux le choc de ses enfants qui (après ses "mutilations" d'ADN) ne le reconnaissent plus puisqu'il perd son côté féminin au profit de son côté guerrier plus favorable à l'armée. Les enfants sont des récepteurs extrêmement précis des changements qui s'opèrent en nous (de par leur intuitivité due à une identité "non dressée"). 

 

Or à cette période, les "missions" l'éloignent des mois durant de ses enfants et de sa femme. Ainsi l'indicateur qu'ils peuvent représenter pour lui est inopérant. Quand à sa femme, ils se voient peu. Le potentiel de reconnexion qu'elle possède naturellement en son ADN et qui pourrait le reconnecter à son intuitivité ne s'active pas car ils se voient trop peu. Elle dira d'ailleurs "j'ai vécu toute ma vie en célibataire, tu n'as fais que des apparitions". Cela montre bien l'absence de connexion masculin-féminin.

 

Au moment où il quitte l'armée, il rentre à la maison. Il est alors en face à face avec sa partie féminine. Assez vite, elle demande le divorce car cette omniprésence est pour elle insupportable. Ce qui sous-entend aussi sa gêne devant le besoin constant de son mari de relations sexuelles. "Je suis très bien toute seule" affirme-t-elle. Je suppose qu'une partie de lui sentant cette déconnexion dans son ADN avec sa part féminine va le pousser à aller rechercher ce lien à travers le sexe avec son épouse.

 

Je me rappelle l'histoire cagot (dont il est issu) et la place du sexe dans la transmission de leur ADN. Dans la vidéo le rêve de Jenaël la momie, Jenaël explique que les femmes cagots par leur relation avec les hommes leur transmettaient leur ADN et les gênes libérateurs qu'elles possédaient.

 

Je comprends mieux pourquoi une impulsion intérieure subconsciente issue d'une mémoire génétique cagot, le pousse au sexe pour restaurer sa génétique endommagée. Bien sûr il le fait à son insu. Et le prédateur de sa femme ne tarde pas à éviter ce processus de reconnexion en lui faisant croire que son mari est trop présent, trop sexuel, trop demandeur... au point de l'emmener à croire qu'être seule est, et a toujours été, son choix.

La manipulation de son prédateur sur elle est d'autant plus facile qu'elle-même, à ce moment là, est déconnectée de son ressenti, de sa part féminine. Je suppose qu'il n'y a pas que les hommes qui étaient ciblés par les ondes mais aussi leur femme. Car si l'armée endommageait l'ADN des soldats, il fallait éviter qu'il le restaure au contact de leur partie féminine, leur épouse. Donc sa part de féminin en elle, est autant bombardée d'ondes et affectée que peut l'être la part féminine en l'ADN de son époux. L'homme tout comme la femme sont ciblés pour un plus grand asservissement, c'est pour cela je suppose, que les familles vivent sur la base à proximité des bombardement d'ondes.

 

Je me vois en cette femme, moi aussi je suis ravie qu'il travaille pour deux aujourd'hui, car il m'entretient (je n'ai pas à me soucier de l'aspect matériel des choses). Ainsi, il est moins présent à la maison et moins sollicitant sexuellement. Une bouffée d'air frais entre deux remontées mémorielles génétiques de viols ou de sexualité abus. Je n'ai pas fui son rôle pour moi "d'initiateur bourreau" permettant la révélation de mes mémoires génétique, cependant l'information est douloureuse.

 

Parfois je souhaite atténuer cette remontée en l'éloignant de moi car je m'imagine qu'il est le responsable. Il est le facteur de réveil, le déclencheur. Il n'est pas à incriminer comme je pouvais le faire avant. Il répond parfaitement à mon émanation. Une partie de moi lui envoie la "permission" de me solliciter avec ses envies. En effet, ce sont Mes envies subconscientes de libération de mon ADN (par le sexe) qui activent Ses envies. S'il me sollicite autant en me mettant la pression pour le sexe, c'est qu'en moi il y a une pression : l'énergie quantique faible que je reçois de l'univers qui pousse à la réparation et donc à la libération de tout ce qui a pu détériorer mon ADN (mémoire d'abus sexuels).

 

Je peux donc dire que j'aime le sexe autant que lui alors que je dis tout l'inverse : "le sexe très peu pour moi !". En réalité j'accepte le sexe quand il a une orientation libératrice (SDA). Donc quand je refuse cet acte, c'est que je bloque une libération. Ce qui explique que je me sens parfois frigide incapable d'aller vers lui. (Souvent mettre en mot mon malaise me permet ensuite de revenir vers le corps pour ressentir et libérer par le pleur). Je vois bien mon déni du sexe, de ce processus de régénération de mon ADN avec le masculin. Car pour le moment avec mon masculin, mon époux, notre réparation passe par un lien corporel (le sexe), c'est plus évident (et facteur d'émotion libératrice) que de passer par le lien de l'information, quand je lui parle de mes prises de conscience où cela reste mental. 

 

Bien sûr, il m'est plus facile de me dire que tout est de sa faute, que le masculin est en tort, que je me fais des films sauf que c'est faux, c'est un beau mensonge pour l'éloigner de moi. Il y a toujours une part en moi qui préférerait l'incriminer, divorcer. C'est ma part en fuite de ce qu'il peut m'apporter pour ma libération. Une part activée par mon prédateur pour que ma réparation n'est pas lieu et par conséquence la sienne aussi.

 

Quand j'ai rencontré son ex-femme, j'ai été étonnée de son côté froid insensible, elle qui pourtant est très sensuelle. La "sur-féminisation" de son corps est-ce un moyen pour elle de contrebalancer son ressenti intérieur, qui lui indique que sa part féminine est éteint en elle ? De la sorte, si elle se voit et qu'on la perçoit, ultra femme avec ses vêtements, elle se persuade (avec l'aide de son prédateur) qu'elle est effectivement femme. Ainsi, elle évite son ressenti douloureux : de s'apercevoir que sa partie féminine est "éteinte", endommagée dans son ADN. Sans accès à son ressenti, aucun réveil en elle ne se produit pour rétablir sa génétique initiale. Car il me l'a souvent dit : "quand je l'ai épousée elle n'était pas la même. Elle aimait être avec moi, me faire l'amour. Après je devais mendier un contact, un câlin." On peut le voir comme une évolution, chouette plus de sexualité, plus de dépendance au sexe, ils s'en sont libérés. Mais c'est totalement faux, il y'a un déni de la relation sexuelle qui va jusqu'à la frigidité. Pour orienter le sexe vers une voix SDA, il faut d'abord traverser l'ombre du sexe SDS (en aucun cas s'éloigner du sexe pour se dire c'est réglé).

 

Notre extérieur reflète notre intérieur. A ce moment là, le divorce est pour lui et pour elle la représentation symbolique de ce qui se passe dans leur ADN. Leur part féminine dans leur génétique respective est isolée, "seule", du reste de leur ADN. Comme la partie féminine en son ADN est isolée, c'est ce que fait son épouse : elle s'isole préférant être seule. Elle répond simplement à l'information qu'émet sa génétique. Et par la même occasion elle mime pour lui, comme en miroir, l'état de son ADN. En tant qu'homme sa part génétique féminine est aussi "déconnectée". Elle l'informe de cette situation de déconnexion en lui par le fait qu'elle se déconnecte de lui par le divorce. Elle est la messagère.

 

Il rencontrera suite à son divorce, une femme qui va l'initier à la médecine quantique et lui ouvrir les yeux sur "un monde plus vaste". Celui de l'énergie. Il passe ainsi d'un environnement SDS négatif militaire à un environnement SDS positif celui de la médecine quantique. Pourtant auprès de cette femme, il n'a aucune envie. C'est totalement paradoxal pour un homme débordant comme lui ! Je pense simplement que son subconscient sent qu'en l'ADN de cette femme sa partie féminine est aussi "déconnectée", par le traumatisme du viol subi dans son enfance par son beau-père. Elle a vécu avec sa mère dans un milieu empreint de magie, de rituels liés à la franc-maçonnerie. Pas étonnant que quand elle est avouée sa "faute" d'avoir été violée, sa mère ne l'ai pas crue. Comment admettre pour sa mère que le viol est néfaste quand on est baigné dans des rites qui utilisent l'abus pour un contrôle plus efficace sur l'autre ?

L'envers du décor est peut-être l'acceptation (par passivité) de sa mère à son viol. Sa mère est "habituée" de ces pratiques en tant que membres de société secrète. Le viol est une normalité dans le monde satanique. Elle a peut-être perçu cela comme une forme d'initiation pour sa fille qu'elle-même a peut-être connue. 

 

Ma rencontre avec lui sera en lien avec la sexualité, je suis sa bouffée d'oxygène et il est la mienne ! Enfin un homme qui aime mon corps (après 16 ans de kinésithérapie où mon corps n'est pas acceptable donc rééduqué par les hommes, il est le premier homme qui m'aime comme je suis ! C'est mon sauveur !). Et c'est rien de le dire !

 

Inconnus le jour, dans nos vies respectives tous deux malheureux en couple, nous sommes amants la nuit. Nous vivons la nuit. Des heures à faire l'amour, deux, trois, fois d'affilé. Soyons honnête, à cette époque là notre énergie émise par nos ébats alimente grassement nos prédateurs. La morsure d'amour entre nous deux prend forme d'année en année et se verrouille par un mariage. Grâce à ce huit clos marital, je traverse l'ombre SDS de la sexualité. Mon mari en parfait bourreau et moi en parfaite victime visitant ainsi mes mémoires génétiques avec mes alter de femme sexuellement abusée, violée.

 

Ma part féminine se "redresse", ma honte de femme de ma sensibilité à fleur de peau diminue au point que je pleure mes libérations émotionnelles devant mon mari et ma fille leur révélant ainsi en miroir "leur part féminine" endormie dans leur ADN. Je comprends maintenant que derrière ces parties de jambes en l'air (domination homme-femme SDS) il y a un enjeux SDA. Pour cet homme il y a un enjeu de reconnexion avec sa part féminine, sa part intuitive et pour moi un enjeu de reconnnexion à ma part masculine. 

 

Ce jeu de miroir : l'attitude de ma fille envers son père est très révélatrice de l'état de mon ADN et de celui de mon époux. Elle rejète constamment son père. Il a fait une première libération par le pleur de ses mémoires génétiques de père incestueux. Pourtant le processus continue et le jeu de rejet se maintient et je souffre comme lui de la situation car il y a d'autres messages à voir pour lui comme pour moi. Elle mime à son insu l'état de nos ADN respectifs.

Pour lui, le rejet de sa fille représente la partie féminine en lui, endommagée - déconnectée - "mise à distance" en son ADN. Pour moi, ma fille en mettant à distance son masculin, son père m'informe sur ma partie masculine en mon ADN mise à distance. Cette fois c'est l'inverse, pour moi, c'est ma part masculine qui est rejetée - déconnectée, endommagée en mon ADN. Cela explique le fait que jusqu'à maintenant et "malgré moi" je juge, dénigre et rejète l'homme de ma vie. En réalité, c'est mon prédateur qui par le biais de ma part d'ADN endommagé me manipule. Si je ne me laisse plus influencer, j'écoute à la place cet envie d'aller vers l'autre, j'arrête ce rejet, je retourne vers ma part masculine, je répare ainsi mon ADN et mon prédateur perd de son influence sur moi. Je retrouve ma liberté de pensée et d'agir pour mon bien. 

 

Je mets à distance le masculin car ma part masculine est en mon ADN mise à distance, endommagée. Ce qui explique mieux pourquoi durant toute mon enfance le contact avec mon père est inéxistant. Il avouera ne pas pouvoir me toucher de peur de me casser. Métaphoriquement, en effet "la part cassée" en mon ADN est la part masculine "sans contact" avec le reste de mon génome. Je parlais du processus de reconnexion avec son féminin par la tenue vestimentaire très féminisée et sexualisée. Je sens ce même élan en moi de reconnexion avec ma part masculine mais par le biais d'un habit très masculin et sexualisée (exemple porter une chemise large, masculine, ouverte sur le décolleté plutôt qu'un débardeur plongeant et moulant). Je vois bien ma volonté d'être proche du masculin pour "l'attirer en confiance" (morsure d'amour) et me rapprocher de lui pour recevoir sa part d'ADN réactivant ainsi ma part endommagé. Je m'en suis longtemps voulu de ne pas être féminine comme tout le monde. Maintenant je comprends le message sous-jacent derrière mon choix vestimentaire et pourquoi je me trouve belle et sexy en "homme" (en pantalon large plutôt qu'en jupe courte).

 

Je comprends que la détérioration de l'ADN se transmet de génération en génération (l'exemple de ma collègue de bourreau (bureau) est flagrant). 

Moi j'ai reçu en mon ADN une détérioration de ma part masculine, détérioration qui semble exister également en l'ADN de ma mère. Ma mère a perdu son père, son repère masculin, a 18 ans. Un vide insoutenable dont je ressens encore la présence en elle aujourd'hui. Sa douleur n'est-elle pas le signe d'une douleur intérieure plus profonde : sa déconnexion en son ADN avec sa part masculine ?

Elle reproche d'ailleurs à mon père d'être toujours lointain et froid, de ne pas aller vers elle par tendresse. Le refus de mon père de l'épouser crée un profond vide en elle. C'est une source de tristesse et d'échec (d'abord elle est sans père, ensuite sans mari malgré l'amour qu'elle lui porte le lien avec le masculin se fait mais avec distance). Je sais que c'est en partie en revanche de ma mère que j'ai demandé la main de mon mari. A cette époque je me suis dis : "j'ai eu ce qu'elle n'a pas pu obtenir de l'homme."

En réalité, par le mariage, je tente de réparer mon ADN en me rapprochant de l'homme par un lien solide : "le huit clos marital". 

 

J'ai toujours rejetée ma mère car elle est mon miroir. Ses difficultés de connexion avec sa part masculine sont aussi les miennes. Elle me montre par sa présence et son comportement, l'état de son ADN et par conséquence l'état de mon ADN.

La repousser c'est repousser l'information qu'elle me donne et ne pas entamer de guérison. Plus jeune je me disais : "Quand je serai grande, je veux être tout sauf elle. Je la déteste. Je ne veux pas lui ressembler. Jamais."

En réalité, j'exprimais mon désir de réparer mon ADN endommagé et de ce fait de ne plus lui ressembler, ne plus être/avoir comme elle une partie de mon ADN détérioré. Avec ma mère on faisait des choses en cachette qu'on ne disait pas à mon père, "c'est notre petit secret" me disait-elle. Je comprends surtout que notre secret était cette union de femmes qui s'aident pour réactiver le masculin en elles.

 

En dehors de ces moments de complicités je trouvais ma mère masculine, froide avec moi, ma présence devait faire ressurgir son côté masculin pour qu'elle l'accepte et le répare en elle ; elle me donnait par la même occasion l'opportunité de ne plus rejeter l'autre dès qu'il exprime sa part masculine. Malheureusement, je rejetais constamment sa présence me mettant contre elle, dans une colère noire, inévitablement. J'exprimais sur elle, la colère que j'ai en lien avec l'homme issue de mes mémoires de femme abusée.

 

Notre relation dans l'enfance a été une lutte. Ma lutte de femme contre le masculin qu'elle représentait. Mon père ne pouvait pas jouer ce rôle du "mal" car nous étions sans contact, deux étrangers vivant sous le même toi. J'avais peur de lui et je souffrais de sa présence. Je pense que ma douleur envers le masculin était si forte que je refusais son approche, il me fallait une étape intermédiaire : une femme exprimant sa part masculine, incarnée par ma mère. Ces prises de conscience me permettent de cesser d'en vouloir à mes parents. Mon ressenti négatif envers eux était lié à un manque de connaissance.

 

Mon père a sa part féminine "déconnectée" dans son ADN, en cohérence avec son état génétique il a vécu des situations où le féminin est à distance de lui. Petit, il reçoit une éducation stricte sans émotion, le bisou est "interdit", pas de câlin avant de dormir. Quand on sait l'importance du toucher dans la reconnexion avec son émotionnel. Gégé le scientifique parle dans la vidéo 2 de son expérience avec les femmes aborigènes qui par un contact, une caresse, le ramènent vers sa part sensitive, féminine. Elles l'aident à s'émouvoir et à ressentir son intuitif à nouveau.

 

Mon père n'ayant pas connu ce type de contact de naissance, quand il se marie il a une fille. Quelques années plus tard sa femme le quitte, elle divorce et se déconnecte de lui (à l'image de son ADN dont la part féminine est à distance, déconnectée). Elle ne prendra plus part à l'éducation de sa fille, le laissant seul à l'élever.

D'un premier regard, je peux le voir en victime des femmes. D'un autre, je comprends que sa fille est son lien de réparation avec son ADN, car l'enfant nous fait reconnecter avec notre sensibilité. Il doit alors être la femme du foyer. Un beau challenge pour retrouver en lui sa part féminine et réparer son ADN endommagé. Pourtant sa fille est aujourd'hui une femme qui met à distance le masculin sans pour autant s'en séparer. Sent-elle qu'il est sa voie de salut sans pour autant assumer et vivre avec lui sa réparation ?

Elle dit d'ailleurs : "j'aime bien le voir mais à petite dose le week-end. Je suis heureuse qu'il est retrouvé un travail loin de moi avant avec son chômage c'était invivable !" Autrement dit, l'un face à l'autre tout le temps, cela créé "l'obligation de présence". La fuite est moins possible entraînant le face à face avec l'autre qui amène à se connecter au masculin (pour la femme) et à se connecter au féminin (pour l'homme) et donc à assumer la douleur que cela fait émerger. Car l'autre part sa présence révèle l'absence du masculin en l'ADN de la femme et l'absence du féminin en l'ADN de l'homme est là remonte les mémoires génétiques qui ont entraînées cette coupure. Ce peut être pour la femme, comme c'est le cas pour moi, des mémoires de victime d'abus sexuels ou de prostitution. Pour l'homme, ce peut être des mémoires de bourreau, d'inquisiteur, d'homme incestueux, d'esclave au travail... Là, la douleur remonte car l'autre (répond à la mémoire bloquée) et mime l'insoutenable pour qu'il soit visité, compris, pleuré.

 

J'ai vécu cela quand mon mari me prend sans mon consentement ou moi qui utilise la sexualité pour le récompenser quand qu'il me donne de l'argent. Il est compréhensible que face à ces remontées, il est souvent préféré la mise à distance de l'autre par le divorce, par la distance.

Dans ma situation, c'est par le travail que la fuite de ce face à face prend forme. La tâche est un bon moyen de s'éloigner l'un de l'autre. Chacun a la sienne pour lui, l'emploi salarié, du bricolage, des réparations mécaniques ; pour moi, le besoin d'écrire, de tisser, d'être artiste.

 

De mon côté il y a bien un stratagème de fuite, mon comportement le met à distance. Tant que je m'appuie sur lui pour l'argent, je le maintiens au travail, ce qui a pour conséquence de l'éloigner et retarder notre reconnexion et notre réparation mutuelle. Lui ne peut pas voir ses blessures car il est trop occupé et moi je ne peux pas voir mes blessures en lien avec le masculin car il est trop loin de moi. Mais peut-être les verrai-je avec quelqu'un d'autre ?

 

Notre réparation épigénétique prend des chemins étonnants. C'est là que le transgénérationnel peut apporter une solution inattendue. Est-ce pour cela que l'on fait des enfants ? Quand on voit qu'on n'arrive pas à réparer sa part d'ADN alors on se démultiplie en espérant que la nouvelle version de nous-même, l'enfant, trouvera le chemin pour y arriver.

 

Je vois mon père avec sa petite fille, ils sont très proches. Avec elle, il retrouve un contact, une émotion que je ne lui ai jamais vue exprimé avec moi. Ce qui m'est douloureux. Autrefois je croyais que c'était un manque d'amour. Aujourd'hui je sais qu'il était en réponse à mon émanation. "J'envoyais" l'information de la détérioration de mon ADN - la mise à distance de ma partie "masculine"-, il recevait le message et agissait en conséquence en étant distant de moi.

Pourquoi il captait mon "message génétique", car cela lui permettait d'exprimer aussi sa part. Etant donné qu'en son ADN, sa partie "féminine" est aussi endommagée - à distance - en étant réticent à un contact avec moi, il exprimait son état génétique.

 

En revanche, le lien avec sa petite fille est plus aisé car elle a la même détérioration que lui. Donc ils se comprennent et par son jeune âge, elle l'initie au contact, à la sensibilité. Elle l'appelle "papi chouchou" ; il l'appelle en retour "sa chouchou". Et le résultat est étonnant, je me rapproche petit à petit de lui.

Logique si avec sa petite-fille il se reconnecte avec sa partie féminine, il n'émet plus autant le rejet du féminin et donc je vais naturellement vers lui. Instinctivement je ne sens plus de barrage à être proche de lui. D'ailleurs je l'appelle à nouveau papa alors que je m'étais résolue à dire papi.

 

Je peux voir cette réparation transgénérationnelle du côté du fils de mon époux. 

Il porte un ADN endommagé dans sa partie féminine, transmis par son père qui l'a peut-être reçu lui-même de son père.

Il est militaire dans l'armée de l'air, mécanicien avion. Il a appris récemment qu'il est papa d'une petite fille qui vient de naître. La maman a repris contact avec lui pour l'informer de l'existence de sa fille, lui affirmant qu'elle ne voulait pas de compensation financière. Elle fait cela pour qu'il sache et se manifeste ou pas dans la vie de cette enfant selon son choix.

Elle assume pleinement sa décision de lui avoir caché sa grossesse car elle désirait un enfant avec ou sans père (avait-elle crainte qu'il refuse d'être père ?). Il n'a jamais pris cet enfant dans ses bras, il a reçu une photo. Son avocat lui a conseillé d'attendre que la mère se manifeste (financièrement ?) pour demander un test de paternité. Donc il attend.

 

Sans nouvelles d'elle, il considèrera qu'elle ne veut pas vraiment de lui dans sa vie ou qu'il n'est pas vraiment le père sinon elle aurait insisté ? (Une belle manipulation de son prédateur). Je lui ai demandé : "qu'as-tu ressenti en voyant cette photo ?" Il m'a répondu : "je lui ai demandé si elle est bien sûre que c'est moi le père. Elle se réveille quand même 11 mois après ! Étonnée, je répète ma question : "mais émotionnellement, dans ton coeur, qu'as-tu ressenti ?" "Rien !" me dit-il. J'insiste à nouveau, il me rétorque : "Rien je te dis."

 

En me remémorant cet échange avec lui sur la plage, je comprends que lui aussi à son ADN endommagé, il est déconnecté de sa part féminine. Étant donné que cela fait déjà une génération que la partie féminine de l'ADN est endommagé, chez lui sa part émotionnelle intuitive, n'est plus endormie mais bien en attente de contact. Et c'est cette femme qui mime pour lui cette attente de contact.

Autant son père a une fille qui lui rappelle au quotidien la présence de son féminin et son besoin de s'y connecter, autant lui sa fille est un souvenir, une photo.

 

Sa distance avec le féminin est bien plus importante car sa part féminine en son ADN est endommagée de manière bien plus importante que dans le cas de son père. D'autant qu'il faut imaginer qu'en plus de la détérioration que lui ont transmis ses aieux dans le cadre de son métier militaire, il subit des ondes qui finissent le travail de dommage de son ADN.

Il descend très souvent voir sa demi-sœur, la fille de son père et passe de long moment avec elle comme un "bon père". Sa demi-soeur a deux ans de plus que sa fille. Elle, il peut la voir alors que sa fille non, car il ne reconnaît pas l'enfant car il est coupé de son émotionnel. La relation avec sa soeur est plus "logique", il a une preuve de l'affiliation de cette enfant, elle est la fille de son père ; elle est de son sang donc il peut mentalement l'accepter. Cela ne cache t-il pas son besoin de contacter sa part féminine à travers sa sœur car sa fille est indisponible ?

 

Pour lui c'est le seul contact féminin génétiquement proche de lui, dont l'ADN dans sa part féminine, est moins endommagée que chez lui. Puisqu'elle se répare auprès de moi, c'est comme s'il accédait ainsi à un potentiel de réparation par mon entremise. Je suis sa "deuxième mère" par circonstance. Est-ce une remontée mémorielle génétique, serait-il mon fils dans un autre espace-temps ?

Il pourrait aussi aller vers sa mère biologique, mais elle n'émane pas cette information. Pour elle aussi son ADN dans sa part féminine est endommagée tout comme son père avant elle (militaire froid coupé de son émotion).

 

Cette fois, je regarde du côté de la fille de mon époux, notre enfant. Je comprends mieux ma sensation du caractère masculin de ma fille. Elle possède le même dommage ADN que son père, une part féminine "endormie" qui entraîne sa difficulté à contacter ses émotions. On dit que les enfants choisissent leur parent selon la mission d'âme qu'ils ont sur terre.

En réalité, nos enfants sont nos doubles, un dupplicata de nous-mêmes. Mais par le principe épigénétique, il n'exprime pas notre génome de la même manière (physique, émotion différente). Ils ne nous ont pas choisi ils sont nous ! Ils ont donc la même mission que nous de réparer leur ADN. Sand et Jenaël le disent bien : les enfants sont notre futur. Souvent ma fille est venue vers moi dans des situations où je libère par le pleur mes mémoires génétiques. Elle vient sur mes genoux, la proximité déclenche chez elle également des pleurs. Je peux très bien imaginer que l'énergie quantique faible que libère ma remontée émotionnelle m'impacte et l'impacte au point d'entraîner une répercussion vertueuse dans son ADN comme dans le mien. Un exemple de lien mère-fille SDA. Elle se reconnecte ainsi à travers son contact avec moi à sa part féminine.

Est-ce pour cela que dans les tribus anciennes, les enfants fille ou garçon restent avec les femmes du village jusqu'à être en âge d'aller vers les hommes ? Cela aurait-il pour but de rendre vivante, opérante leur part féminine en eux ?

J'ai retenu cette phrase d'une astrologue. Elle me disait d'accepter la volonté de fusion de ma fille avec moi, elle en a besoin au moins jusqu'à ses 6 ans. Il est dit que la personnalité de l'individu se forme pleinement vers 6 ans. Mais en ce moment, je ne supporte plus sa "présence collante" à mes côtés.

 

En réalité, j'exprime encore le rejet de ma partie masculine en moi. Elle représente ma partie masculine de mon ADN endommagée qui cherche secours. Je calme ma tension intérieure (rejet du masculin) par le "pansement" du sucre, le chocolat. Tout comme mon époux lorsqu'il est rejeté par sa fille calme sa tension intérieure (le rejet du féminin) par le "pansement" du sexe avec moi. 

 

Ma fille ne cesse de me demander de jouer avec elle, de sortir courir... Je me dis intérieurement (après avoir mangé un bout de chocolat !) : "elle me gonfle ! Je suis bien avec mes émotions, mon travail, mes réflexions, j'ai mieux à faire." Pourtant elle m'offre une invitation de régénération avec la nature. Mon corps en a besoin. Je perds en ce moment mes cheveux ce qui est un signe d'une baisse de production de hGH.

 

En effet, je sors avec mes pansements de sucre de mon régime cétogène et mon stress lié aux remontées émotionnelles en cours n'arrange pas les choses. Pourtant je n'en fais rien. Elle me dit souvent "maman pourquoi tu t'en vas tout le temps", (sous entendu pourquoi tu restes pas avec moi jouer), cela illustre bien mon rejet de sa présence. En effet, j'ai toujours mieux à faire que d'être en sa présence. Je suis dans la maison avec elle mais je ne suis pas là. D'ailleurs, elle n'arrête pas de me parler en criant comme si j'étais à des kilomètres d'elle. Elle n'a pas tort, je suis avec elle mais pas présente, mes pensées sont ailleurs (monopolisées par mon prédateur). Mon prédateur m'évite ainsi l'instant présent et la connexion avec elle.

 

Ce matin j'en ai pris conscience et j'ai joué avec elle, on a couru main dans la main, sauté les escaliers ensemble c'est bon de retrouver en moi la joie des choses simples et quand je les fais je suis pleinement là, ma pensée éteinte.

Elle m'offre une ressource naturelle et pragmatique : se dépenser, marcher ou jouer dans la nature (c'est bien un bel exemple de l'apport de la partie masculine en ma vie : c'est concret, efficace, accessible).

Merci ma fille, merci le masculin. Dans la voiture, elle pose sa main sur mon épaule et me dit : "je te touche maman". Peut-être suis-je un peu plus présente à l'instant que je vis ? Ma partie masculine (qu'elle représente), commence-t-elle à se reconnecter en mon ADN ?

 

Bonne recherche à vous et merci de votre lecture.

Galline (inscrite au cénacle dépt. 83)

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Commentaires: 2
  • #1

    Véronique R (samedi, 30 septembre 2017 17:12)

    Merci galline pour ce témoignage qui résonne beaucoup en moi.

  • #2

    Yvette (mardi, 03 octobre 2017 18:13)

    Merci Galline,
    Je viens de comprendre plein de choses sur ma relation à mon père, ma mère et ma fille, et mon mode de reconnexion à mon féminin et mon masculin.
    Merci de savoir si bien dire les choses, merci pour ton aide précieuse....