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A mon rythme, j’intègre cette énergie reptilienne qui est la mienne. Ce n’est pas simple de déconstruire le programme qui dit que reptilien = à bannir, et de ne pas tomber dans la culpabilité à chaque fois que je croise un alter bourreau (à ce propos la partie 5 du partage avec Gégé et Nina insiste bien là-dessus, merci pour ça !)
En même temps, je tente de pénétrer le mystère de mon “enfermement originel” au travers d’aventures peu banales !
Introduction : Apprends des reptiliens !
C’est ce qu’on me dit en rêve début novembre. Le ton est insistant ! Le jour suivant à la télé : le film “Wall Street”. Gordon Gekko est l’archétype du reptilien au service de soi : cupide, escroc, manipulateur etc.
Son nom : Gekko, un lézard donc, me rappelle mon prénom : Gakobwa. Et je prends cette occasion pour faire un exercice : le reconnaître comme un alter sans le juger malgré mes programmes limitants qui m’inciteraient tout “naturellement” à le rejeter, lui cet être cruel et inhumain. Je fais l’exercice et en étant la plus honnête possible envers moi-même, je dois admettre que je le comprends, que je comprends son plaisir à accumuler tout cet argent, à user de son pouvoir sur les autres, et même à les faire souffrir !
Je fais cette nuit-là après cet exercice, un autre rêve :
Je vois un homme dont le bras se transforme, tout en muscle, il s’apprête à me frapper. Je suis excitée sexuellement et je sens mon sexe dur ! J’ai un pénis et j’encourage cet homme à me violer. En même temps j’ai l’impression que cet homme, c’est moi ! Je sens son sexe dur et rugueux me pénétrer, c’est douloureux. Je commence à saigner, il pose ses lèvres sur les miennes puis s’écarte. C’est là que je reconnais le héros du film, le Gekko, et puis je me réveille.
Le lendemain, j’arrive au théâtre à Namur pour une semaine, 3 représentations.
La nuit de mon arrivée, je rêve que Charlotte, mon ex-collègue-alter-reptilienne, va monter sur scène avec moi. On se dispute car je résiste, je ne veux pas d’elle, je lui dis que j’ai envie de la tuer ! Charlotte me nargue car elle sait très bien que je n’ai pas le choix ! Que je le veuille ou pas, je dois l’accepter et la prendre avec si je veux avancer.
La leçon est ici, on ne peut plus claire !
Dans ce même rêve, je suis témoin d’une scène dans laquelle j’entends quelqu’un dire : “le plus dur c’est pour celui qui est “le mal”. Je comprends plus tard : en effet, le fameux rôle du bourreau, pas simple à reconnaître.
Chapitre 1 : Retour à la case prison ?
Au théâtre, dès mon arrivée l’alter enfermé refait surface. De nouveau, je suis prise dans des situations très angoissantes liées aux ascenseurs et autres portes fermées. Je demande intérieurement : comment me libérer ?
L’équipe technique est en plein travail, ils installent plein de projecteurs, moi assise par terre, je m’échauffe. Les techniciens lumière utilisent un langage codé, beaucoup de chiffres et de lettres auquel je ne comprends rien. Par contre, je pige qu’on me dit : “Voilà Eli, comme d’habitude, la lumière c’est-à-dire l’information, est codée, il va falloir que tu la décodes si tu souhaites en comprendre le sens”.
A un moment, il y a un souci : les techniciens doivent, je cite : “trouver un circuit électrique “libre” pour pouvoir continuer”.
Parallèlement à ça, je tombe quelques semaines plus tôt au Grand Studio sur un appel à candidatures pour un master en chorégraphie à Montpellier.
Cet “appel” m’excite beaucoup et je me mets en tête de postuler.
Plus j’avance et plus je lis d’indices m’incitant à suivre la piste “Montpellier”. Etymologiquement, je trouve que Montpellier provient de Monte Pestelario qui veut dire “mont circonscrit par un mur d’enceinte”
Ou : Mons Pessulus : “la colline fermée par un verrou”
Je me demande de quelle nature est cette “invitation” SDS ou SDA ?
Je suis devenue quelqu’un de très parano lol. Et puis, je me dis “peu importe”! Je reste vigilante et vais chercher ma leçon.
Je suis donc sur la piste d’un enfermement...
Pendant ma semaine à Namur, différents indices se placent ici et là :
- les oies : En chemin, mon collègue Jo attire mon attention : au-dessus de nous une dizaine d’oies “prennent le large”. L’oie est un animal à la symbolique très importante dans beaucoup de sociétés et de tout temps. Mais ici ce qui me parle c’est son lien à la persévérence, à l’effort, et surtout le fait qu’elles effectuent de grandes migrations qui nécessitent de leur part une grande pugnacité pour atteindre leur objectif.
La nuit venue, je fais un rêve et pressens que l’oie et la migration sont significatifs dans cette enquête.
- les pneus et les chaussures : Ce jour-là dans ma rue : un nouveau venu : un vendeur de pneus et à quelques mètres, mon attention est attirée par une paire de chaussures pour femmes, en très bon état, abandonnée au pied d’un arbre.
- l’émotionnel enclenché : En rentrant je me connecte à facebook et tombe sur le post d’une copine, et tout de suite ce qui me vient, c’est un sentiment désagréable mêlant mépris, colère et jalousie à son égard, mais aussi envers une tierce personne du même entourage. Du coup, je vais dans les paramètres et encode “ne plus suivre”. Hop, sous le tapis !
Le lendemain, une amie que je nomme C. me parle comme par hasard des copines en question, celles que je venais “d’effacer” de mon mur facebook.
En plus de ça, C. me fait un retour sur ma pièce qui me vexe : elle a été frustrée dit-elle que “je ne danse pas assez”. Avouez que pour un spectacle de danse, ça pique !
Son feedback me déstabilise ! Beaucoup ! Pourtant, il ne s’agit que d’un avis parmi tant d’autres et j’ai l’habitude de recevoir des critiques.
Ok. Alors, pourquoi suis-je vexée comme ça ? Pourquoi mon prédateur se sent-il attaqué ? Pourquoi en suis-je presqu’à culpabiliser de ne pas “avoir plus dansé” ? de l’avoir peut-êre déçue, d’avoir fait les choix que j’ai faits ?
En sachant que toute cette culpabilité part comme nourriture pour la prédation, je me demande mais Qui parle ? Ce feedback (= censé être de la nourriture pour progresser) est-il destiné à nourrir le spectacle ou la prédation ?? En tout cas, il a le mérite de m’alerter, ce qui est devenu le propre du prédateur.
Le lendemain, C. m’envoie un message dans lequel elle s’excuse : “elle ne pourra pas venir”. Intuitivement je comprends que ce n’était pas elle la veille qui me faisait des retours sur la pièce, mais plutôt un de ses alter-prédateur. Elle insiste et se répète sans que je ne lui demande quoi que ce soit : “désolée je ne viens pas. Sorry.”
Je suis déterminée à comprendre ce qui se passe ! Quel est le message, qu’essaie-t-elle de me dire en langage 4D ?
Je tape les prénoms de mes 3 copines-alter sur internet et tombe sur une chanson des Brigitte appelée : “La Morsure” d’inspiration clairement celte. Celle-ci me rappelle, avec ce titre éloquent, l’épisode du dard et de la lovebite évidemment. (voir Initiation à la plongée)
Voilà le corpus SDS qui entre en jeu. C’est bien avec lui que je suis en train de traiter. Ils ont un truc à me dire. Bah oui, je me souviens de l’injonction “apprends des reptiliens !”
Je fais un nouveau rêve dans lequel cette fois, j’apprends à respirer.
On me dit également : “Encore de la répétition pour aller plus loin”. Lors de ma dernière enquête, j’avais vu remonter des mémoires d’esclave liées aux tâches blanches sur mon visage, tâches qui par ailleurs persistent.
Je commence mon enquête en allant voir du côté des Celtes et voici les éléments qui résonnent avec ce que je vis :
- Sur les armoiries de l’Irlande : un lion et un cerf.
C’est marrant, mon pote Jo est allé enregistrer le brame du cerf, et justement on en parlait dans la voiture... Sur internet, ils parlent du labyrinthe de la forêt.
- Puis plus loin, un autre de leur symbole : le trèfle irlandais appelé “shamrock”.
Ce nom m’est familier : quelques années en arrière, j’avais fait un numéro d’effeuillage dans ce café théâtre de Bruxelles le “Shamrock”. Et cette soirée est restée gravée pour 2 raisons : d’abord j’ai failli ne jamais y arriver parce que je suis restée coincée dans un train à l’arrêt, portes fermées, pendant de longues minutes ce qui provoqua une grosse crise d’angoisse. Ensuite, après m’en être finalement sortie et après avoir fait ma prestation, je me suis disputée avec le gérant qui finit par m’insulter violemment de “bouffeuse de manioc”. Ce fut la première fois de ma vie que j’étais confrontée de la sorte à du racisme.
- Le triskel, symbolisant l’enfermement dans les cycles de réincarnation. Voir chapitre VI “Quand la lionne retombre sur ses 4 pattes”
- Puis le gnome Leprechaun : il fabrique des chaussures ! Celles que j’ai vues abandonnées dans la rue ! Et : il compte ses sous !
En plus de ces résonnances, je réalise qu’une idée tourne en boucle : “le spectacle de Julien est nul !” Julien est un pote chorégraphe. Son dernier spectacle met en scène 4 personnes prises au piège dans un labyrinthe, encore une situation d’enfermement donc.
Et enfin, mon pote Maestro me demande si je suis disponible pour venir travailler sur un projet commun.
Si je récapitule, je sais qu’il est question d’enfermement, de migration et de prédation mais pour le reste, c’est le “flou artistique”.
Chapitre 2 : Maître(sse)
Ma colère envers mes copines-alter grandit “sans raison apparente”. Elles squattent mon esprit : ce dernier est assiégé par leurs prédateurs en plus du mien.
Et je ne tarde pas à recevoir l’aide d’autres alter ! C'est à dire que je reçois des mails/messages pour m’aider à décrypter :
- Je reçois un message d’un autre “maître” : Maël. Encore un ! La veille, il y avait eu Maestro. Maël m’invite à danser pour des artistes haïtiens dont le travail porte sur l’esclavage et la traite des Noirs.
- Je découvre que le nom de famille d’une des copines signifie : demeure, maison de maître.
- En me rendant aux toilettes chez un pote, je tombe sur un cerf (encore un !)
Je comprends que “cerf” peut vouloir m’indiquer “serf” !
- Je reçois aussi un mail d’Antynomy : antinomie veut dire “anti-loi” ou “contradiction entre les lois”.
Après plusieurs lectures sur le net plutôt indigestes à mon goût, je tombe sur Karl VonEckartshausen et une publication sur le réseau Leo.
Une phrase frappe mon esprit : “(..) la condition humaine est donc celle d’un enfermement ontologique (..)”
C’est aussi ce que je lis dans l’Onde 2 à peu près au même moment : elle reprend Gurdjieff et Castaneda et résume :
“Nous avons vu que Gurdjieff, Castaneda et les Cassiopéens parlent de la réalité de 3eme densité comme d’une prison (...).” Laura Knight. L’Onde 2 p 197
Elle parle aussi de la nécessité de connaître son maître pour espérer se libérer, s'évader de la prison.
“Tant que nous ne connaîtrons pas la véritable nature de la prison et les savoirs et pouvoirs des geôliers, nous n’aurons aucun espoir de nous échapper.”
L’Onde 2 p193
- Lors d’une ballade au Bois de la Cambre, je suis frappée par le nombre de gens avec leurs toutous et je les entends communiquer : ils font ces bruitages caractéristiques que tout un chacun fait lorsqu’il s’adresse à un animal.
Et je fais tilt !
Je me souviens avoir souligné que C. faisait ça le soir où elle est venue à Namur voir le spectacle. Elle faisait comme les maîtres font avec leur chien-chien !
Je comprends pourquoi elle a été frustrée que je ne danse pas assez : pas assez de danse = pas assez de transpiration peut-être ? pas assez de travail !?
Je me rappelle d’une de ses remarques révélatrice de ce qui se jouait entre nous : elle me dit d’un air déçu en parlant de la scène des Tambours du Burundi : “A la place de danser, tu as décidé de sauter”. En effet, à la place de danser pour divertir mon roi/maître comme un bouffon le ferait, je décide de sauter. Sauter me permet d’accéder à un autre état ! Ça ne lui a pas plu.
Voilà pourquoi cette amie me fait tant “d’effets” et remue à ce point mon émotionnel : elle est mon maître sur un autre plan !
Et pour bien que je comprenne : je commence à avoir des démangeaisons sur toute la colonne vertébrale. Tandis que le proverbe m’enseigne : “le dos lui démange” se dit d’une personne qui fait tout ce qu’il faut pour qu’on en vienne à la battre.
Il y a, merci les Leos, toujours les deux polarités.
Ainsi, en tant que partie de moi, C. me révèle également le maître en moi. Mais ici c’est mon alter-victime d’esclavage qui émerge et demande à être accueilli. Et je sais que le travail chamanique de transmutation reste à faire car je les vois (mes copines-alter-maîtresses) qui repointent leur nez alors que j’écris ces lignes, faisant émerger en moi l’alter victime d’esclavage mais cette fois, en conscience.
Sur ce, nouveau message dans ma boite mail :
Une invitation à la remise de diplôme en Executive Master en Communication et Politiques européennes.
Alors ça c’est excellent ! il n’y a pas plus esclavagistes que les politiques européennes ! J’en sais quelque chose pour les avoir étudiées pendant 2 ans.
Chapitre 3 : Un p’tit scrabble pour la route ?
A la télé, je tombe sur le plus grand vainqueur des jeux télé : le mec connaît le dico par cœur. Il a été le “maître de midi” pendant des semaines entières et est entre autres, je cite : “le roi des anagrammes”.
Pour moi, c’est une invitation à poursuivre : jouer avec les mots, décrypter les signes, faire des anagrammes et tutti quanti.
Mon rdv avec la directrice de Charleroi danse (les co-producteurs de ma pièce) arrive enfin. Après des mois, je suis enfin prête à rencontrer le “dragon aux lèvres rouges”.
Dans la voiture je sens que je commence à avoir un peu mal au ventre et à la radio, une chanson de Michael Jackson me délivre un message : “You’re just another part of me” [Tu es juste une autre partie de moi] Haha parfait ! Merci ! Je peux me relaxer…
La directrice, que je redoutais tant, s’est montrée hyper sympathique ! Rien à voir avec la directrice de mes souvenirs il y a 6 mois. Preuve que je fais bien mon travail.
Reconnaissant et accueillant de plus en plus ma part prédatrice, l’échange que nous avons est apaisé. La directrice s’est “adaptée” en quelque sorte aux nouvelles vibrations que j’émane. Ma réalité a changé !
Je lui parle du master à Montpellier. Elle m’encourage et me propose même son soutien.
Et tout d’un coup je réalise qu’on est en train de parler d’acquérir un MASTER, et que master veut dire maître !
Et que ce master se donne dans une ville (Montpellier donc) qui symbolise dans mon système de symbole l’enfermement…
Donc si je traduis, il pourrait s’agir de “devenir maître en prison”... La voilà l’antinomie ! Généralement le maître, le geôlier n’est pas derrière les barreaux !
Sauf que le maître ou prédateur, à un certain moment cesse de commander pour enseigner et accompagner... (d’ailleurs en français le mot maître désigne à la fois celui qui commande et celui qui enseigne !)
Donc : devenir maitre en prison peut vouloir dire acquérir la maîtrise de sorte à pouvoir s’évader de la prison !! Et pour cela il faut la Connaissance !!
Ce qui rejoint ce que dit Laura et que j’ai cité précédemment. (L’Onde 2 p193-197)
Bon.
Dans mon système de symboles : acquérir la maîtrise/la Connaissance = le master. Dans la prison = à Montpellier. On pourrait considérer au lieu de “symbolique” que c’est disons “fractale”. Car en effet, cela revient à ma propre, à notre propre condition humaine ! Le fameux enfermement ontologique dont parle Karl.
Je me suis réincarnée, je suis revenue dans cette vie/prison/école pour me souvenir/acquérir la Connaissance et la maîtrise et in fine, me libérer…
Alors Quoi ? Retourner à la fac à Montpellier, est-ce une manière symbolique (ou pas) d’aller chercher la Connaissance pour acquérir une maîtrise qui me permettra de me libérer, de renaître ?!
En voiture sur le retour du rdv avec la directrice, une voiture me fait une petite queue de poisson, elle attire mon attention et vient se placer juste devant moi.
Sa plaque : 1 KLE _ _ _ c'est à dire une clé !
Ok quelle clé ? Le véhicule est un cross over Qashqai.
Quand je décode je découvre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Crossover
Cross over = traversée, transition, passerelle, mais aussi mélange, métissage, hybride. Un cross over désigne pleins de choses dans différents domaines :
- Un protocole de recherche
- Un enjambement : est un phénomène génétique qui a lieu lors de la méiose et qui contribue au brassage génétique lors de la reproduction (Recombinaison génétique) https://fr.wikipedia.org/wiki/Enjambement_(génétique)
- Un pont
- Une histoire impliquant plusieurs personnages
- Le fait de passer d’une petite audience à un plus large public
- Un monde imaginaire faisant cohabiter plusieurs périodes temporelles ou différents mondes.
Et Qashqai : ce nom vient d’une tribu de nomades turcs. Oui des nomades.
Je repense aux oies, au vendeur de pneus, aux chaussures du gnome, à la programmatrice venue d’une ville appelée “Marche”… bref tout cela clignotte en rouge, comme un spot publicitaire : Bouge !
Je me rappelle d’une conversation avec C. apparemment anodine :
Elle m’apprend qu’elle a pris sa décision, qu’elle quitte sa compagne et cherche un appart. Je suis super étonnée car je pensais que c’était déjà acté ! Qu’elle était séparée depuis longtemps autrement dit, qu’elle avait déjà sauté ! Et bien non, pas du tout.
Et dehors il y a ce panneau d’affichage du coiffeur d’en face, de ma fenêtre je peux lire : KAPELI ou Cap Eli ?
Ca veut dire cap de quitter ce que je connais ? mon confort ? cap de sauter ?
Pas si vite ! Ai-je envie de faire ce master ? Vraiment ? Pourquoi ? Encore une fois, Qui parle ? N’est-ce pas juste un prétexte c'est à dire un cadeau pour me faire bouger d’ici/sauter ? Ça va servir qui ? Et au fait : j’avais pas déjà sauté !!??
Je quitte l’ordi et fais une pause, j’ai besoin de respirer !
Merci tous et bonne Quête !
Eliane G (Inscrite au cénacle - Bruxelles)
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