Bonjour,
Je viens d’écouter la capsule Intuitive n°12 du réseau LEO. Je ne
m’attendais pas à me ranger parmi les personnes qui avaient eu un contact avec un de leurs proches et que cela leur permettrait d’élargir leur champ d’horizon quant aux autres dimensions. J’ai
fini par comprendre grâce à Eli, Virginie et surtout le Réseau, que l’entité ‘’homme’’ qui m’est apparu pour me dire sur un ton autoritaire « lève-toi » alors qu’au réveil du petit
matin j’étais en état de peur, pourrait être mon père. De plus, il portait parfois des pulls à carreaux, ce que j’ai pu percevoir dans l’obscurité.
Je viens de comprendre que la colère noire qui m’est montée jusqu’aux yeux dernièrement correspond à l’énergie noire qui passait au travers des yeux de mon père quand j’allais avoir une fessée lorsque j’étais enfant, culotte baissée, allongée sur un lit et le plus souvent en compagnie de ma sœur. Il y avait un défoulement sur nous qui n’était pas vraiment mérité, je m’en rappelle encore, nous pleurions à chaudes larmes.
Il y a une semaine ma sœur m’a appelée au téléphone, je n’ai pas reconnu son énergie dans sa façon de s’exprimer. Je remarquais qu’il y avait en elle une sorte de panique, en même temps elle me disait de venir m’occuper de ma mère de 88 ans avec une autorité impressionnante. Je lui ai dit de se calmer et que tout irait bien, ce qu’elle fit. Notre père tentait un contact avec nos âmes, d’ailleurs ma sœur l’avait entendu dire un jour qu’il ne fallait pas avoir peur de la situation dans laquelle notre planète se trouvait.
Nous sommes à une distance d’une heure en voiture l’une de l’autre, ma sœur habitant à côté de ma mère dans la même ville ; d’habitude elle est contente de s’occuper d’elle. Mon père m’avait demandé de m’occuper de ma mère avant de décéder, je le fis à ma façon au téléphone en l’encourageant les premières années. Elle a une très bonne santé, vient de se faire opérer des yeux et se remet à peindre des tableaux, son hobby préféré. Elle n’est pas réceptive à ce que je vis ce qui n’est pas le cas de ma sœur à qui j’ai suggéré de regarder la Capsule Intuitive n°12.
Une bouddhiste new-âge m’a mise en colère en début d’année, peut-être bien que cette colère noire qui m’est montée aux yeux était celle de mon père qui prenait ma défense ! A mon adolescence, il n’avait pas apprécié qu’un rom(anichel) lui apprenne que j’appartenais à une secte. A l’époque je ne pensais pas que cela puisse être. Aurait-il voulu me protéger de cette new-âge bouddhiste qui m’apportait chez moi de quoi me réamorcer sur ses pratiques ? Sentir mes yeux devenir noirs en surface depuis l’intérieur de mon corps me faisait rentrer profondément à l’intérieur de moi ce qui me fit prononcer les paroles suivantes : « je suis chez moi ! ». Je crois que la bouddhiste a vu mes yeux entièrement noirs c’est-à-dire avec occultation du blanc. Je n’ai pas de preuves bien que ça me soit déjà arrivé dans mon travail d’une autre façon. Vu son départ précipité en quittant ma maison je ne sais si je pourrai la revoir pour lui expliquer, sera-t-elle prête ?
Il est vrai que j’ai voulu l’éviter il y a une quinzaine d’années car elle essayait non seulement de me manipuler mais me coupait la parole sur un sujet qui m’avait fait découvrir un mécanisme chez des personnes particulières pour le remplacer par le passe partout d’usage bouddhiste : c’est le karma. Il n’y a rien d’autre à dire semblait-elle signifier.
Elle me refit le coup récemment sur d’autres propos. Mais le plus intéressant c’est l’histoire avec son père. Il y a longtemps je la rencontrais dans une boutique, nous ne nous dîmes pas bonjour. J’achetais une crème de marron, lorsque je l’entendis dire tout bas « c’est mon dessert préféré ». Je mis cela en mémoire. Récemment elle força délibérément nos retrouvailles en bloquant ma voiture de face avec la sienne, je m’étais garée sur la gauche de la route et lui laissait largement la place pour passer son chemin. Elle ne sortait pas de sa voiture, je ne comprenais pas cette attitude, je suis donc partie.
Ayant un ami en commun il se trouva que j’aille la voir chez elle en lui apportant la fameuse crème aux marrons. « Non je n’aime pas cela » me dit-elle, « c’est le dessert préféré de mon père ! » Tiens me dis-je elle a dû changer son alimentation. Mentait-elle ou voulait-elle me faire prendre pour une folle ? Encore un indice avec le masculin, un truc pas net qui correspond probablement à ce que m’apprend le réseau LEO : un phénomène dissociatif relatif aux alters.
Pourquoi mon père que je croyais sur un plan de conscience élevée referait surface sur un plan moins élevé en conscience ? Nos ancêtres se manifestent-ils pour libérer les charges de leurs lignées ? Comme le signale le Réseau LEO ainsi que pour moi ce sont bien des réparations qui sont en train de s’effectuer.
Ce matin ma sœur s’est réveillée en larmes ne sachant pourquoi, nous en avons parlé, elle a conscience qu’elle a vécu un soulagement. Pour moi il n’est plus question de subir l’autorité masculine en laissant agir l’automatisme ‘’père-fille’’ ce qui ne veut pas dire être indifférente. Cette fois j’ai utilisé l’autorité masculine, qu’il soit mon père ou quelqu’un d’autre n’était pas important et c’est justement ce qui était important ! J’acceptais son ordre comme un moyen pour me sortir d’une situation de peur qui n’était autre qu’un blocage que mon Être profond me demandait de voir pour qu’avec ma volonté je puisse m’en dégager, de toutes façons je n’avais pas le choix. Avant de me lever du lit à l’appel autoritaire de mon ‘’père’’ : « Lève-toi ! » je voyais au fond de moi un corps de couleur jaune tremblant comme une gelée anglaise, une énergie qui au ressenti me faisait penser à : ’’moins que rien’’.
Le geste de Virginie sur son cœur supérieur, ce que le réseau LEO appelle le centre sexuel supérieur de la communication m’a fait découvrir autre chose. J’avais connu un homme qui se disait avoir
été un ‘’Cajoleur’’ chez les rom ; une histoire sans lendemain. En lui téléphonant il y a quelques jours j’ai ressenti une douleur sur ce même centre qui se resserrait, j’ai vraiment eu mal
jusqu’au fond du sternum. Ce statut de ‘’Cajoleur’’ m’a fait penser à la ‘’cage au leurre’’ car c’était bien ce qui s’était passé malgré moi lors de notre rencontre il y a au moins 7 ans ;
je ne ferai pas de dessin.
La communication que j’avais attendue de lui s’est donc produite récemment au téléphone ce qui aurait dû se faire des années auparavant. C’est en lisant la traduction d’un texte ancien et rare de PADMA SHRI W.R. RISHI sur les migrations et mœurs des rom sur toute la planète que je sus qu’il y avait peu de chances que le statut de ‘’Cajoleur’’ puisse avoir ses entrées dans leur monde mais je peux me tromper, toutes les dérives sont possibles. Malgré cet aspect déstabilisant de la rencontre avec le ‘’Cajoleur’’ les conséquences furent positives car malgré l’aspect ‘’cage au leurre’’, se réinitialisa une partie de mon corps. J’aime comparer cette manifestation à un minuscule ‘’tricotage’’ d’énergie, un morceau de moi réparé, re-tricoté pour un futur Soi, une empreinte, une mémoire pour le futur. Ai-je eu de la chance ? Règlement karmique ?
Aux vues de ce qui se produit dans ma vie je pense que l’entité d’énergie masculine en se manifestant à travers nos champs d’énergie tente de réparer des liens du passé, permet aussi de réparer les liens homme-femme si le travail se fait véritablement en partenariat (entité et personne concernée). Cette entité aurait pu me faire peur et tout aurait perdu son sens mais c’est ma propre peur qu’elle me montrait, j’ai pu ainsi ressentir l’autorité masculine non seulement de ma lignée parentale mais aussi de celle du masculin en général comme quelque chose de constructif. Mon côté ‘’rom’’ serait trop long à raconter, je crois que c’est lui qui me soutient dans ma détermination à vouloir réinitialiser dans mon cœur une certaine sagesse ancestrale.
Voilà j’espère que mon témoignage redonnera du courage, de la détermination à aller de l’avant en surfant sur l’Onde. Il y a encore du travail.
Je vous remercie tous depuis le début de l’ECOLEO y compris dans les autres plans, je n’en serais pas là aujourd’hui sans vous.
Doris
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