Extraits du livre "les changements terrestres et la connexion anthropocosmique", l'histoire secrète du monde tome 3 - De Pierre Lescaudron avec Laura Knight-Jadczyk (Éditions pilule Rouge)
P.9
Qu'est-ce qu'un plasma ?
..."le plasma" ou gaz ionisé... Vivant ou non, le plasma est la phase de matière la plus courante de l'Univers, à la fois en termes de masse et de volume. Il constitue 99 % de l'Univers visible et est donc bien plus fréquent que les trois autres phases : solide, liquide, et gazeuse. Toutes les étoiles sont constituées de plasma et même l'espace interstellaire est rempli de plasma.
P.77
Comètes ou astéroïdes ?
... les comètes sont de "gros morceaux de glace et de roche", c'est-à-dire "des boules de neige sales". Cependant, cette croyance est incompatible avec les données réelles. Par exemple, en 2011, la comète Lovejoy a plongé dans l'atmosphère solaire et a émergé de l'autre côté après un voyage d'une heure à travers la couronne solaire. Sa taille et sa brillance n'ont pas semblé avoir diminué.
P. 79
Donc, les comètes ne sont finalement pas systématiquement des "boules de neige sales"... De même, les astéroïdes ne semblent pas être les morceaux de roche non luminescents que propose la science conventionnelle... La différence fondamentale entre astéroïdes et comètes ne tient pas à leur composition chimique, c'est-à-dire des comètes gelées sales et cotonneuses par opposition à des astéroïdes rocheux. Mais plutôt, comme les théoriciens du plasma l'avancent depuis longtemps, ce qui différencie les "comètes" des "astéroïdes", c'est leur activité électrique.
Quand la différence de potentiel électrique entre un astéroïde et le plasma environnant n'est pas trop élevé, l'astéroïde présente un mode de décharge sombre ou pas de décharge du tout. Mais quand la différence de potentiel est suffisamment élevée, l'astéroïde passe en mode de décharge luminescent. A ce stade, l'astéroïde est une comète. Selon cette perspective, une comète est simplement un astéroïde luminescent et un astéroïde est une comète non luminescente... Remarquez qu'une comète peut également présenter le troisième mode de décharge de plasma, à savoir l'éclair ou "mode de décharge en arc", ce qui s'est probablement produit lorsque la comète Shoemacker-Levy est entrée dans le voisinage de Jupiter en juillet 1994.
P. 112
Augmentation de l'activité cométaire
Dissimuler les intentions célestes
Aussi, les autorités prétendent dorénavant réaliser d'étranges "tests de missiles" auparavant imprévus et faire face à des "incidents" tout aussi bizarres afin d'expliquer les "bangs supersoniques" et les "tremblements de terre explosifs"... explication serinée assez fréquemment : "la camelote spatiale qui tombe du ciel".
P.114
Le problème, c'est que contrairement aux missiles conventionnels, les corps cométaires, du fait de leur activité électrique, possèdent une forte signature électromagnétique qui peut provoquer des éclairs entre l'astéroïde entrant et la surface de la Terre, ce qui peut griller les appareils électriques sur une large zone.
... Une EMP (arme à impulsion électromagnétique) est une détonation d'un dispositif nucléaire au-dessus de l'atmosphère qui produit suffisamment de radiations pour perturber les systèmes électriques.
P. 122-123
Biorisques spatiaux
De manière ironique, les effets les plus délétères des comètes sont peut-être bien les moins documentés et les moins étudiés. Fred Hoyle et Chandra Wickramasinghe ont montré comment les virus peuvent être répandus dans l'atmosphère de la Terre par les poussières contenues dans le flot de débris des comètes. Lorsque la Terre traverse ce flot, les poussières et les virus pénètrent dans les parties supérieures de notre atmosphère, où ils peuvent y rester en suspension pendant des années jusqu'à ce que la gravité finisse par les faire retomber.
Des météorites peuvent également amener des microbes directement sur Terre... Une origine cosmique de certains microbes pourrait expliquer pourquoi autant de nouveaux virus émergent en Asie. C'est en effet dans l'Himalaya et aux alentours que l'atmosphère de la Terre est la plus mince, aussi les "retombées" devraient y être plus rapides. Cela pourrait aussi expliquer pourquoi les nouvelles souches de virus affectent généralement les oiseaux en premier, comme on peut le voir avec les nombreuses grippes aviaires. Lors de leur retombée, les microbes sont d'abord présents dans le ciel, où ils peuvent contaminer les oiseaux, avant de finir par atteindre le sol. Des matériaux météoriques porteurs de virus pourraient aussi expliquer pourquoi la peste de Justinien débuta quatre ans après une énorme explosion cométaire aérienne... Ceci expliquerait aussi pourquoi la Peste Noire de 1347 fut précédée d'une intense activité cométaire.
P 130
Le ralentissement de la Terre
Notez qu'un ralentissement de la Terre, même infinitésimal, peut produire des effets dévastateurs, en particulier des tremblements de terre et des éruptions volcaniques...
Les médias grand public et la science conventionnelle ne mentionnent aucun des effets secondaires possibles de ce ralentissement ; ils ne mentionnent même pas l'accélération du ralentissement.
P131-132
"Ouverture" de la Terre : séismes, éruptions et dolines
... une activité solaire réduite diminue le champ électrique surface-noyau de la Terre. Ce champ électrique fait office de puissant "liant" pour la planète, la surface (relativement) négative étant attirée vers le noyau (relativement) positif, ce qui agglomère littéralement la surface et le noyau. Une liaison affaiblit signifie une planète "plus lâche" dont les "parties" ne sont pas autant consolidées.
P137
Les dolines
A l'instar des séismes et des éruptions volcaniques, les dolines pourraient être une autre conséquence du phénomène d' "ouverture" de la Terre. Classiquement, on définit les dolines de la manière suivante :
Une doline caractérise toute formation effondrée ou en forme de bol qui se forme lorsqu'un vide sous le sol crée une dépression dans laquelle tout ce qui se trouve autour disparaît.
P145
Le refroidissement planétaire
La propagande du changement climatique mise à part, il est clair qu'à la fin du 20e siècle, les températures élevées que les climatologues du réchauffement planétaire ont utilisé pour avancer leur thèse ont fait place à des températures moyennes plus basses et ce refroidissement (de même que le réchauffement qui l'a précédé) n'est pas d'origine humaine mais cosmique.
P156-157
Notez que tous les facteurs et mécanismes impliqués dans le refroidissement planétaire pourraient ne pas agir d'une façon strictement linéaire. La météorologie fut l'une des premières disciplines à reconnaître le concept de l' "effet papillon". De petites causes peuvent effectivement avoir de grands effets et deux causes en apparence indépendantes peuvent agir avec synergie pour donner des conséquences disproportionnées. Les phénomènes météorologiques comportent des effets de seuil et des boucles de rétroaction. Un phénomène météorologique non linéaire bien documenté est l'effet glace-albédo où la cause et l'effet s'amplifient mutuellement.
La neige et la glace sont blanches et très réfléchissantes. Elles possèdent ce que les scientifiques appellent un albédo très élevé - il s'agit d'une mesure de la quantité de lumière réfléchie par une surface. Entre 70 et 80 pour cent des rayons du soleil qui touchent ce type de surfaces gelées sont directement renvoyés dans l'espace. Donc, la terre ou l'eau qui se trouvent sous ce manteau blanc n'ont pas l'occasion d'absorber beaucoup de ce rayonnement solaire. (...) tandis que l'eau de mer plus sombre et les terres absorbent facilement la lumière du soleil.
Maintenant, imaginez qu'on ajoute un peu de chaleur au système. C'est exactement ce qui arrive dans le monde réel ; les scientifiques disent que la température moyenne en Alaska a augmenté de 1,6 degré Celsius depuis les années 1950. Avec des températures plus chaudes, de la neige et de la glace fondent, dévoilant les terres ou l'eau plus sombre. Ces surfaces ont des albédos plus faibles - la mer libre réfléchit moins de 10 % de l'énergie solaire qui lui parvient, par exemple. Donc, le paysage absorbe plus de chaleur.
Puis, une boucle de rétroaction intervient. Davantage de chaleur est absorbée par la surface plus sombre, donc davantage de neige et de glace fondent. La surface plus sombre est plus exposée, ce qui mène à l'absorption d'encore plus de chaleur, encore plus de fonte de la neige et de la glace, et ainsi de suite. Une simple petite hausse de température peut enclencher ce cycle de rétroaction. L'effet opposé est également possible ; une petite baisse de température engendrerait plus de neige et de glace, ce qui ferait qu'une plus grande quantité de rayonnement solaire serait renvoyée dans l'espace, amenant à des températures plus froides, donc plus de neige et de glace, et ainsi de suite. C'est ainsi que les scientifiques décrivent le déclenchement des ères glaciaires du passé.
P159
En outre, la vapeur d'eau étant, de loin, le principal "gaz à effet de serre", le refroidissement et la condensation (de la vapeur d'eau) qui en découlent diminueraient l'effet de serre. À son tour, un effet de serre amoindri entraîne plus de refroidissement.
P171
Ouragans, éclairs et tornades
L'accumulation de poussières cométaires dans l'atmosphère terrestre joue un rôle important dans l'augmentation du nombre de tornades, ouragans, de leurs précipitations associées, pluie ou neige, et des éclairs. Pour comprendre ce mécanisme, nous devons d'abord prendre en compte la nature électrique des ouragans, tornades et cyclones, qui sont en réalité des manifestations du même phénomène électrique à différentes échelles ou niveaux de puissance.
P175
... deux facteurs opposés peuvent moduler l'activité solaire. D'un côté, le rapprochement de Némésis tendrait à réduire l'activité du Soleil en raison de la "mise à la masse", de l'autre, son essaim cométaire tendrait à augmenter l'activité solaire du fait des décharges solaires provoquées par les comètes.
P182
La dimension électrique des ouragans et de la foudre
Les éclairs et les ouragans semblent être des processus de rééquilibrage de charge similaires.
... De ce point de vue, les éclairs et la pluie sont tous deux dus à un fort champ électrique atmosphérique et tous deux mènent à un rééquilibrage de charge entre la surface de la Terre et son atmosphère.
P207
Sons étranges
... l'activité éruptive solaire a (timidement et de façon erratique) augmenté depuis 2011 bien que comme nous l'avons déjà vu, nous soyons actuellement dans un cycle solaire anormalement faible qui fut précédé par un cycle également faible... (la déstabilisation de) la magnétosphère, l'ionosphère et l'atmosphère supérieure : dont les effets créées de puissantes éruptions solaires, etc.. sont les causes principales de la génération d'ondes acoustiques-gravitationnelles... Ces "sons étranges" semblent bel et bien être une certaine forme de phénomène électrophonique.
P211
En conclusion, aux côtés de la poussière atmosphérique, des impacts en surface, des explosions aériennes, des impulsions électromagnétiques et des virus aéroportés, les sons électrophoniques sont un autre effet documenté des météores.
Comme nous l'avons fait remarquer, les météores ne sont pas le seul phénomène pouvant générer des sons électrophoniques. Il a été démontré que les séismes, la foudre et les aurores boréales peuvent également être des sources d'électrophonie.
P231
Une cause cosmique, de nombreux effets terrestres
Le fait que les catastrophes naturelles et les "symptômes" décrits ci-dessus deviennent de plus en plus fréquents et intenses suggère que Némésis et son essaim cométaire ne sont pas encore parvenus au périhélie (le point le plus proche du Soleil) et pourraient toujours être en train de se rapprocher, quelque part aux confins du système solaire. Jusqu'à ce que Némésis franchisse le périhélie, nous devrions, dans les années à venir, continuer à être les témoins d'une augmentation à la fois de la fréquence et de l'intensité de ses effets. Et non, il n'est guère probable qu'un corps de ce type n'en vienne à pénétrer dans le système solaire interne (La région qui englobe la Terre et ses voisines Mercure, Vénus et Mars). Tous les phénomènes décrits dans ce livre peuvent se manifester en conséquence des perturbations électriques du Soleil dues à un passage relativement proche et à l'augmentation concomitante du flux cométaire tenant lieu de carte de visite de Némésis.
P239 - 240
Le mandat du ciel
... C'est pourquoi les symptômes d'une activité cométaire accrue sont systématiquement camouflés par les élites sous le masque de phénomènes dus à l'homme. Les traînées de condensation dues à des concentrations supérieures en poussière cométaire atmosphérique sont décrites comme des "chemtrails" vaporisés par des agences gouvernementales, les explosions cométaires aériennes toujours plus fréquentes sont présentées comme des "tests de missiles" ou des bangs supersoniques d'avions militaires, le refroidissement planétaire d'origine cosmique est étiqueté "réchauffement planétaire anthropogénique", l'augmentation de la poussière cométaire atmosphérique devient une conséquence de la pollution industrielle, les évènements météorologiques extrêmes de plus en plus nombreux sont mis sur le dos de HAARP et autres programmes militaro-gouvernementaux "top-secret", les dolines sont le fait de canalisations défectueuses, etc.
En attribuant la cause de ces événements d'origine cosmique aux êtres humains, les élites maintiennent l'illusion qu'elles ont, au moins dans une certaine mesure, le contrôle ; si ce sont les humains qui en sont la cause, alors, du moins en théorie, ils pourraient les faire cesser.
... La plupart des gens ne supportent pas l'idée que le cosmos menace la survie de l'humanité, cela constitue un stress trop intense et relève une impuissance anxiogène.
P279
Le cycle dynastique
... En conclusion, les épidémies qui ravagèrent l'Europe ne furent pas la peste bubonique, mais très probablement un virus d'origine cométaire. Ces épidémies ne furent qu'un aspect des cataclysmes d'origine cométaire, dont des séismes et des dégazages toxiques qui oblitérèrent la civilisation européenne médiévale dans sa quasi-totalité.
P280
Autres cycles dynastiques et vulnérabilité technologique
Cet exemple de cycle dynastique esquisse un principe plus général, mais ne devrait pas être considéré comme un standard universel. Chaque empire présente son propre ensemble de caractéristiques unique qui influence la façon précise dont le cycle dynastique se manifestera : la taille de la population et localisation, ampleur de la réécriture de l'histoire, durée et étendue des mensonges et de l'oppression, réaction du peuple, durée de la période pré-cataclysmique et évidemment ampleur, durée et étendue géographique des événements cosmiques.
... Lorsque l'on tient compte des données archéologiques, historiques, glaciaires et dendochronologiques, une forte corrélation entre décadence impériale et perturbations climatiques et cosmiques majeures (comètes, changement climatique, éruptions volcaniques et tremblements de terre) devient apparente, à tel point que pratiquement chaque empire en question (sumérien, égyptien, hittite, assyrien, grec, romain, etc.) semble avoir été balayé par des catastrophes naturelles quasiment de la même façon.
(La dendrochronologie est une méthode scientifique de datation fondée sur le comptage et l'analyse morphologique des anneaux de croissance des arbres).
P291
L'ascension et la chute du matérialisme
... il semble que notre réalité émerge d'une dimension sous-jacente qui comporte un nombre infini d'univers potentiels. Seul l'un de ces univers possibles se matérialisera, au moment de l'observation, par ce qu'on appelle la "réduction du paquet d'ondes" de la même manière qu'une position ou une vitesse précise d'une particule émerge de la "superposition" de tous ses états possibles. Par exemple, jusqu'à ce qu'une particule soit observée, elle peut théoriquement se trouver n'importe où, certaines positions étant plus probables que d'autres. Une fois observée, la particule se "fige" à un seul endroit.
P302
Le rôle de l'observateur
Diminuer la confiance en soi des sujets semble avoir accru leur influence "négative". Quelqu'un doté d'une pauvre confiance en soi croit qu'il n'est pas assez bon, qu'il est voué à échouer. Donc, lorsqu'on lui demande d'influencer un événement "aléatoire" dans une direction spécifique, il croit qu'il n'y arrivera pas. Et il a en partie raison. Il échoue à influencer l'événement "aléatoire" dans la direction consciemment voulue. Mais il n'échoue pas vraiment puisqu'il a bien influencé l'événement mais dans la direction opposée.
P303
Ceci montre la limitation du concept "vous créez votre propre réalité" répandu dans le mouvement New-Age. Nous ne créons manifestement pas notre propre réalité bien que, en tant qu'observateurs, nous puissions avoir une influence sur la réalité, quoiqu'elle soit généralement minuscule et parfois diamétralement opposée à nos attentes (l'issue que nous souhaitons consciemment provoquer).
Connaissant désormais mieux les interactions entre "observateur" et événements macroscopiques, et comment l'information à laquelle nous croyons peut affecter ces interactions, portons notre attention sur l'information.
P307
Théorie de l'information et conscience
Tom Stonier (père de la théorie de l'information) apporte également une nouvelle interprétation de la thermodynamique, une branche des sciences naturelles traitant de notions fondamentales telles que la chaleur, la température, l'énergie et le travail. Un des principaux concepts développés en thermodynamique est l' "entropie" qui est une mesure du degré de désordre d'un système.
Selon la science conventionnelle et sa seconde loi de la thermodynamique, tout système tend vers un état d'entropie maximale, c'est-à-dire le désordre maximum. Donc, toute entité donnée est censée tendre vers le désordre et la désintégration. C'est pour cela que les scientifiques prédisent le "délabrement" de l'univers et de tous ses constituants menant in fine à la mort entropique et à la randomisation totale.
P308
Toutefois, comme le souligne Stonier, il existe un autre moyen de diminuer l'entropie d'un système : en augmentant son contenu informationnel. Malgré la seconde loi de la thermodynamique, les formes vivantes deviennent de plus en plus complexes et plus organisées au fil du temps. Au lieu de suivre la voie de la mort entropique avec un degré de désordre toujours croissant, elles suivent la voie opposée et présentent un niveau d'organisation et de complexité toujours plus élevé.
Tandis que la science conventionnelle pose l'existence d'une seule sorte d'entropie, uniquement due à l'énergie, pour l'ingénieur Bryant M.Shiller, il existe deux sortes d'entropie : une entropie déterminée par l'énergie et une entropie déterminée par l'information. Bien que les formes non vivantes soient exclusivement contrôlées par l'entropie énergétique et tendent à perdre de l'énergie et à se désintégrer au fil du temps, les formes vivantes sont soumises aux deux sortes d'entropie.
Alors que l'entropie énergétique tend à s'accroître avec le temps (processus de déclin habituel), l'entropie informationnelle peut décroître au fil du temps s'il y a suffisamment d'information ou d'intelligence dans le système. D'où l'augmentation en complexité que l'on remarque chez de nombreuses formes vivantes malgré l'entropie énergétique qui les pousse vers un désordre accru.
La flèche du temps de l'entropie - la tendance de tout système à perdre de l'énergie au fil du temps pour finir par mourir - est neutralisée par une autre flèche du temps, tout aussi fondamentale, où l'Univers progresse par la croissance de l'information, de la structure, de l'organisation et de la complexité vers des états plus élaborés de matière et d'énergie.
P311
Si l'information est effectivement le constituant le plus fondamental de notre Univers, encore plus fondamental que l'énergie et la matière, alors ces mots attribués à "Jean l'Évangéliste" pourraient prendre un tout nouveau sens :
Au commencement était la Parole ; la Parole était auprès de Dieu ; la Parole était Dieu. Elle était au commencement auprès de Dieu. Tout est venu à l'existence par elle, et rien n'est venu à l'existence sans elle.
P330
Résonance collective
Nelson, Sheldrake, Radin, pour n'en citer que quelques-uns, sont parvenus à la même conclusion : chaque membre de la population humaine est relié aux autres par le biais de ce qu'on appelle ici le Champ d'information cosmique, auquel chacun de nous apporte ses propres informations et dans lequel il puise les informations rassemblées par d'autres.
P344
Embranchement d'Univers
De la même manière, mais à un niveau collectif, l'histoire des aveugles et de l'éléphant illustre ce point : un groupe d'aveugles touche un éléphant pour comprendre de quoi il s'agit. Chacun tâte une partie différente et une seule, comme la trompe ou une patte. Ils partagent leurs observations, écoutent ce qu'en disent les autres et collaborent pour constituer une représentation mentale complète de l'éléphant.
Donc, en partageant et en comparant des informations limitées mais objectives et complémentaires, les aveugles accèdent à un concept (l'éléphant 3D entier) au-delà de ce à quoi ils avaient accès individuellement (une trompe, une patte ou une défense isolée...). Notez que pour jauger de l'éléphant dans sa globalité, plusieurs conditions sont nécessaires :
- chaque mesure individuelle doit être objective, vraie ;
- les mesures doivent être partagées ;
- une masse critique de mesures complémentaires doit être atteinte afin de "cartographier" l'éléphant dans son intégralité.
P353
Alors que les informations vraies apportent l'ordre, les informations fausses/les mensonges apportent le chaos. De nos jours, sept milliards de personnes résonnent sur la fréquence du mensonge, générant un niveau de chaos sans précédent. Les extinctions diminuent le facteur mensonge et le chaos qui en résulte. De ce point de vue, les comètes peuvent effectivement être considérées comme un moyen de réduire simplement le niveau de chaos, les outils d'un processus de rééquilibrage cosmique nécessaire.
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Thierry.N (mardi, 26 juin 2018 15:44)
Merci pour ce travail , je termine cette ouvrage et ce résumé rédigé à travers le prisme de ton mental est bien intéressant et invite chacun à faire cette expérience livresque en restant ouvert car "dense il est"....
bien à toi