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Violemment secouée par surprise
Cela fait plusieurs mois que j’entends parler des abus rituels et du contrôle mental sur le réseau Leo, sans que cela ne fasse remonter quoi que ce soit. Je trouvais plutôt « heureux » de ne pas me sentir émotionnellement concernée par ces atrocités bien réelles.
J’avais par contre eu envie d’aller chercher l’information et m’étais plongée dans toutes les vidéos postées par Alexandre Lebreton sur Youtube.
Je pensais que cet attrait pour le morbide était celui du prédateur en quête d’émotionnel. En fait, c’était bien le prédateur qui me mettait face à ces images mais sous la houlette de mon Enje, qui lui n’a de cesse de vouloir m’éveiller.
Le réveil sonna d’une part grâce à un rêve, et d’autre part, grâce à la vidéo de partage des Leos avec Gégé et Nina, la partie 5. Bien qu’encore une fois, de nombreux autres indices avaient été laissés par ma Guidance.
20 novembre.
J’ai une réunion pour un projet dont le thème est : « Changer de mondes ! » en version SDS certes mais quand même ! Cette perspective me parle, à ma manière, mais elle me parle.
A cette réunion, je flashe sur un des collègues présent, me disant que « lui, je le croquerais bien.. » Ça m’a marqué parce que je n’ai plus aucune libido depuis des mois. Et là, pouf, une envie animale qui surgit « de nulle part » pour ce beau mâle !
Son nom de famille fait référence à l’univers équestre et ça fait plusieurs fois que mon Enje me parle de chevaux. Plusieurs fois qu’à chaque « cheval qui se présente », je pense à Hélène.
Je quitte la réunion, reçois un mail de La Vènerie, un Centre Culturel que j’ai contacté il y a loooongtemps au sujet de ma pièce. Le mail dit :
« Un des membres du comité de programmation ne manquera pas de venir assister à votre prochaine représentation ».
Bon... Je ne réagis pas. Pourtant, les termes employés et le fait de recevoir ce mail à ce moment-là, à savoir, plus de 10 jours après les représentations à Namur, est à la fois intéressant et étrange.
Sachant que « la vènerie » est une chasse à courre, c'est à dire une mise à mort, une exécution, avec des tueurs et des gens autour qui regardent la scène, donc un beau rituel ! Là, ça devient carrément super intéressant !
« Un mode de chasse ancestral qui consiste à poursuivre un animal sauvage avec une meute de chiens courants, jusqu'à sa prise. Seuls les chiens chassent, grâce à leur odorat et leur instinct de prédateur. Le rôle de l'homme, généralement cavalier pour la circonstance, consiste à les contrôler et à les suivre. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vénerie
C’est cette nuit-là que je rêve que j’ai un rapport sexuel avec mon père (voir témoignage 299 - Je pleure comme une madeleine). A mon réveil, j’écris dans mon carnet : alter en couple avec Michel ? L’idée me rappelle l’épisode au Grand Studio où je me mets à me déhancher en déclamant un texte qui parle de mon père, avant de tomber au sol en riant nerveusement.
Mais ce matin au réveil, non, je ne peux pas dire éprouver grand chose. Je nie la notion d’inceste et oublie ce rêve.
Le soir en rentrant, tout l’émotionnel sort lorsque je visionne le partage des Leos.
Suite à ce visionnage et aux remontées qu’il suscite, je passe une horrible nuit : j’ai peur !
Ça faisait longtemps que je n’avais plus éprouvé la peur d’aller me coucher, comme quand j’étais gamine et que je demandais à ma mère de bien coincer la couverture dans mon dos, par crainte que quelqu’un ou quelque chose parvienne à s’y glisser.
Dans mon lit, mes pensées se dirigent vers X., collègue également présent à la réunion et dont l’énergie me rebute très fort. Il est tactile et vous embrasse comme un pervers, ce n’est vraiment pas cool. Moi et Nina (!), ma copine du groupe, évitons soigneusement de le regarder ou de nous tenir trop près de lui. Prédateur sexuel sur cette ligne temporelle ou sur une autre. Suis sûre.
Le lendemain après-midi, mon téléphone sonne, surprise ! C’est X., mon « Robert » à moi [faisant référence au texte d'Hélène - Chap X - 3e partie]. Je bugge. Je ne décroche pas. Il ne m’appelle jamais d’habitude. Son message vocal dit qu’il veut « profiter de ma voiture pour se rendre à la prochaine réunion ». Comment dire… c’est horrible ! Je ne réponds pas tout de suite. J’ai le réflexe d’appeler à l’aide la seule autre collègue susceptible de faire cette route avec moi, je ne veux pas être seule avec lui ! Mais Nina ne décroche pas.
J’essaye de me calmer parce que ça prend des proportions : le cœur palpite ! C’est mon alter qui est là, j’en prends conscience.
« Reprends tes esprits Eli ! » Ok. Message bien reçu : retour dans l’ici et maintenant. Et là dans l’immédiat, une seule chose à faire : me plonger dans la Connaissance, profiter des partages et des expériences des autres.
Alors je décide d’aller relire l’histoire d’Hélène et du dit Robert.
C’est fou comme un témoignage peut nous toucher à un moment donné, alors que 3 mois auparavant, rien !
Dans ma précédente enquête, je suis allée du côté du « symbolisme officiel celte » mais suis restée bien éloignée de l’information concernant le druidisme, magie occulte berceau de rituels sataniques.
J’ai donc rencontré les gentils cerfs (serfs) et les gentils trèfles (shamrock) etc qui m’indiquèrent mes mémoires d’esclave et d’enfermement à un certain niveau disons (voir témoignage précédent : « Maître d’œuvre »). Mais puisque j’y vais couche après couche de plus en plus loin, et qu’apparemment je suis prête, il est temps maintenant de descendre plus en profondeur.
Cette deuxième lecture du témoignage d’Hélène est très très pénible. Je suis choquée. On dirait que c’est la première fois que j’entends parler de prédateur sexuel ! Comme si aucune des vidéos aucuns des témoignages ou conversations précédents n’avaient été entendus par ma conscience.
Alors que l’image d’enfants enfermés dans des cercueils me fait des nœuds dans le ventre, que j’imagine les cages dans lesquelles Hélène et Sand sont enfermées etc, me reviennent aussi en mémoire des faits divers nauséabondes sur la pédocriminalité, des altercations que j’ai moi-même eues avec des hommes, et surtout ce rêve, avec mon père sur moi,… le tout faisant ressurgir l’alter victime et en colère.
Fin de l’amnésie. Merci, car c’est bien le but de la manœuvre : se souvenir.
Mon téléphone sonne à nouveau : c’est S. !
S. est une des copine-alter-maître identifiée comme telle lors de ma dernière enquête. Je ne l’ai plus vue depuis des lustres, sauf sur mon mur facebook, duquel je l’ai d’ailleurs effacée suite à de grosses remontées émotionnelles de colère et de mépris.
Là encore, surprise et sous le coup des émotions, ne sachant ni comment réagir ni quoi dire, je ne décroche pas ! Son message vocal dit : « Cela fait plusieurs fois que je pense à toi en ce moment. Je viens juste aux nouvelles. Allons prendre un verre ! ». Par texto je fixe un rdv, curieuse au plus haut point de ce que cette rencontre va m’enseigner.
Dans le même élan, j’envoie aussi un sms à X. pour lui dire que j’accepte de l’emmener à la prochaine réunion.
Retour sur l’ordi, je peste parce que je reçois sans cesse les newsletters d’un magasin de cosmétiques. J’ai déjà essayé de me désabonner plusieurs fois mais sans succès. Jusqu’à ce que j’y parvienne enfin et que je réalise : le magasin s’appelle Rituals. Evidemment !
Pirates !
Je me remets au travail, je poursuis ma lecture du tome 2 de l’Onde « Hackers d’âmes » et arrive comme par magie au chapitre sur la possession, la programmation, les rituels.
Dans « Tout est leçon – considérations supplémentaires », Laura Knight explique qu’il y a plusieurs sortes de channeling et que certains channels reçoivent des infos de « niveaux inférieurs ». Elle dit :
« Par là, j’entends souligner la différence entre les communications avec les morts et les communications avec des sources de densités réellement supérieure. » p 209
Puis, p 211 citant William Baldwin, elle décrit un phénomène qui m’est arrivé il y a un an ou deux. Je m’explique :
Je dormais chez mon frère carrément malgré moi (c’est ça l’attachement, ça vous fait faire des trucs… enfin bref). En pleine autocontemplation, je lui rendais service en acceptant de m’occuper de ses enfants le matin tôt.
Une fois venue l’heure de dormir, je n’étais vraiment pas à l’aise dans son salon. Je savais que la maison avait été habitée par un ancien militaire, Franck, qui était allé se suicider dans le bois voisin quelques mois auparavant. (Cela me semble aussi être plus qu’une coïncidence mais je n’ai aucune idée de ce que j’avance là)
Alors que j’étais prête à m’endormir, j’ai senti que « quelque chose » pénétrait en moi par ma colonne vertébrale au niveau de mon coccyx. Ca a fait comme un effet ventouse, comme une aspiration vers l’intérieur, difficile à décrire. Je me suis retournée d’un coup sec sur le dos et me suis dit : « oh non, pas encore une fois !!! » Je savais que je m’étais « faite avoir » mais je gardais un espoir « que non ».
Les jours qui suivirent je ressentais une présence, un poids collé à ma colonne vertébrale, mais surtout, j’étais anormalement fatiguée et je sentais bien dans mes comportements quelque chose de différent : j’étais très agressive surtout au volant, très impatiente et j’avais des envie d’hamburgers et autres trucs très gras. Il était clair et net qu’une ou plusieurs entité(s) s’étai(en)t attachée(s) à moi. Ce n’était pas la première fois, donc je reconnaissais le phénomène. Par contre, pour la première fois, j’avais pu sentir très clairement le moment où elle s’était introduite, ce qui, en terme de leçon, était une amélioration !
Finalement, je suis allée consulté chez quelqu’un de confiance, qui m’a confirmé que j’avais des « locataires ». On en a rit, moi moins qu’elle, parce qu'à moi, ça a quand même coûté 75 euros !! Mais bon, l’important c’était de m’en libérer évidemment.
J’ai donc subi un troisième exorcisme et voilà, fin de l’histoire.
Il est souvent dit que ce que veulent ces entités c’est se nourrir de notre énergie, raison pour laquelle elles s’attachent. Mais ce sur quoi Laura insiste ici c’est la programmation/contrôle mental de haut vol !
En effet, cette entité induisait complètement mes comportements, et au plus ceux-ci étaient pervers ou déviants, au plus l’entité semblait se régaler : je pouvais ressentir de la jouissance par exemple en insultant un autre automobiliste et en même temps, c’était totalement ambigu car j’avais conscience que ce n’était pas moi !!!
Heureusement pour moi, à chaque expérience d’attachement, je m’en étais rendu compte assez vite, parce que j’avais appris à m’observer et à développer ma sensibilité. Ce qui n’est évidemment pas le cas de la majorité des gens, totalement ignorants d’eux-mêmes et du phénomène.
Je lis p 212 :
« L’hôte reste en général inconscient de la présence d’esprits qui lui sont attachés. Les pensées, désirs et comportements d’une entité attachée sont vécus par l’hôte comme des pensées, désirs et comportements qui lui sont propres. Des pensées, sentiments, désirs et habitudes présents depuis longtemps - parfois même depuis l’enfance - ne lui paraîtront pas étrangers. C’est l’un des facteurs majeurs expliquant le refus général du concept et le rejet des phénomènes d’interférence, d’attachement, d’obsession ou de possession par des entités désincarnées. »
C’est presque la définition du prédateur de 4eme densité qui nous a « donné son esprit » comme dit Don Juan n’est-ce pas ?
Ok.
Alors d’abord, pourquoi ai-je vécu ça ? Et plusieurs fois en plus ?
Et ensuite, pourquoi je tombe là-dessus aujourd’hui alors que je suis tournée vers la signification de ce que sont des alter ?
Ce qui me vient c’est qu’il s’agit de programmation ou de soutirage « en cascade ».
Evidemment ce squattage a pour but de me programmer et soutirer ainsi mon énergie. Mais il est clair et évident qu’en définitive, tout cela, c’est pour régaler le prédateur caché en 4D, puisque j’ai toujours à l’esprit que la 3D c’est son business et qu’il a faim !
« Toute programmation a pour but de faire de la personne un canal » dixit Jenaël (voir partage à 4 avec Gégé et Nina, partie 5)
Ce n’est donc pas uniquement comme on peut le lire un peu partout pour nourrir l’entité squatteuse.
Il y a bien au-dessus d’elle « un magicien » comme Laura Knight l’explique aussi, « quelqu’un » qui dans l’ombre, chapeaute l’opération de squattage.
Et ici donc : je considère que la programmation c’est l’entité elle-même, c’est pour ça que je parle de « cascade ».
Et pourquoi diable mon âme a-t-elle autorisé ce parasitage : Parce que, pour reprendre le titre de Laura Knight : tout est leçon ! et parce qu’il fallait que je fasse l’expérience de « ne plus être en possession de moi-même » pour comprendre le phénomène. Apparemment une expérience ne m’a pas suffi, il a fallu réitérer !
Mais après avoir fini l’Onde 2, je peux rajouter une autre explication au sujet de la répétition de ces « attaques » : j’apprends qu’elles visent particulièrement les candidats SDA.
Jenaël, toujours dans la partie 5 de la dernière vidéo :
« Quand on meurt : l’âme se fractionne et des parties d’âme, fractales ou alter se perdent dans l’astral de la 3D en attendant qu’une entité d’une densité supérieure les libère en les emmenant dans la densité supérieure ».
Alors voilà ce que je comprends en partant de mon cas pratique :
Les entités désincarnées, les parties d’âme qui traînent autour de nous en 3D et « attendent » leur libération, restent à la solde des prédateurs de 4D, comme nous. Du coup, un bon moyen pour les big boss de les rendre utiles est de passer par elles pour se nourrir. Ces entités continuent ainsi de faire partie de la chaîne alimentaire en toute discrétion ! Ils ne sont en définitive qu’un outil de plus pour nous bouffer.
Quelque part, les parasitages que j’ai expérimentés correspondent à un alter rentrant dans ma bulle de perception pour m’enseigner au même titre que tout mon entourage détenteurs d’un corps physique.
Le message de cet alter désincarné étant à comprendre/lire au travers du genre de comportement qu’il induit en moi.
Je me souviens :
Je réalise très vite que quelque chose ne tourne pas rond : je suis agressive et impatiente mais en fait, à « la base », je suis effectivement agressive et impatiente. L’entité qui m’habite ne fait qu’exacerber ce qui est déjà présent en moi. Il y a dans mon adn une vibration particulière qui l’a attirée. On doit avoir le même programme ou vibrer à des fréquences qui « s’attirent » ? Voilà comment elle m’a « choisie ».
Comme tout alter au service de soi, elle me vide, d’autant plus que comme tout alter au service de soi, elle ne sait pas qu’elle est elle-même prédatée !
Et donc, au moment de ma séance de libération, il est vital pour moi de me libérer de cet alter désincarné vampirique, lui-même canal d’un prédateur de 4D (le « magicien »).
Cet alter avait pour mission :
- d’induire en moi des comportements, selon moi, déjà présents dans ma génétique, c'est à dire dans ma programmation SDS, allant de la consommation de mal bouffe, de drogue, de pornographie, de séries débiles etc. jusqu’à des trucs mille fois pires comme des viols, meurtres, etc.
Cela toujours dans le même objectif : récolter le plus d’énergie dégueulasse possible pour nourrir le corpus SDS au-dessus, mais aussi, nuire à mon cheminement en SDA, voire l’anéantir complètement.
- d’attirer mon attention sur mes programmes SDS.
Soit je détecte sa prédation et elle m’enseigne, soit pas et elle me bouffe !
Donc ça, c’est à un certain échelon.
Et le « level au-dessus », c’est les Greenbaum (je parle ici des cas exposés par D.C.Hammond dans l’ "Exposé Greenbaum", sur les sévices et les personnalités multiples, en 1992 en Virginie) et tutti quanti, dans lesquels la torture est utilisée pour fractionner l’âme de l’être humain, afin, comme le disent Sand et Hélène, d’offrir la possibilité aux prédateurs de 4D de venir habiter un corps physique, à travers un des alter ainsi créés.
A l’époque de cette attaque, j’avais lu que je devais m’emballer dans de la lumière pour éviter que ça ne se reproduise. Je devais aussi stopper tout comportement susceptible de favoriser ce genre de possession, du style : alcool, drogue, pornographie, etc... ce qui en soi était un bon conseil. C’est le coup de la lumière blanche qui ne me convainc plus.
Aujourd’hui je sais que c’est la Connaissance, pas la lumière qui assure ma protection. On ne se le répètera jamais assez !
Fin du Tome 2 sur une belle… pirouette
Oui, je suis, nous sommes programmés, et la Connaissance est la seule chose qui puisse nous aider à nous déprogrammer. Chaque fois qu’on est face à un choix, comme dit Laura, il faut se poser la question : « Est-ce moi qui décide ou est-ce qu’on me dirige ? »
Ces derniers temps, je m’interroge sur mon programme « danseuse/prof de danse ». C’est sûrement, je ne sais pas, le plus imposant. C’est ma profession. « La profession, du latin professio (« déclaration, déclaration publique, action de se donner comme ») est le métier exercé par une personne. (..) Il constitue également un rôle social. » https://fr.wikipedia.org/wiki/Profession
C’est ça, c’est un rôle, un de mes nombreux rôles, costumes ou alter.
Ma mère m’a souvent dit que je dansais déjà dans son ventre. Ca me faisait sourire fièrement, c’est tellement gratifiant de ce dire qu’on a un talent, quelque chose de spécial etc…
Foutaises ! Grâce à l’histoire de Lilly, je comprends d’où me vient ce « talent » et à quoi il sert au-delà du baratin. Je m’explique.
23 novembre.
Je vais donner mon cours. Sur la route, je mets Michael Jackson, je suis fan oui, très fan…atique ! Je chante, je danse dans la voiture pour me donner la pêche.
J’arrive littéralement surexcitée, d’ailleurs je le dis aux élèves, « que je ne sais pas ce que j’ai ! ». Tout le cours se passe dans cette énergie démesurée, on dirait que je suis un homme politique en plein meeting ! Je galvanise les troupes, exactement comme Michael Jackson m’a galvanisée... Quand ma collègue entre dans la salle de danse après 1h30, je lui dis à elle aussi « que je ne comprends pas d’où me vient toute cette énergie… !! »
Et puis aujourd’hui je lis ça : l’Onde 2 p 411 :
Le contexte : Laura, hypnothérapeute, a pour cette séance, Lilly comme sujet.
Elle l’interroge sur ses alter et découvre que l’un d’entre eux appelé « le Maître-programmeur a été conçu pour transformer Lilly en une dynamique enseignante de métaphysique New Age. Sa mission consistait à sillonner le pays pour donner cours et séminaires sur des sujets divers et variés, afin d’activer les programmes déjà installés chez d’autres victimes Greenbaum et assimilées ».
Waw.
Je ne suis pas en train de me prendre pour un maître–programmeur, juste en train de réaliser quel canal je suis et, quel alter potentiellement programmeur se met en route quand j’enseigne.
Et donc, il n’y a pas grand chose à rajouter.
« Toute programmation a pour but de faire de la personne un canal ».
Je suis dégoûtée. Je le savais théoriquement depuis ma toute première question au réseau Leo, que tout travail était orienté SDS, « même travailler pour médecins sans frontière » disaient-ils.
Mais ce n’est qu’aujourd’hui que j’en prends réellement conscience : je me suis vue pour la première fois telle que je suis quand je donne cours, ou plutôt : j’ai vu QUI donne cours : c’est un programme qui donne cours ! c’est l’alter-canal-prédatrice qui pompe l’énergie et s’en retrouve gavée au point de ne plus savoir quoi en faire de toute cette énergie, et qui s’étonne : « mais, qu’est-ce que j’ai ?? »
Toutes vos réflexions sont les bienvenues, comme toujours.
Merci et bonne quête,
Eliane G (Inscrite au cénacle - Bruxelles)
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