Article issu du site The Battle For World Supremacy
partiellement traduit en français sur ce site : partie 1 - partie 2
L’importance des doubles humains est apparue très tôt lorsque la politique s’est compliquée au sein des élites dirigeantes : anciennes familles fortunées – Rothschild, Rockefeller, famille royale britannique, Trust familial Fondi, sociétés secrètes, etc.
Toutes les parties prenantes ne cherchaient qu’à remplacer certaines personnes pour apporter les changements dans les milieux politiques, permettant de créer des situations et des circonstances plus favorables à leurs projets.
Après la Deuxième Guerre Mondiale, la chirurgie esthétique faciale a été pratiquée par d’habiles chirurgiens et perfectionnée en secret.
Les Soviétiques l’utilisaient pour créer des doubles de haut rang et ces doubles devaient passer des années à imiter les maniérismes, les comportements et les traits de caractère de la personne qu’ils devaient finalement remplacer.
Les États-Unis, l’Angleterre, étaient eux-aussi impliqués dans les tours de passe-passe permis par la chirurgie faciale pour abuser le public et des membres de l’aristocratie. Mais le processus destiné à provoquer le changement avait ses limites, et au cours des décennies suivantes toutes les institutions scientifiques fondées par les élites ont cherché de nouveaux moyens de créer des répliques.
Aux États-Unis et en Europe, la recherche a été particulièrement compartimentée pour en garantir le secret.
Injection d’ADN
La première injection d’ADN connue du public (pour provoquer une transformation de forme et d’aspect) a été révélée en France, et utilisait des canards, selon Gordon Rattary Taylor, l’auteur du livre « La bombe à retardement biologique ».
La recherche originelle sur la manière de procéder a été classée après que des informations sur les résultats aient été publiées dans des journaux professionnels. Une autre série d’expériences a été entreprise par le même groupe, mais les résultats de la première tentative n’ont pas pu être reproduits, et les premières découvertes publiées ont été imputées au hasard.
L’institut de recherche français à Strasbourg était financé par les Rothschild. Et selon les rapports de 1959, dont les biologistes avaient connaissance, trois généticiens français avaient utilisé deux espèces de canards, le Khaki Campbell et le Pékin Blanc, et avaient extrait l’ADN du Khaki Campbell pour injecter le matériel génétique au Pékin Blanc.
Les généticiens espéraient que l’ADN injecté se transférerait aux rejetons du Pékin Blanc. Mais quelque chose d’étonnant s’est produit : les caractéristiques physiques du Pékin Blanc ont commencé à se modifier en celles du Khaki Campbell. (Voir l'expérience ici)
Canard kaki campbell et pekin blanc.
L'ADN du kaki campbell a été injecté dans le pekin pour provoquer une transformation.
La famille Rockefeller a également financé des universités aux Etats-Unis qui manipulaient l’ADN. Sept ans après le rapport français, A.S. Fox et S.B. Yoon de l’Université du Wisconsin ont affirmé qu’ils étaient capables de provoquer d’authentiques transformations après avoir traité différentes espèces de drosophiles*. Ils ont cultivé de vrais rejetons jusqu’à sept générations avant que leur ADN étranger ne disparaisse.
*En fait les recherches sur les drosophiles ont été entreprises dès les années 30 aux Etats-Unis et reprises par des chercheurs français (G. Teissier et P. L’Héritier) à l’ENS (Ulm) à partir de 1933 (NdT.)
Après avoir pris connaissance des recherches de Fox et Yoon, le professeur soviétique Sergei Gershenson, chef du département de virologie à l’Académie des Sciences de l’Ukraine (Kiev) affirma qu’il avait traité des drosophiles avec de l’ADN extrait du thymus du veau trente ans auparavant et que ses recherches avaient été publiées en 1939.
À gauche : double hélice de l’ADN ;
À droite : la drosophile (ou "mouche à fruit" ou "mouche des fruits ») à qui de
l’ADN d’une autre espèce
a été injecté pour encourager/provoquer une transformation.
Son expérimentation avait produit une transformation stable dans les ailes et un petit segment du chromosome de la drosophile avait été également affecté. Gershenson a été surpris par les résultats et voulait poursuivre les expériences, mais peu après la Deuxième Guerre mondiale avait éclaté et ses recherches ont été interrompues.
Clones de laboratoire et Doubles de laboratoire
En 1967, Lord Rothschild*, un physiologiste qui faisait mondialement autorité en matière de structure et d’action du spermatozoïde, annonça à l’Institut Weizmann des Sciences en Israël qu’il considérait le clonage humain comme étant à portée de main, et que le seul obstacle qu’il prévoyait était de nature éthique. Rothschild n’a pas précisé quel type de clonage il envisageait – de l’enfant intra-utérin ou âgé (adolescent ou adulte), mais le plus probable est qu’il se référait au clonage humain reproductif en manipulant l’ADN du sperme et de l’ovule.
*Il s’agit de Victor Rothschild (1910-1990), dont le nom fut cité – à raison – lors du procès des Cinq de Cambridge comme étant le cinquième homme des espions britanniques travaillant pour le KGB.
La première mention de clonage de laboratoire à l’âge adulte comme étant un fait avéré, émane du Dr. Peter Beter, par le biais de ses sources de renseignement et est enregistré dans sa série de lettres audio et d’interviews radio. Et le Dr. Beter a montré des photos de l’époque de clones humains déployés dans Washington D.C.
Plusieurs années après la révélation de cette découverte, une source qui alimentait Beter en informations a confirmé ce que Beter avait dit, et en a révélé davantage. Beter a alors été averti de cesser de produire sa série de lettres audio et quelques années plus tard il a subi une crise cardiaque et il est mort.
La source a affirmé qu’elle avait emmené Beter voir un des présidents américains, Jimmy Carter, sous forme de clone à Washington D.C. à la morgue après qu’il ait rempli son rôle de doublure politique et soit décédé en raison de la détérioration de ses fonctions physiologiques.
La source a affirmé que le clone ressemblait à une poupée et que le clonage adulte a été écarté parce que le processus était trop chronophage et que le produit fini avait une durée de vie limitée.
Les clones adultes sont toujours utilisés de nos jours, oui, mais pas de manière aussi répandue que lors de leur premier déploiement à la fin des années 1970.
Organismes hôtes générés en laboratoires pour (futurs) clones ; organismes maintenus dans des poches artificielles et stockés dans un réservoir d'eau. Source : film - À l'aube du sixième jour
Un clone/organisme hôte enlevé du réservoir et retiré de sa poche,
s'apprêtant à être affecté. Source : film - À l'aube du sixième jour
ADN injecté dans l'organisme hôte pour commencer la transformation en chambre ;
caractéristiques faciales, etc, commencent à se former. Source : film - À l'aube du sixième jour
Les clones de laboratoire ont quasiment été retirés de la sphère politique quatre ans après leur premier déploiement en 1979, quand le groupe secret qui était à l’origine de ces automates biologiques futuristes a eu recours à une autre forme de production humaine qui était plus durable, appelée ‘double de laboratoire’, qui requiert des corps hôtes authentiquement humains. Et ces corps hôtes sont obtenus par des moyens clandestins pour éviter toute réaction outragée du public et tout scandale éthique.
Avec les clones de laboratoire, les corps hôtes sont «élevés» et stockés pour un usage éventuel, alors que les doubles de laboratoire sont choisis parmi le public.
Lors d’une telle opération, les gens sont portés disparus, ou ciblés dans des meurtres violents, reconnus coupables, condamnés et disparaissent après qu’on ait simulé leur mort.
Les doubles de laboratoire sont générés en utilisant l’injection d’ADN, au cours de laquelle l’ADN de la personne à copier est obtenue par prélèvement de sang, de peau, etc., et subit un processus de préparation pour le transfert dans un hôte différent.
L’ADN du corps cible est détruit alors que l’ADN étranger est transféré, ce qui outrepasse totalement l’ADN originel du corps et commence à le transformer physiquement en l’espace de quelques heures.
(Référence : la déclaration de Thomas Castello à propos de la base de Dulce ; un extrait :
« … Garçons aux cheveux noirs entre cinq et neuf ans, hommes petits à âge moyen de la mi-vingtaine à la mi-quarantaine. Mais, permettez-moi de souligner qu’il y avait TOUTES SORTES de gens détenus contre leur volonté dans la base de Dulce ! Les garçons (destinés à servir de doubles de laboratoire) sont préférés parce qu’à cet âge, ils grandissent rapidement, et que leur matériel atomique (ADN) est adaptable dans la chambre de transfert.»)
Comme mentionné préalablement, l’expérimentation de la transplantation de l’ADN dans un hôte différent a été testé depuis les années 1920, même si la réalité de la double hélice de l’ADN n’a été révélée publiquement que dans l’édition de septembre 1967 du National Geographic Magazine dans un article intitulé «LA NOUVELLE BIOLOGIE».
La reconnaissance publique de cette théorie de longue date est devenue un fait et les biologistes étaient maintenant à la fois passionnés et perplexes à propos de cette nouvelle science et de ses possibles ramifications, parce qu’ils ont réalisé que les marqueurs ADN étaient comme des couleurs ou des blocs différents qui pouvaient être mélangés ou re-séquencés pour créer des variations et des similarités.
Un double humain généré en laboratoire. Les traits/caractéristiques commencent à se
former
après que l'on ait injecté de l'ADN. Source : Film - Die Another Day
En 1997, j’ai été informé par une source que le premier clone humain non issu d’une matrice humaine avait vu le jour dans une société privée européenne, en secret, en Belgique, et que l’enfant avait quatre ans lorsque la nouvelle a transpiré.
La source a dit que lorsque l’enfant a vieilli, sa conscience a commencé à se détériorer et qu’il avait été maintenu en vie artificiellement par un équipement de soutien. Le projet belge financé par les élites, selon la source, était destiné à parfaire la science pour faire grandir les humains, du bébé à l’adulte, et que les connaissances ainsi obtenues seraient utilisées plus tard pour créer des clones de combat dépourvus d’émotions lors de futurs conflits militaires.
Mutilations du bétail :
Au début des années 1960, des reportages sur des mutilations du bétail ont commencé à surgir aux États-Unis, limités aux états de Pennsylvanie et du Kansas, et ont été considérés comme des incidents isolés. Vers le milieu des années 1970, l’étrange phénomène des mutilations du bétail s’est répandu dans les Amériques.
Le public n’avait aucune idée de ce qui se cachait derrière ces mystérieux massacres du bétail. Le même phénomène a été constaté en Angleterre entre 1983 et 1993, et en Allemagne entre 1992 et 1998. Des rumeurs se sont répandues dans la communauté OVNI que des extraterrestres et leurs vaisseaux étaient impliqués ; et aujourd’hui encore, la responsabilité du coupable présumé demeure la même.
Des animaux prédateurs sont également en cause dans la mort du bétail et leurs méthodes (blessures de déchiquetage et de dépeçage, corps meurtris, etc.) pour tuer le bétail, peuvent être identifiées par les enquêteurs compétents. Dans la mutilation du bétail faite par les prédateurs humains, les blessures sont plus précises et suivent certains schémas de prélèvement d’organes.
Les acolytes des Rothschild, les Bolcheviks américains, étaient à l’origine de la vague de mutilation de bétail qui a frappé les Amériques au milieu des années 1970.
Les Bolcheviks américains utilisaient les méthodes des Rothschild pour générer des clones adultes, développés en France, qui exigeaient qu’on prélève certains organes pendant que le donneur (animal ou humain) était toujours conscient.
Les biologistes dans la confidence, particulièrement ceux qui travaillaient sur des projets secrets du gouvernement, sont parfaitement au courant de cette pratique.
Mutilations de bétail en relation avec des expériences secrètes de clonage aux USA,
utilisant une technologie en lien avec les Rothschild, mais mises sur le dos des extraterrestres.
Mutilations humaines en relation avec des expériences secrètes de clonage aux USA,
utilisant une technologie en lien avec les Rothschild, mais mises sur le dos des extraterrestres.
(œil gauche retiré, paupière retirée, oreille retirée, lèvre, mâchoire retirées et PAS DE SANG !)
J’ai été informé d’un tel incident impliquant les Britanniques qui s’est produit dans les années 1960 pour prélever les reins de l’animal, afin d’aider à créer des cultures de tissus riches en nutriments. Les animaux étaient capturés et mis en cage, puis leurs organes étaient prélevés alors qu’ils étaient toujours conscients. Des années après, les informations concernant le projet ont fait surface dans le public en causant un scandale et des répercussions, et on a nié que toute la procédure sur la façon dont les organes étaient prélevés, ait jamais existé.
Afin de ne pas refaire la même erreur, le groupe secret à l’origine des prélèvements utilisait à présent des technologies avancées et des lieux bien choisis pour collecter les organes, les tissus et le sang du bétail ; pour ensuite en accuser la cruauté des extraterrestres. Cela faisait partie des tactiques de la campagne de terreur du plan de l’invasion aliène, pour entretenir la peur des extraterrestres au sein du public.
Le 30 juin 2003, un scientifique israélien, le Dr. Tal Biron-Shental affirma, lors de la conférence de la Société Européenne de Reproduction Humaine et d’Embryologie, qu’ils avaient réussi à cultiver des follicules de production d’ovules prélevés sur des fœtus humains avortés, et que 70 bébés souris étaient nés en utilisant cette technique. En présentant sommairement ce processus, il a affirmé que les chercheurs prélevaient des échantillons d’ovules et les congelaient ; puis les décongelaient et les coupaient en tranches placées dans des coupelles contenant des produits chimiques favorisant la croissance (c.à.d. des hormones extraites de glandes et autres organes) et du «sang de veau» pendant quatre semaines.
Lors de ce symposium, certains experts étaient sceptiques à propos du fait que des fœtus avortés puissent être une source utilisable d’ovules humains, alors que d’autres prétendaient que c’était techniquement possible, mais que des préoccupations éthiques en faisaient une mauvaise solution.
La culture de cellules de tissus biologiques, de nutriments, etc., extraits ou cultivés à partir d’organes de bétail ou humains, sont utilisés comme point de départ du processus de clonage.
Thomas Castello, le responsable de la sécurité de la Base Souterraine de Dulce a confirmé que le phénomène de mutilation du bétail était de nature terrestre, comme l’avait mentionné le Dr. Beter plus de trente ans auparavant.
Le projet de la Base de Dulce était similaire au projet de Plum Island à New York et à l’île fictive du Docteur Moreau, un roman de H.G. Wells.
Néanmoins, le projet de la Base de Dulce était plus avancé, parce qu’il a combiné des découvertes accidentelles pour une exploration en profondeur dans le plus grand secret.
Le projet était grandiose car il avait à l’esprit des idées de développements ultérieurs. Et certaines d’entre elles consistaient :
– à essayer de résoudre les problèmes du clonage humain,
– de créer des espèces d’apparence aliène,
– de créer des catégories d’espèces humanoïdes,
– la programmation mentale,
– la propulsion antigravitationnelle, etc.
Et le projet consistait à préparer le plan directeur d’une fausse invasion aliène de la Terre.
Les Doubles Naturels
Les sosies ou doubles naturels sont une réalité mystificatrice de la nature. On prétend qu’un pourcentage de la population peut découvrir une image proche ou similaire d’elle-même parmi la population.
Les communautés du renseignement sont toujours activement à la recherche de sosies de personnages importants, juste au cas où quelque chose arriverait à la personne originale, alors le sosie pourrait être utilisé pendant un certain temps.
Les sosies ou doubles naturels sont des phénomènes naturels déconcertants/mystiques.
Avant la fin des années 1970, l’utilisation de sosies posait problème, parce que la seule chose qu’on leur demandait était d’apparaître à la place de l’original, mais quand il s’agissait d’interagir avec le public, etc., leur prestation était souvent médiocre parce qu’ils n’avaient pas la mémoire de la personne originale.
Dans des situations telles que des prestations publiques, des assistants compétents s’étaient fait une spécialité de connaître l’essentiel de ce que l’original était censé savoir. Ces assistants se tenaient directement à côté des sosies et chuchotaient à leur oreille lorsqu’ils étaient à court d’inspiration. Une fois que les sosies apparaissaient sous les feux des projecteurs, cela créait également des problèmes pour eux, parce que dès lors ils en savaient trop, particulièrement s’ils étaient utilisés brièvement et qu’ils devaient terminer leur carrière dans des accidents prémédités.
Inconnu du grand public des lecteurs, il y a le cas de Billy Meier et les extraterrestres Pléiadiens avec lesquels il est en contact, lui ont révélé que la légende de la personne depuis longtemps décédée de Saint Germain en France avait été gardée vivace en utilisant des doubles naturels après sa mort.
Ces sosies ont été utilisés pendant de nombreuses années par la secte secrète des Rose-Croix (c.à.d. l’Ordre Germanique des Rose-Croix, en allemand Rosenkreutz d’après son fondateur mythique Christian Rosenkreutz) pour perpétuer la légende de Saint Germain.
Les souvenirs de l’histoire de Saint Germain ont été transférés à des sosies en utilisant l’hypnose et on leur a également enseigné ses tours de passe-passe. Des écrits sur cette mystérieuse histoire prétendent qu’il avait découvert l’élixir de longue vie et qu’il avait vécu pendant 2000 ans. Mais l’élixir n’était rien d’autre qu’une recette d’un mélange d’herbes euphorisantes et de produits chimiques qui lui avait été donné par la secte des Rose-Croix, et c’est ainsi que sa longue vie a été due à une série de doubles humains naturels.
Le véritable Saint Germain est mort à l’âge de 73 (ou 93) ans. Et aujourd’hui le culte du New Age a créé autour de lui une fausse légende ostentatoire de Maître Ascensionné, alors qu’ils auraient dû la corriger en Maître Ascensionné des Rose-Croix allemands. […]
Esprit / Conscience / Personnalité Vivante Artificielle
Au début des années 1990, un laboratoire russe en Sibérie a découvert comment créer un esprit/conscience/personnalité vivant artificiel qui peut être intégré dans l’esprit d’un individu sans qu’il en ait conscience, alors que cette personnalité agit comme un espion, sa vision et son audition étant enregistrées sur le site de surveillance d’un laboratoire russe distant.
Cette découverte de leurs scientifiques a diminué l’importance du déploiement de clones et de doubles de laboratoire de personnages haut-placés dans le gouvernement. La Russie est le seul pays à disposer de cette technologie.
Programmation mentale :
Sous le règne des Nazis en Allemagne, on a financé les recherches pour développer des techniques de contrôle mental.
À partir de ces recherches, les Etats-Unis et l’Angleterre ont développé dans les années 1970 la méthode consistant à utiliser un dispositif de quelques millivolts pour transmettre des ondes de fréquence dans le cerveau afin d’y injecter des pensées et des traits de caractère. Cette méthode de programmation du cerveau crée un résultat comportant des lacunes.
Plus tard, cette technologie a été améliorée pour permettre dans une certaine mesure l’enregistrement de la mémoire, mais le problème des lacunes est resté parce que l’enregistrement en profondeur ou 3D n’était pas encore possible.
Néanmoins la technologie s’est avérée très utile pour les Rockefeller et les Rothschild en termes de programmation mentale des humains. Au cours de la phase d’essai, beaucoup d’humains enlevés sont devenus fous, ont subi des dommages cérébraux, ont perdu le sens de leur identité, etc.
Programmation cérébrale/mentale, contrôle de l'esprit utilisant un casque avec des électrodes attachées dessus.
Bien que les Russes aient été au courant de la technique des millivolts, ils ont suivi une autre méthode en utilisant des ondes lumineuses. Ce qui était requis était une forme spécifique de lumière monochromatique, qui n’était malheureusement pas encore disponible.
Bien que la technologie du clonage ait été bien avancée, le produit fini vivant était inutilisable parce qu’il n’avait pas de mémoire historique à laquelle se référer et les répliques étaient comme des zombies.
Ce n’est qu’en 1947 qu’un physicien d’origine hongroise, le Dr. Dennis Gabor a découvert une manière de créer des photographies tridimensionnelles (cadres statiques) appelées «hologrammes». Pour produire des hologrammes en mouvement, la lumière monochromatique était toujours indisponible, mais tout a changé avec l’invention du laser dans les années 1960. La lumière qu’il produit est monochromatique (ce qui signifie une lumière qui n’a qu’une longueur d’onde) et les techniciens russes se sont mis au travail pour développer un dispositif qui pouvait enregistrer la totalité de la mémoire du cerveau.
Dans les années 1970, les Russes avaient construit un appareil qui était capable d’enregistrer les contenus, une image, un enregistrement complet des modèles neuronaux du cerveau biologique humain en utilisant des ondes de hautes fréquences inaudibles pour créer une image tridimensionnelle du cerveau et la stocker sous une forme stable dans un ordinateur.
Ils ont découvert que le processus de «l’hologramme cérébral ultrasonique» duplique fondamentalement toute la mémoire d’une personne.
Les Russes disposaient maintenant de ce dont ils avaient besoin pour créer des clones de laboratoire fonctionnels qu’ils pouvaient déployer.
Et la même technique est également utilisée pour télécharger la mémoire de quelqu’un d’autre dans une personne différente, dans ce cas un double de laboratoire.
On pouvait également reprogrammer des doubles naturels (sosies) grâce à une copie de la mémoire de quelqu’un d’autre réalisée par l’appareil holographique. Et après la procédure, le double naturel disposait de l’entière base mémorielle de la personne qu’il devait remplacer.
Enregistrement de la mémoire utilisant un flash de lumière,
enregistrement ensuite conservé pour une utilisation ultérieure. Source : film - À l'aube du
sixième jour
Il y a eu un incident où les associés américains des Rothschild ont essayé d’utiliser leurs clones pour pénétrer dans le Kremlin, mais le groupe secret russe a eu vent du plan et a laissé passer les clones, puis il les a reprogrammés, et donc peu importe ce que les Américains avaient prévu de causer comme problèmes à la Russie, cela ne s’est jamais produit. Les associés américains des Rothschild ont été perplexes en essayant de se demander ce qui avait bien pu mal tourner, et pourquoi les clones ne provoquaient pas les dégâts qui étaient prévus.
À suivre dans la 2ème partie.
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