Bonsoir les Léos,
L'expérience de ce jour illustre parfaitement le principe qui veut que le signe du solutionnement d'un problème par l'Esprit est que la solution est toujours au bénéfice de toutes les parties impliquées dans le problème. Il n'y a donc pas de "perdant" à la différence des résolutions égotiques.
Depuis 2 mois, nous avons en pension le chat de l'ex-compagne du fils de mon amie. Tout se passe au mieux sauf que mon beau-fils a une "terreur" à l'idée qu'il puisse arriver malheur à ce chat car son ex-compagne est toujours prompte à se saisir du moindre fait pour le culpabiliser.
Dans le schéma classique de "j'adore mon chat" mais je sais qu'il est mieux chez toi, elle lui a confié la garde de l'animal pendant les vacances. Ce qui, traduit en langage vrai, signifie j'ai plein de choses à faire cet été et le chat n'est pas compris dans le planning !!! Bref, hier, alors que tout allait bien et que nous passions plusieurs jours en compagnie de mon beau-fils et de son fils de 3 ans, je retrouve le chat qui n'avait bizarrement pas réclamé son pâté chéri depuis un moment, planqué dans un coin du jardin, en piteux état, la gueule ouverte, en hyperventilation, et vomissant douloureusement. A ce moment, j'étais seul à la maison avec comme dilemme je fais quoi si le vétérinaire me dit qu'il faut l'euthanasier. Ce n'est pas mon chat et en plus je connais la problématique de mon beau-fils avec son ex. Heureusement au moment de partir, celui-ci rentre opinément et nous nous rendons chez le véto qui nous dit que le pronostic vital est engagé et qu'il faut mettre le chat sous assistance respiratoire pour la nuit.
Sa compagne prévenue, celle-ci fond en larme, lui dit combien elle est éperdue d'amour pour ce chat et en même temps qu'elle n'a pas d'argent pour les frais médicaux. Le problème se corse quand le lendemain, le véto annonce déjà 400 euros de frais rien que pour la nuit et les premiers soins et estime à 10 jours minimum de traitement à la clinique sans être sûr que le chat puisse s'en sortir. La situation est donc claire, c'est vers les 1.500 euros que l'on s'achemine.
Mon beau-fils n'ayant pas plus d'argent que son ex-compagne, il envisage l'euthanasie. Mais problème son ex-compagne est à la plage et visiblement plus joignable. Et là la prédation s'amuse !!! La note monte car les soins continuent en l'absence de décision. Décision qui ne peut être prise, car s'il prend la décision seul, il se verra culpabiliser toute sa vie "c'est le chat chéri de ton fils" "comment as-tu pu l'euthanasier sans m'en parler etc...". Et s'il ne la prend pas, c'est 500 euros qui seront atteints à la fin de la journée et c'est tout ce qu'il a pour son mois pour son fils et lui. A cet instant la situation semble perdu, son ex-compagne restant durablement injoignable, euthanasie inévitable et gros emmerdements à l'issue. Stress chez lui, chez les proches, mais grâce au réseau, j'ai bien conscience de ce qui se passe et du plan bien organisé de soutirage d'énergie en cours par les opérateurs sds qui ont ficelé toute l'affaire aux petits oignons. Il n'y a qu'à laisser mijoter !!!
A ce moment, j'ai le réflexe de confier l'ensemble de la situation à l'Esprit et cette fois je m'entends dire avec une foi totale, "Dieu, je m'adresse à toi et seulement à toi et je te demande de régler cette situation au mieux ".
Dans le quart d'heure, se produit alors un dénouement inédit : l'ex-compagne appelle de son propre chef le véto à qui elle expose son manque d'argent et elle se voit répondre qu'il accepte de garder le chat encore 48 h pour lui permettre d'avoir la force de supporter sa sortie et qu'il lui confiera le traitement d'un mois à faire à la maison. Et il lui fait le tout pour moins de 450 euros. Solution miraculeuse car voilà tout d'un coup le chat échappant à l'euthanasie, le beau-fils à la disette, le petit-fils à la tristesse et la belle-fille mise face à ses responsabilités qui, pour payer a mis dans le coup son nouveau compagnon, et qui ainsi garde son chat en vie.
Moralité, la force de l'Esprit surpasse invariablement tous les plans, même les plus inextricables des opérateurs sds, pour peu que l'on ait conscience de ce qui se joue et que l'on confie la situation dans une foi et un lâcher prise total de nos propres peurs et fausses bonnes solutions et que l'on ne s'abandonne pas à l'émotionnel guerrier du ping pong des projections coupables.
C'est ce que m'a appris cette expérience riche en enseignement où les sds ont cette fois joué le rôle d'instructeur !!!!
En connexion fraternelle, bises à chacun.
Frédéric D. (cénacle dépt.65)
Écrire commentaire
véronique (vendredi, 11 août 2017 08:17)
Et comment va le chat?
Devisscher (mercredi, 16 août 2017 12:40)
Pour Véronique qui pose la question de savoir comment va le chat :
Le chat va bien et se remet doucement de sa participation involontaire ??? et douloureuse à toute cette expérience hautement enseignante !!!!!
Il prend donc des vacances où il est le centre de soins attentionnés. Compensation bien méritée !!!