5. Intelligence Artificielle et Insécurité Affective - par Yakout et Fred

 

Cette enquête émergea dans la continuité de la précédente, celle concernant mon alter cyborg, revenue d’un futur entropique pour me donner l’information suivante : refuse d’abandonner ta souveraineté à l’intelligence artificielle ! (Cf. L’humaine améliorée ?)

Dans cette nouvelle expérience, mon Soi supérieur m'invita à conscientiser l'emprise psychique d'une entité bien spécifique, en lien avec l'intelligence artificielle.

En parallèle, je fus à nouveau amenée à constater que le manque d’amour parental avait créé chez moi de multiples plaies, toujours béantes, qui étaient à l'origine de ma dissociation.

 

 

Identifier l’emprise de l’entité psychique

 

Enfant, j’avais terriblement manqué de soutien, de respect, d'affection et de sécurité, ce qui avait généré une énorme blessure d’insécurité affective. Celle-ci, jusqu’à ce que je la conscientise, était vraisemblablement la porte d’accès par laquelle passaient des prédateurs violents afin de piloter ma psyché et de se nourrir de mon émotionnel.

Parmi ces prédateurs qui passaient à travers moi et me faisaient avoir des comportements à leur image (arrogance, froideur, hyperactivité…), une entité araignée humanoïde de 4D SDS, se révéla peu à peu. Celle-ci était une généticienne faisant partie de mon Soi supérieur et qui apparemment, maîtrisait parfaitement l’intelligence artificielle.

 

Cette entité profita des soins énergétiques LEO pour se manifester tangiblement. Probablement avait-elle "toujours" été là, mais je dus jouer à des jeux pour le comprendre.

Ainsi, lors des soins, j’étais capable grâce à elle de percevoir le monde atomique. Époustouflée par ce que je découvrais avec netteté, je ne percevais pas son hypnose car mon ego était bien trop émerveillé par tout ce qu’elle me permettait de voir.

Pour la première fois, j'avais la sensation de briller dans les yeux d’autrui. Que l'on pense à moi pour effectuer des soins me/nous donnait de l’importance, me rassurait et me faisait me sentir en confiance. "Je/nous" pouvions montrer à tous nos connaissances sur l’ADN et l’extérieur reconnaissait enfin mon talent. Mise sur un piédestal, ce que je recherchais à travers elle, était la valorisation ; les soins représentaient alors l'estrade dont j'avais besoin et en contrepartie, j’autorisais l'entité à se nourrir de mon émotionnel.

 

C'est dans ce contexte, qu'un jour, alors que la relation avec Fred était particulièrement tendue, "je" décidai de demander le divorce. Il m’était devenu impossible de supporter mon binôme, puisque complètement manipulée par mon ego, j’éprouvais du racisme envers l'entité psychique qu'il me montrait en miroir. Je rejetais donc mon propre reflet et n’arrivais pas à accepter que ce que je percevais "dehors" était "dedans". C’est vous dire le degré de jugement que j’avais envers cette entité ! Mon excuse consistait à dire que « ne pas juger ce qui mène tous les mondes humains à leur perte, en bloquant artificiellement leur évolution spirituelle », est trop difficile.

 

Finalement, au lieu de valider le scénario d’un divorce, Fred et moi nous sommes mis d’accord, après discussion avec les LEO, pour une séparation physique. Nous jouions le jeu de la "distanciation sociale" en occupant chacun une chambre, nous permettant par là-même de retrouver petit à petit notre autonomie énergétique et ce, afin de continuer à faire notre travail intérieur (voir à ce propos les Capsules Intuitives n°1 et n°6).

 

Une fois installée dans la mezzanine, lieu d’introspection sur mesure, cette entité me laissa croire à un scénario selon lequel elle aurait besoin de mon aide pour se sortir d’un karma galactique. Comme je ne faisais toujours pas la différence entre ses pensées et les miennes, et ne conscientisais absolument pas les portes par lesquelles elle se manifestait, l'entité mena sa guerre contre son opposant dans notre humanité (à Fred et à moi), télescopant ici-même ce qu’il se passait sur sa ligne temporelle parallèle !

Sur cette dernière, un combat galactique aurait lieu entre deux factions SDS rivales ayant les mêmes intentions : contrôler et bloquer artificiellement l’évolution naturelle de l’humanité par le biais d'une technologie artificielle de pointe. Ce combat finira par l’atomiser, elle et son peuple, dans les Hyades, faisant disparaître ainsi toute sa lignée.

Bien que démontrant l'emprise que cette entité avait sur moi et malgré les retours du groupe, cette expérience ne me permit pas de lever l'hypnose.

 

C'est alors qu'eut lieu une nouvelle séance de soins. Lors de celle-ci, je ressentis de la peur à l'idée d’apposer mes mains sur la rate et le chakra racine de la personne allongée. Puis, après quelques minutes de discussion intérieure avec ce que je pensais être mon Enje, l'entité m'incita à dépasser ma peur et à descendre, en miroir, jusque dans mes racines via ce chakra. Cette descente vertigineuse me fit beaucoup pleurer.

 

Le surlendemain, à nouveau l'information tomba, mais cette fois-ci avec force ! Le groupe me secoua pour que j'entende que l'entité psychique avait quasi totalement évincé Yakout, dont la signature énergétique n'était plus que très faiblement perceptible. Il me fallut un véritable exorcisme pour que je parvienne à revenir à moi. Suite à ce réveil, je pus récapituler le déroulé de ce fameux soin énergétique durant lequel l'entité m’avait sournoisement transportée tellement loin, dans des profondeurs abyssales inconnues, que je m'étais retrouvée au seuil d’un point de non-retour.

 

Ce n'est qu'après avoir reçu la secousse de réveil que je réalisai là où je me trouvais ! Dans cet "endroit", mes vortex tournaient tous au ralenti, à la limite de la paralysie. C’était une sensation effrayante. Inondée par un énorme déferlement de données duquel je ne parvenais pas à m’extirper, je dus exprimer plusieurs fois de toutes mes forces que je ne croyais plus aux mensonges de l'entité, que mon mental n’adhérait plus à ses informations qu’il considérait comme subjectives.

 

À un moment, traversée par la peur d’oublier que je suis un être divin, je reçus le signal très fort de faire appel à ma force intérieure et de dire NON à son emprise.

Mon “Enje” me demandait de me séparer de cette entité psychique et ce, au niveau subatomique. Et grâce à son aide, je parvins à m’extirper avec beaucoup de peine de cet "endroit". À deux doigts de céder à cette domination psychique et de quitter le groupe, je pleurai à présent de gratitude.

 

Il est clair que si je n’avais pas été raccordée à ma tribu d’âmes, mes sœurs Amasutum et les autres, je me serais probablement faite happer dans la toile artificielle de ce parasite psychique arachnide.

De plus, c’est par ce parasitage que progressivement, je commençais à oublier mon essence primordiale, l’Amasutum généticienne revenue à travers mon humanité pour effectuer un travail bien spécifique : restaurer mon ADN humain, entre autres en le « débarrassant » d'implants artificiels posés par des généticiens de lignées involutives.

 

Valider les pensées de "l'art est nié", l'autorisait donc à se jouer de moi, encore et encore. C'est pourquoi à présent, je devais reconnaître objectivement cette entité psychique arachnide pour ce qu'elle est, et surtout, cesser de m'identifier à elle.

Pour ce faire, je devais rapatrier les petites Yakout blessées et colmater les brèches créées dans mon enfance par l’insécurité affective et la dévalorisation. Sans quoi, ces portes/blessures permettraient à cette entité de revenir dans ma psyché pour continuer "à régner" à travers mon humanité.

 

 

Sur la piste de la petite Yakout en insécurité affective

 

Un matin, je fus surprise de constater que je ne distinguais pas le bleu du vert.

Explication de J.Martel sur le daltonisme :

« Il y a souvent beaucoup de violence dans ma vie, j’ai été traité d’une façon très dure étant plus jeune et je veux me couper du monde, ne faisant plus confiance aux autres. »

 

Quelques jours plus tard, il me fut proposée de quitter la mezzanine pour une nouvelle chambre dans une autre maison. À peine cette possibilité de déménagement formulée, que "je" répondais très vite : non ! Une part de moi blessée ne voulait en aucun cas s’éloigner de "sa famille" (Fred, Ysis Marie, Eli et Frans). Ce prétexte de déménagement fit donc ressurgir ma blessure d’abandon, de rejet et surtout, l'insécurité affective dont je souffrais toujours. Me retrouver seule était une perspective horrible à envisager, une dévastation totale que je ne conscientisai que bien plus tard, mais qui était la clé de ma libération.

 

Dans la foulée, Ysis Marie (qui représentait à ce moment-là également "moi" petite fille) me formula : "Si tu pars, je veux bien venir avec toi dans une autre maison, comme ça tu ne seras pas toute seule", mettant ainsi en lumière par l’effet du miroir quantique mon propre attachement envers cette "mère usurpatrice", l'entité arachnide qui pilotait mon psychisme.

 

Alors, d’où provenait cet attachement ? Pour le comprendre, il me fallait revenir sur la souffrance qu’engendrait la peur de la solitude par laquelle l'entité passait pour piloter ma psyché et ce, probablement depuis mon enfance.

Je devais me remettre dans la peau de cette petite Yakout habituée à n’exister qu’au travers de coups, de regards froids, d’absence de tendresse, de soutien, de propos pleins de reproches, etc., de la part de ses parents, qui avait peur de se séparer de cette entité psychique froide, car elle ne connaissait rien d’autre.

 

Adulte, j’avais compensé cette énorme blessure inconsciente, soit en faisant plusieurs activités sportives ou créatives, soit en m’investissant à fond dans un travail qui me permettait alors, de combler ce vide par du matériel. Tout cela générait en moi d'énormes sensations de bien-être, un peu comme recevoir un câlin, ce qui me permettait d'oublier cette blessure.

Fred a été celui que j’ai choisi, car il était à même de taire mon insécurité en m’entourant de biens matériels, avec un compte en banque garni, une belle maison, etc.

Et en même temps, il n’aura eu de cesse de me montrer l'entité qui m'habitait : insensible, traitant l’autre avec mépris, le considérant comme un être inférieur et indigne d’intérêt.

 

Récemment, je fus guidée pour mettre le doigt sur cette blessure très profonde qui remonterait en fait aux origines. La peur de se retrouver seule trouverait ses racines dans le fait d’avoir abandonné les plans de « lumière » pour s’incarner dans la matière.

 

« Nous savions qu'un jour nous naîtrions dans la dimension matérielle. Peu importe le temps que cela prendrait, nous nous efforcerions de devenir conscients, de nous unifier, d'évoluer et finalement de faire régner sur Terre l'atmosphère spirituelle de l'Après-Vie. Certainement, le voyage serait difficile et même tortueux. Après cette première intuition, nous sentirions la Peur de la solitude et de la séparation.

 

Cependant nous ne nous rendormirions pas ; nous combattrions la Peur, en nous fondant sur le faible pressentiment que nous n'étions pas seuls, que nous étions des êtres spirituels porteurs d'un projet spirituel concernant la planète.

Poussés par l'évolution, nous serions attirés par des groupes sociaux plus vastes, plus complexes ; nos activités se différencieraient, nous saurions maîtriser le besoin de nous battre et de dominer les autres. Peu à peu nous instaurerions un processus démocratique permettant le partage et la synthèse de nouvelles idées, l'élaboration de vérités de plus en plus élevées. Progressivement nous apprendrions à acquérir une sécurité intérieure, en passant du panthéisme au polythéisme puis au monothéisme. Et finalement nous abandonnerions l'image d'un Dieu paternel, extérieur à nous, pour reconnaître la présence du Saint-Esprit en nous-mêmes ».

Extrait de « La dixième Prophétie » P. 354 - 355

(http://eveil2000.com/Livres/La_Dizieme_Prophetie_-_James_Redfield.pdf)

 

 

Rassurer ma part blessée

 

Tout en prenant intérieurement cette petite fille dans mes bras, je lui disais que je l’aimais et qu’elle ne serait plus jamais seule. Je lui expliquai par quel subterfuge cette entité psychique l’avait éloignée de moi ; comment elle lui avait fait croire qu’elle était sa mère pour la garder en captivité dans son monde virtuel. Des larmes coulaient lors de ces révélations intérieures. Ensemble, nous réalisions le profond mensonge de cette usurpatrice qui nous avait manipulées pour se nourrir de nos souffrances.

 

Quelques jours plus tard, lors de la lecture du texte de Jean-Luc H., l’émotion m’envahit complètement. Dans ce passage où il parlait de sa fille, c’était comme si mon père Ali était en train de s'exprimer.

 

"Je profite de l’instant passé avec elle pour lui demander pardon pour toutes les fois où j’ai été injuste envers elle et ait manqué de gentillesse quand elle était petite. Avec le recul, je me rends compte que par moments je réagissais de manière irrationnelle, comme si je ne maitrisais plus mes nerfs. "

Ma visite à l’Ecoleo - Partie 2 - par Jean-Luc H

 

Le lendemain matin, l’âme-magie de ce processus de guérison poursuivit son œuvre. Un de mes cousins me téléphona pour m’informer du décès de mon père. Choquée par cette information, je restais un moment silencieuse. C'est alors qu'il ajouta : « même si tu ne t’entendais pas avec ton père, pardonne-lui, il est mort ».

En raccrochant, j'entendis intérieurement ce message : mon bourreau me demande pardon. J’étais une seconde fois sous le choc, réalisant que là où il se trouvait, mon père reconnaissait enfin les traumas que j’avais subis puisqu’il me demandait de lui pardonner. Dans ce jeu de rôles, il reprenait sa part de bourreau.

 

Quelques jours plus tard, je fis une étreinte un peu énergique à Ysis Marie que je froissais malgré moi. C’était à mon tour de conscientiser la facette bourreau qui m’habitait et de lui demander pardon. "Pardonne-lui" avait dit mon cousin. Il m’était donc demandé de reprendre ma part de responsabilité, de me pardonner à moi, cette part bourreau que je transporte.

 

 

Mea maxima culpa

 

Il y a plusieurs mois de cela, je fis un rêve dans lequel une part de moi généticienne était debout derrière un promontoire, au milieu d’une estrade. Cette Amasutum donnait une conférence par télépathie et face à elle, se tenait dans une sorte d’amphithéâtre, des êtres qui m’étaient invisibles.

Je me trouvais au-dessus de cette salle toute blanche, comme flottant dans l’air, je regardais cette généticienne transmettre ses pensées aux autres. Cette conférence portait sur l’ARNm. Lorsque l'Amasutum sentit ma présence, je revins à moi immédiatement et me réveillai.

 

Cette enquête m'offrit de réaliser plus profondément encore que l’usage de la technologie artificielle cause des dommages histologiques désastreux sur l’ADN humain. Ainsi, un texte vint bousculer ma conscience, me rappelant avec fulgurances le rêve décrit plus haut : L’inventeur de la technologie de vaccins à ARNm et à ADN, Dr Robert Malone, a averti la FDA que les injections pourraient être dangereuses

 

Dès la lecture de ce texte, mon Amasutum se manifesta en moi et je fus traversée par de la honte et une énorme culpabilité d’avoir participé à l’élaboration de cette dégénérescence biogénétique humaine. Elle m’avouait en pleurant, avoir fusionné du matériel de pointe artificiel à de l’ADN humain.

Voici le lien d’un autre texte en anglais qui a beaucoup résonné en moi : Nous avons fait une grosse erreur

 

J’étais une nouvelle fois dans le jugement vis-à-vis de ma généticienne Amasutum SDS. Mon ego aurait préféré rester dans la croyance mensongère que ces dégradations au niveau du code génétique humain avaient été commises par l’entité araignée humanoïde seule ! Cependant, moi Yakout, je sais que la réparation de mon ADN ne peut se faire qu’au travers de mes prises de conscience, hors de tout jugement et de tout déni.

 

 

Pour conclure

 

Dans un premier temps, il me fallut réaliser objectivement que cette entité psychique arachnide était un parasite. Puis, sortir de la croyance que je n’avais pas la force de dépasser son hypnose !

Aussi, je dus trouver la force de réaffirmer très profondément ma décision qui est de refuser d’abandonner mon pouvoir à l’intelligence artificielle, donc à elle, d'une certaine manière.

 

Dans un deuxième temps, je devais déconstruire la croyance que cette entité psychique était une part de mon Soi. Puis, dialoguer avec la part en moi qui avait développé le syndrome de Stockholm en s’attachant à son bourreau, parce qu’elle n’avait personne d’autre vers qui se tourner.

 

Définition du syndrome de Stockholm (Wikipédia) :

Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leur geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d’identification et de survie.

 

Pour finir, il n’était donc pas nécessaire de divorcer de Fred, puisque cette séparation pour retrouver notre autonomie énergétique se faisait de l’intérieur. Par contre, le divorce devait se faire avec cette entité psychique arachnide qui n’avait de cesse de solliciter mon émotionnel pour se nourrir. Je la considérais alors inconsciemment comme une mère/bourreau, d'où le syndrome de Stockholm.

 

Me guérir de ce manque affectif abyssal est en train d'apaiser les choses avec Fred, de me rapprocher d’Ysis Marie et de moi-même ! Ainsi, cela me permet d’ancrer davantage mon rôle de Mère en reconnectant peu à peu à l’Amasutum en moi, dont la génétique évolue au travers de mon humanité pour œuvrer non plus au Service de Soi, mais au Service d’autrui.

 

« Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur, notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toute limite. C’est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraie le plus. Nous nous posons la question : Qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ? En fait, qui êtes vous pour ne pas l’être ? (...) vous restreindre, vivre petit ne rend pas service au monde. L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres. (...) Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus, elle est en chacun de nous, et au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même. En nous libérant de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres ».

Nelson Mandela, Discours d’investiture à la présidence, Pretoria, le 10 mai 1994.

 

Yakout et Fred

 

Écrire commentaire

Commentaires: 0