Petit rappel, dans ce chapitre, Laura expose ses interrogations sur la science notamment ses effets sur le monde contemporain. Elle partage également les compréhensions qu’elle tire de l’ouvrage ‘Mondes en collision’ par Immanuel Velikovsky(1), et qu’elle compare ensuite avec les mythes annonciateurs de fin de cycle. « Hormis le fait que la science nous ait apporté de nombreuses avancées techniques, celle-ci n’a pas réussi à remplir la fonction [principale qu’elle s’est elle-même] attribuée, à savoir expliquer ‘l’ordre [et le véritable fonctionnement] de l’univers. » exprime-t-elle.
C’est dans cette atmosphère que Laura tente de nous sensibiliser progressivement au matériel de Velikovsky – matériel qui la passionna mais qui bouleversa grandement le corpus scientifique de l’époque :
Immanuel Velikovsky est né en 1895, et mort en 1979. [I]l était juif, né en Russie ; a étudié à Moscou, et est ressorti diplômé du ‘Medvednikov Gymnasium’ […]. Il a ensuite étudié en France et à Edinburgh. En plus de recevoir un doctorat en médecine, il a étudié l’histoire naturelle, la loi et l’histoire antique. Il a co-fondé ‘Scripta Universitatis’, une compilation de travaux majeurs d’étudiants juifs à travers le monde, auxquels Albert Einstein contribuait régulièrement. Il pratiqua la médecine en Palestine pendant 15 ans, [puis se rendit] à Vienne pour étudier la psychiatrie. […]
Les théories de Velikovsky relatives aux prophéties et aux événements scripturaires sont issues de ses études en psychiatrie. Au cours de ses recherches sur les figures mythiques telles que Moïse, Œdipe et Akhénaton – des personnages figurant au premier plan des écrits de Sigmund Freud – il conçut l’idée que ces contes étaient des récits provenant d’événements réels et qu’en réalité, ils n’étaient ni symboliques ni figuratifs. [Par après,] il se mit à chercher des preuves dans les mythes [et légendes liées] à d’autres cultures.
Étant admirablement prédisposé à cette vaste vue d’ensemble, de par ses formations en histoire naturelle et antique ainsi qu’en psychiatrie, Velikovsky a parcouru [et étudié] l’une des collections de littérature les plus étonnantes, qui n’avait jamais été passée au peigne fin de la sorte, ni même étudiée [ou décryptée par un homme auparavant]. En assemblant toutes les pièces du puzzle, il a écrit ‘Mondes en collision’.
Les conclusions du Dr. Velikovsky, fondées sur [sa] capacité unique à décoder des trames (ainsi que concernant le fait que la physique présente de troublants parallèles avec les anciennes descriptions poétiques et mystiques de la nature), demeuraient inconciliables avec les hypothèses traditionnelles de la communauté scientifique.
Pendant quatre ans, Velikovsky a essayé de se faire entendre dans les cercles scientifiques établis, rencontrant alors un échec total. Ceux qui l’ont soutenu ont souffert de l’ostracisme et ont été mis à l’écart des académies. L’éditeur qui s’était occupé de la publication de son livre a été licencié et, sous la pression de ‘l’ordre scientifique’, les droits d’édition ont été transférés vers un autre éditeur. La communauté scientifique à longtemps et durement travaillé pour discréditer Velikovsky, et ‘L’Encyclopedia Britannica Yearbook’ de 1950 ne mentionne même pas que ‘Mondes en collision’ a été un ‘best-seller’ cette année-là.
Qu’est-ce que Velikovsky a bien pu exprimer pour susciter de telles réactions, [dont] la censure ? Si [l’intelligentsia scientifique] n’était simplement pas d’accord avec [les idées de Velikovsky], pourquoi n’a-t-elle pas mis sur papier ses réfutations pour permettre à [tout le monde d’y avoir accès et de se faire son propre avis,] à travers un forum ouvert ? Pourquoi [l’ordre scientifique établi] s’est-il efforcé de la sorte à faire taire [les informations transmises dans] ce livre ? […]
De par son propre rôle en tant que psychiatre, Dr. Velikovsky a analysé les réactions de la communauté scientifique comme étant similaires aux [comportements de la lutte interne d’une personne dite ‘psychotique’, voire ‘psychopathe’, face à des informations qui se rapprochent d’une vérité.] […] Les théories de Velikovsky sont troublantes pour d’autres raisons également ; elles attaquent nos [illusions et nos] sentiments de sécurité les plus profonds, nos aprioris qui vont à l’encontre du changement. […]
Apparemment, la collision entre la Terre et un autre corps céleste(2) est hors de notre portée – [et repose sur un niveau de compréhension qui dépasse ce qui est communément admis par la pensée cartésienne.] Une pensée telle quelle nous affecte profondément [lorsque nous acceptons véritablement l’information. Mais tant que] nous parlons de ces choses qui ont fort probablement été expérimentées au travers des âges, [en les minimisant ou en les considérant comme étant seulement symbolique, alors nous restons limités.
Dans le monde ordinaire et avec notre mode de pensée duel,] nous ne voulons [que connaître des certitudes, et] ressentir que nos nids douillets reposent bien sur des fondations solides, que le ciel bleu au-dessus de nos têtes n’est qu’un firmament bienveillant.
Par ailleurs, voici ce que Velikovsky explique concernant son propre matériel :
À de nombreuses reprises entre le 15ème et 8ème siècle av. J-C, la Terre a été secouée par des collisions rapprochées avec d’autres corps célestes. Ces effleurements cosmiques causèrent une série de catastrophes qui modifièrent le cours de l’histoire antique.
Une foule d’anciens mythes et légendes donnent des indices concernant ce qu’il s’est passé durant ces catastrophes. D’autres preuves écrites sont contenues dans le Livre de l’Exode de l’Ancien Testament, et également des textes historiques et astronomiques inscrits sur des papyrus, des pierres et des tablettes d’argile.
L’origine de la planète Vénus viendrait d’une violente perturbation de Jupiter. Vénus [doit donc être une planète] extrêmement chaude. L’univers n’est pas un vide peuplé uniquement de corps célestes. [L’univers] serait plutôt traversé par des particules chargées, et déchiré par des champs magnétiques.(3)
D’après les travaux de Velikovksy, Vénus aurait donc intercepté l’orbite de la Terre vers la moitié du 15ème siècle av. J-C(4). Ce n’est que plus tard, en dénichant une traduction du ‘Papyrus d’Ipou-Our(5)’, que Velikovsky parvint à faire des liens flagrants entre ce manuscrit et le récit de l’Exode. Voici donc un tableau(6) repris par Laura et d’autres chercheurs, mettant en parallèle les informations clés de ces deux anciens écrits :
EXODE
7:21 [I]l y eut du sang dans tout le pays d’Égypte.
7:24 Tous les Égyptiens creusèrent aux environs du fleuve, pour trouver de l’eau à boire ; car ils ne pouvaient boire de l’eau du fleuve.
7:21 [Et] le fleuve se corrompit.
9:25 [Et] la grêle frappa aussi toutes les herbes des champs, et brisa tous les arbres des champs.
10:15 [E]t il ne resta aucune verdure aux arbres ni à l’herbe des champs, dans tout le pays d’Égypte.
9:3 [L]a main de l’Éternel sera sur tes troupeaux qui sont dans les champs […] il y aura une mortalité très grande.
9:19 & 9:21 [Mets] en sûreté tes troupeaux et tout ce qui est à toi dans les champs. […] Mais ceux qui ne prirent point à cœur la parole de l’Éternel laissèrent leurs serviteurs et leurs troupeaux dans les champs.
10:22 [E]t il y eut d’épaisses ténèbres dans tout le pays d’Égypte, pendant trois jours.
12:29 Au milieu de la nuit, l’Éternel frappa tous les premiers-nés dans le pays d’Égypte, depuis le premier-né de Pharaon assis sur son trône, jusqu’au premier-né du captif dans sa prison, et jusqu’à tous les premiers-nés des animaux.
12:30 [C]ar il n’y avait point de maison où il n’y eût un mort.
12:30 [I]l y eut de grands cris en Égypte […]
PAPYRUS D’IPOU-OUR
2:5-6 La peste s’est répandue dans le pays. Le sang est partout.
2:10 Les Hommes coulent à cause du goût – les êtres humains ont soif d’eau.
3:10-13 C’est notre eau ! C’est notre bonheur ! Que devons-nous faire à son sujet ? Tout est ruine !
4:14 & 6:1 Les arbres sont détruits. On ne trouve ni fruits, ni herbes […]
6:3 & 5:12 En effet, le grain a péri de tous les côtés. En vérité, ce que l’on voyait hier a péri. La terre est abandonnée et est devenue las, comme la découpe du lin.
5:5 Tous les animaux, leur cœur pleure. Les bovins gémissent.
9:2-3 Voici que le bétail est laissé à l’abandon et il n’y a personne pour le rassembler. Chacun va chercher pour lui-même ceux qui sont marqués de son nom.
9:11 La terre n’est pas lumière […]
5:3, 5:6 & 6:15 En effet, les enfants des princes sont écrasés contre les murs. En vérité, les enfants des princes sont jetés dans les rues.
2:13 Celui qui enterre son frère est partout.
3:14 Des gémissements […] à travers tout le pays, mêlés à des lamentations.
Ainsi, à l’époque de ces catastrophes, les événements décrits dans l’Exode et le ‘Papyrus d’Ipou-Our’ ont été interprétés par les peuples sur Terre comme une grande bataille entre les ‘dieux’ symbolisant la ‘Fin des Temps’. Ils sont inscrits dans de nombreux autres écrits antiques, notamment dans la civilisation Babylonienne, Égyptienne, Perse, Indienne, Chinoise, Brésilienne avec les récits du peuple des Cashinaua(7), aussi appelés ’Vrais Hommes’, ou au Mexique à travers les ‘Annales de Cuauhtitlan(8)’.
Dans la culture Islandaise, Grecque, Indienne, et chez d’autres peuples, « il existe des légendes à propos [des Maruts(9)], de l’ambroisie(10), de la manne(11), de madhu, et de la douce rosée, qui serait tombée des cieux sur la [T]erre. » Selon Velikovsky, ces différents textes traduiraient le phénomène de l’arrivée de Vénus dans l’orbite de la Terre(12).
De plus, ‘The World Almanac and Book of Facts’ de 1972 précise aussi que :
Tout [le] travail [de Velikovsky] recèle des défis envers la science contemporaine, des questions qui demandent à être réexaminées, des tests à être réalisés, … depuis la première publication de ‘Mondes en collision’, la plupart de ces tests ont été réalisés avec des résultats très impressionnants…
Professeur H.H.Hess, ex-président du conseil de l’espace de l’Académie Nationale des Sciences(13), fit remarquer au docteur [Velikovsky] qu’alors que toutes ses prédictions avaient été faites bien avant que des preuves soient apportées, attestant de leur justesse, « Je ne connais aucune prédiction précise que vous ayez faite, et qui s’est avérée fausse depuis. ».
Parmi ces pronostics corrects : la température extrêmement élevée à la surface de Vénus, (en raison de sa naissance récente), le contenu atmosphérique [type hydrocarboné et] hydrocarbure et l’agitation de sa rotation ; la nature électromagnétique des éruptions solaires ; l’existence de la radiation de la ceinture de Van Allen ; un fort magnétisme [qui subsiste après la disparition du champ inducteur] sur la Lune, la preuve de son réchauffement récent, et [concernant ce dernier,] la présence de carbures et d’hydrocarbures aromatiques ; des émissions radio en provenance de Jupiter…
Quelques jours avant sa mort, Einstein apprit que des bruits [radioélectriques] avaient été détectés en provenance de Jupiter, [et] il proposa alors que son influence soit utilisée pour que d’autres expériences soient menées, mais sous le nom de Velikovsky. Albert Einstein est mort avec l’ouvrage de ‘Mondes en collision’ ouvert sur son bureau.
« En 1967, une sonde spatiale Russe, ‘Venera 4(14)’et le ‘Mariner 5(15)’ Américain, atterrirent sur Vénus à quelques heures d’intervalle. ‘Venera 4’ avait été conçue pour permettre à un ensemble d’instruments d’atterrir en douceur sur la surface de la planète, par parachute. La transmission d’informations cessa après 75 minutes environ, lorsque les dispositifs atteignirent une température de plus de 500 degrés Fahrenheit.
Après une polémique considérable, il fut convenu qu’il restait 20 miles à parcourir [pour que les dispositifs spatiaux] atteignent la surface. La sonde spatiale américaine, ‘Mariner 5’, avança vers le côté obscur de Vénus à une distance d’approximativement 6,000 miles. Une fois de plus, elle ne détecta aucun champ magnétique significatif, mais ses signaux radio furent réceptionnés sur Terre en passant par l’atmosphère de Vénus, à deux reprises – la première du côté obscur, la seconde du côté clair.
Les résultats sont surprenants. L’atmosphère de Vénus n’est pratiquement constituée que de dioxyde de carbone et exerce une pression à la surface de la planète, 100 fois supérieure à celle d’une pression atmosphérique normale sur la Terre, au niveau de la mer. Puisque la Terre et Vénus ont plus ou moins la même taille, et qu’elles ont vraisemblablement été formées au même moment par le même processus général, à partir du même ‘mélange’ d’éléments chimiques, nous sommes alors confrontés à la question suivante : quelle planète a une histoire étrange et inhabituelle – la Terre ou Vénus ? »
Enfin, Laura termine cette partie de son exposé avec les informations suivantes :
Des dizaines de sondes spatiales et de robots ont été envoyés sur Vénus, par la Russie et les États-Unis. Nous savons maintenant que les nuages de Vénus ne sont pas de la vapeur d’eau, mais des gouttelettes d’acide sulfurique. [Ces nuages] sont violents, [et sont à l’origine] d’orages, de tonnerre, d’éclairs, et déversent une pluie perpétuelle d’acide. L’air en dessous de la couche nuageuse est presque entièrement composé de dioxyde de carbone. [Cet air] est tellement dense que la pression atmosphérique à la surface de Vénus est la même que celle qui existe à 3,000 pieds sous l’océan Atlantique.
Les nuages sont si épais que [les rayons de] la lumière du Soleil ne touchent jamais le sol ; Vénus est sombre même à midi. Il fait si chaud qu’il serait possible de faire fondre du plomb à sa surface ; les pluies acides provenant des nuages montent à ébullition, se transforment en vapeur et remontent bien avant d’atteindre le désert. La nuit, les roches peuvent briller d’un rouge terne. Pour moi, cela ressemble beaucoup à l’Enfer !
Lorsque les sondes spatiales ont révélé ce brasier, les planétologues en sont restés bouches bée, car les nuages vénusiens renvoient 98 % [des rayons de] la lumière du Soleil dans l’espace, et seulement 2 % [de ces rayons] sont filtrés en aval. Cela me semblait étrange qu’un pourcentage de 2 % [des émanations des rayons] de la lumière du Soleil suffisent à maintenir un monde entier à une température plus élevée que celle d’un four. [D’ordinaire, j’aurais plutôt] pensé que la planète avait une température fraîche [et basse].
Certes, Vénus est plus proche du Soleil que [la Terre], mais pas suffisamment pour pouvoir expliquer sa température. Même Mercure, la planète la plus proche du Soleil, ne possède pas une température aussi élevée que celle de Vénus.
Dans un premier temps, certains scientifiques ont pensé que la réponse à ce problème pouvait se trouver dans la rotation de Vénus. Vénus met 243 jours terrestres pour effectuer une rotation complète. La direction de sa rotation est également inhabituelle : sur Vénus, le Soleil se lève à l’ouest et se couche à l’est. Curieusement, la haute atmosphère de Vénus tourbillonne autour de la planète à plus de 200 miles par heure.
Carl Sagan(16) a suggéré que le dioxyde de carbone piègerait les 2 % de lumière, [émit par] les radiations solaires, et les y maintiendrait.
Ce qui précède est l’opinion scientifique actuelle concernant l’énigme de Vénus. Aucune mention n’est faite des théories du Dr. Velikovsky, bien qu’il ait prédit, il y a [maintenant] plus de 40 ans, que c’était probablement l’état de l’Étoile du Matin(17). Il convient également de noter que Carl Sagan est l’un des principaux opposants aux théories de Velikovsky, et qu’il a lui-même prédit que les lunes de Mars étaient des satellites construits intelligemment. Voilà concernant ses capacités de prédiction !
Bien que la théorie de Sagan sur la température extrêmement élevée de Vénus n’ait, à ma connaissance, pas encore été testée, je trouve qu’il est difficile de croire que 2 % de la chaleur [émise par les rayons] du Soleil, même dans une serre extrêmement performante, puisse être responsable de températures atteignant 900 degrés, en particulier lorsque la planète en question a une face dans l’obscurité pendant les deux tiers d’une année.
Dans les traductions qui suivront, nous continuerons d’aborder le travail de Velikovsky, et comme le souligne Laura : « Quelle a été la série d'événements décrits par le Dr. Velikovsky, et comment est-il parvenu à des conclusions aussi étonnamment précises, si longtemps en avance de l'establishment scientifique ? »
1) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Immanuel_Velikovsky
2) Voir à ce sujet ‘L’Onde, Tome 7 – Presque Humains’ – Ch. Introduction
3) Traduction non officielle et de notre fait d’après la version de 1950 de ‘Mondes en collision’, par Immanuel Velikovsky
4) Voir à ce sujet : https://www.aeronomie.be/fr/encyclopedie/venus-rotation-retrograde-periode-orbitale
5) Voir à ce sujet : https://questcequelaverite.com/larcheologie-atteste-telle-les-dix-plaies-degypte-du-recit-de-lexode/
6) Voir à ce sujet : https://www.info-bible.org/histoire/archeologie/papyrus-ipuwer.htm
7) Utiliser le traducteur www.deepl.com/translator pour lire l’article suivant : https://pib.socioambiental.org/en/Povo:Huni_Kuin_(Kaxinaw%C3%A1)
8) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Codex_Chimalpopoca
9) Voir à ce sujet : https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-16-juillet-2009.47539/ & https://www.cosmovisions.com/$Maruts.htm
10) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ambroisie_(mythologie)
11) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Manne
12) Voir ce qu’expliquent les Cassiopéens à ce sujet : https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-5-octobre-1994.45850/ ; https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-30-septembre-1994.45843/ & https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-22-juillet-1994.45836/
13) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acad%C3%A9mie_nationale_des_sciences
14) Voir à ce sujet : https://fr-academic.com/dic.nsf/frwiki/1699780
15) Voir à ce sujet : https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Mariner-5.html
16) Voir à ce sujet : https://www.futura-sciences.com/sciences/personnalites/astronomie-carl-sagan-816/
17) Dans la mythologie grecque, ‘l’Étoile du Matin’ est une référence à la planète Vénus.
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