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Bonjour les Léo,
C’est un sujet que je souhaite partager avec vous et qui consiste à parler de l’importance d’être en accord avec les désirs de son âme.
Ce message est basé sur mes propres expériences. Etre soi, c’est être en accord avec les désirs de son âme.
Il m’a fallu longtemps pour comprendre qu’être soi ou soi-même était essentiel pour être bien dans sa peau.
Personne dans mon relationnel (famille, amis, éducation scolaire) ne m’a jamais dit qu’il était essentiel de suivre les profondes aspirations de mon âme, qu’il fallait que je fasse ce que j’aime au plus profond de moi mais beaucoup m’avaient conseillé ou m’avaient fait comprendre à demi-mots ce qui pourrait rapporter, ce qui était estimable, rentable, valorisant.
Ces attitudes sont considérées comme plus que normales dans cette matrice SDS et je vis dans un monde SDS. Je ne critique plus cet aspect des choses ou ces personnes parce qu’elles ont été conditionnées elles-mêmes comme moi par leurs parents, par l’éducation et par leurs alter prédateurs. Je comprends donc ces attitudes et j’ai dû avoir les mêmes vis-à-vis de mes enfants.
Il est donc inutile de reprocher quoi que ce soit aux autres pour la bonne raison qu’ils vivent dans une matrice 3D gérée par les entités hyper-dimensionnelles SDS qui manipulent leurs psychismes à outrance du fait qu’ils n’en ont aucunement conscience.
Ce que j’ai compris, c’est que je devais apprendre à ressentir par moi-même, à penser par moi-même, à me mettre en harmonie avec les désirs de mon âme. Lorsque je m’harmonise avec mon âme ou mon soi supérieur, je me sens de suite mieux, plus léger, plus heureux, plus compréhensif, plus sage, plus joyeux, mieux dans ma peau. Ce sont des signes ou des signaux que je dois apprendre à écouter parce que cela agit sur mon état vibratoire, sur mon moral.
C’est pourtant essentiel d’être cela, d’écouter son corps, ses signes. Personne ne me l’apprendra dans cette matrice SDS, c’est à moi de le découvrir, de le ressentir. Je dirais que cela fait partie du béaba de la connaissance de soi.
Je me rends compte que toutes mes reconnexions sont grandement favorisées lorsque je m’immerge dans la nature, dans les bois, dans la montagne. J’améliore ma connexion à l’instant présent. Pour d’autres, cela peut-être aussi des activités en mer ou autre chose et peut-être que d’autres n’en ressentent pas le besoin.
Je ne me sens jamais seul dans la nature, je ne m’ennuie jamais, je m’y sens bien et bien plus en sécurité que partout ailleurs. La nature est bienveillante, vivante avec ses multiples formes de vies qui nous reconnectent à la vérité et à l’authenticité.
Pourquoi n’ai-je pas compris plus tôt que mes anciennes dépressions chroniques étaient en partie liées au fait que je n’osais pas m’affirmer, être moi-même, être en accord avec mes profondes aspirations ?
Pourtant, dans ma jeunesse, j’ai souvent changé de métiers, de relationnels que je ne supportais plus mais je n’avais pas suffisamment identifié que mon problème venait d’un manque d’affirmation de mes véritables aspirations intérieures et aussi du parasitage de mes alter prédateur.
J’ai donc continué à travailler dans un bureau une trentaine d’années alors que cela me pesait énormément parce que je devais assumer mes obligations familiales, parce que si, parce que ça.
Je pense donc que l’on doit faire ce que l’on a vraiment envie de faire au plus profond de soi et non absolument tout faire, même ce qui nous dérange sous prétexte que l’on doit tout connaître.
Il est cependant important de s’informer de tout en allant à la quête de la connaissance à l’aide de sa profonde intuition sans en être émotionnellement perturbé. Cela ne veut pas dire qu’il faille s’immerger et vivre dans une situation si notre âme ne s’y sent pas bien.
Exemple :
Dans cette vie, je n’ai pas envie d’être un CRS parce cela ne correspond pas aux désirs de mon âme ou de cette fractale d’âme creuset qui m’anime. Cela ne veut pas dire que je ne sois pas un CRS dans une autre fractale de mon âme dans une vie parallèle. Ainsi, je sais maintenant que j’ai un alter scientifique, un autre, enseignant et que je n’ai exercé aucun de ces deux métiers dans ma vie présente.
Je pense que le rôle de nos fractales d’âmes est justement de tout expérimenter dans cette densité et d’autres densités mais qu’il est essentiel d’être en accord avec les désirs d’une fractale d’âme donnée, par exemple exercer mes talents de manuels dans cette vie et ne pas exercer un travail de bureaucrate sous prétexte qu’il faille absolument tout expérimenter ou connaître dans cette vie.
Je ne dois cependant pas me fermer à toute expérimentation mais être ouvert à cela et c’est mon âme qui en exprimera le besoin.
Mon petit ego saboteur peut me fermer à certaines expérimentations alors que mon âme serait ouverte à cela. Je dois donc bien faire la différence.
Exemple :
Quelqu’un de xénophobe s’interdira d’aller au Maroc alors que son âme aimerait y séjourner.
Je dois donc me reconnecter à mon âme, à mes profondes intuitions et écouter ce qu’elles ont à me dire.
C’est comme cela que l’on arrive à être mieux dans sa peau et plus heureux.
Si j’exerce un métier et que je me rends compte que ce que je fais est contraire à mes valeurs profondes, aux aspirations de mon âme, alors, je dois interrompre cette activité. Sinon, je me sentirais très mal dans ma peau, très mal à l’aise si j’occulte ce que me dit mon âme. Je ne serais pas heureux, je ne serais pas dans de bonnes énergies parce que frustré, agacé, honteux. Je ne serais pas en accord avec moi-même. C’est à mon avis cela vendre son "Âme au diable".
Lorsque je suis parti en préretraite à 57 ans, j’ai senti une véritable libération, un mieux-être, un mieux-vivre. Je ne m’y attendais même pas. Certains m’avaient dits que c’était éprouvant de se retrouver à la retraite, que l’on pouvait devenir dépressif.
J’ai anticipé mon départ à la retraite parce que j’avais en 2006 le pressentiment que ça allait devenir compliqué dans l’avenir. Les évènements par la suite m’ont confirmé que j’avais eu raison de partir à temps.
Dès le premier mois de retraite, j’ai ressenti une grande libération et cela m’a été très bénéfique par la suite. Déjà, je n’avais plus ce harcèlement téléphonique de la sous-traitance et de ma hiérarchie. J’étais toujours prisonnier des exigences contradictoires des uns et des autres. Un stress consécutif au respect des délais, de la qualité des produits et des dépenses.
Quel bonheur que de ne plus entendre la sonnerie du téléphone. J’avais fini par haïr les coups de téléphone durant un temps. Je n’ai jamais voulu de téléphone portable mais il m’arrive d’emprunter celui de ma compagne lorsque je me déplace en voiture. Cela peut être effectivement utile mais ce n’est qu’un outil comme le reste et l’important est de savoir utiliser cet outil sans devenir esclave de ce dernier.
Quand je travaillais comme bureaucrate, je sentais ce besoin de faire des travaux manuels à la sortie de mon travail pour m’équilibrer, parce que j’en avais besoin. Je bricolais le soir et le week-end mais c’était un plaisir et non une corvée.
Mon manque de confiance en moi, ma timidité durant longtemps, mes peurs multiples ont fait que je n’ai pas su m’affirmer vis-à-vis des autres. Je n’osais pas le faire et lorsque je le faisais, je rentrais dans l’agressivité, dans de fortes colères, je regrettais par la suite d’avoir déstabilisé l’entourage et je retombais dans une sorte de soumission.
Je suis un manuel dans l’âme dans cette vie et j’ai pourtant été un bureaucrate durant 30 ans. Moi, qui n’aimais pas la paperasse, j’ai été servi.
A ma retraite, j’ai pu commencer à être en accord avec les désirs de mon âme, faire ce que j’aimais, bricoler, être créatif. Ce que je vais vous dire, ce n’est pas pour me vanter parce que j’ai heureusement dépassé pas mal ce stade de reconnaissance de soi mais pour parler des possibilités incroyables ou cachées que nous avons en nous. Le secret, c’est être en accord avec les désirs de son âme. Etre soi !
J’ai rénové deux maisons et j’ai à mon actif une vingtaine d’aptitudes sur des métiers manuels différents que j’ai exercés pour mes rénovations sans jamais en avoir appris un seul dans cette vie. Je suis un peu comme Jénaël ou l’équipe Léo mais j’ai remarqué que pas mal de gens touchaient un peu à tout. Je suis loin d’être une exception.
Ce que j’ai remarqué, c’est que lorsque je réalisais quelque chose que j’aimais faire, non seulement, les aptitudes affluaient pour ce faire mais j’avais de l’énergie à revendre, je n’étais jamais fatigué, j’étais très bien dans ma peau, dans un instant présent et heureux sans en avoir conscience sur le moment. Ce n’était plus un travail qui mes rendait prisonnier, contraignant, c’était, je cherche un mot de remplacement au mot travail, c’était comme une œuvre ou un ouvrage que je réalisais avec grand plaisir.
En 2011, j’ai fait mon assainissement et j’ai remué à la pelle et mes biscotos plus de 100 tonnes de matériaux en trois mois et chose incroyable, il me manquait presque 1/3 de mon sang d’après le docteur suite à une hémorragie dans l’estomac, étant sous anticoagulant. Je ne l’ai su qu’après les travaux et mes analyses de sang le confirment. Hématies inférieures à 3,4 millions/mm³.
Pourtant sous un soleil ardent, 8 heures par jour, je ne ressentais aucune fatigue durant ces trois mois. Mais alors, d’où venait mon énergie ?
Lorsque je travaillais au bureau, j’étais toujours fatigué le soir, mal de tête, aux cervicales, fatigue nerveuse, stressé, mal dans ma peau, tendu, agressif, vidé de mes énergies. Pourquoi ?
Parce que je faisais un travail qui n’était pas en accord avec les désirs de mon âme. Je ne vois pas d’autres explications.
Autrement dit, il ne faut jamais forcer ou inciter un jeune homme comme moi à l’époque à faire ce qu’il n’a pas envie de faire comme travailler dans un bureau ou forcer un adolescent à faire des études s’il n’en a aucune envie.
Certains pourraient peut-être penser que ce que j’écris ci-après est dicté par la prédation mais j’affirme qu’il est essentiel d’être en accord avec son âme ou son soi supérieur.
Lorsque l’on est soi, on est en harmonie avec son âme, on est bien plus heureux, plus léger, mieux dans sa peau donc dans un niveau vibratoire plus élevé.
Euh ! Bizarre, ce que j’écris ne semble pas être dans l’intérêt de la prédation. Ce ne doit pas être un alter prédateur qui me souffle cela.
La prédation hyperdimensionnelle transitant par le biais d’un enseignement judéo-chrétien ou New-Age dont n’ont pas conscience les fidèles à ces enseignements dirait autre chose. Mon alter prédateur me dirait au contraire : Il faut souffrir pour être belle, il faut travailler dur ! Il faut te sacrifier, être charitable, bon, serviable, aider ton prochain coûte que coûte, donner ta chemise, être amour et lumière si tu veux être spirituel. Ainsi nous alimentons cette blessure de culpabilité et cette notion du péché.
Les enseignements judéo-chrétiens et New-Age se gardent bien de nous dire que nous sommes dans une matrice 3D SDS géré par des entités hyper-dimensionnelles SDS qui manipulent notre psyché et se nourrissent de ces énergies de culpabilité et de dévotion.
Ils se gardent bien de nous dire que nous devons préserver notre énergie vitale parce qu’elle est essentielle pour réaliser un réel travail spirituel.
Cette énergie vitale est par exemple mise à rude épreuve dans un relationnel SDS inconscient de la prédation et de tout travail spirituel. Ces derniers nous pompent notre énergie vitale inconsciemment.
J’ai dans ma famille une personne qui vit dans ses corps de souffrances et qui n’arrête pas de se plaindre. Au début, j’étais dans un état compassionnel, j’étais à l’écoute et je me sentais de plus en plus mal à l’aise. J’avais envie de m’asseoir. Je me vidais de mon énergie. Lorsqu’elle me téléphone, c’est pire encore. Après l’échange, je suis obligé de m’allonger. Imaginez deux à trois personnes autour de vous de cet acabit et il ne vous reste plus beaucoup d’énergie vitale ni de temps pour méditer à la fin de la journée et pour faire un réel travail spirituel.
Ce n’est que mon avis mais je pense que beaucoup de gens se trompent. Ils pensent avoir suffisamment d’amour pour se préserver de toute vampirisation d’énergie d’un relationnel SDS inconscient de la prédation et de vouloir les transformer mais je pense qu’ils s’illusionnent.
L’amour inconditionnel ne peut surgir qu’à la fin et pas au début.
Je veux dire que l’amour inconditionnel est la résultante d’un profond travail spirituel sur soi et n’existe pas au début d’un cheminement spirituel.
Nous avons une génétique SDS (couche primaire du cerveau reptilien et patrimoine génétique reptilien), une psyché parasitée à 95% par la prédation hyperdimensionnelle SDS, des programmes quasiment SDS et nous vivons dans une matrice 3D SDS.
Même doté du Kiristos, il me paraît impossible de générer cet amour inconditionnel au départ et même après dans mes relations.
L’amour humain est conditionnel et ce n’est pas l’amour véritable. Je crois absolument en l’amour inconditionnel mais ce dernier ne peut émerger qu’après avoir réalisé un profond travail spirituel conséquent avec nos alter et leurs unifications, travail sur nos boucles karmiques, sur la déprogrammation de nos programmes SDS, de nos croyances/illusions et sur la neutralisation de nos schémas duels. Survient l’acceptation, cet état d’équilibre et cet amour inconditionnel mais à mon avis, cet amour inconditionnel ne peut se manifester que hors de cette matrice 3D SDS, sur la nouvelle Terre par exemple.
Les faits confirment malheureusement que malgré le grand nombre de personnes amour et lumière depuis quelques décennies, il n’y a pas d’amour sur cette planète hormis l’amour humain conditionnel, circonscris, mais qui n’est en rien le véritable amour.
Je peux me tromper mais je dirais qu’un vrai cheminement spirituel commence par une mise en accord avec les désirs de son âme.
Citation : (Dialogue N°21).
« …L'amour étant un état d'équilibre vibratoire, il ne peut être réalisé dans votre dimension, que si votre ADN est déprogrammé de son karma et revenu à la vibration au point zéro. Ce jeu karmique a été nécessaire pour enraciner l'Amour au plus profond de la matière… ».
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Vyninho (mardi, 22 janvier 2019 17:31)
Merci François !
Toujours et toujours, tout est leçon !