Albert Einstein(1) a dit :
La plus belle chose que nous puissions expérimenter est le ‘Mystérieux’. C’est la source de tout véritable art et science.
Dans ce chapitre, Laura expose ses interrogations sur la science dont ses effets sur le monde contemporain. Elle partage également les compréhensions qu’elle tire de l’ouvrage ‘Mondes en collision’(2) par Immanuel Velikovsky(3), et qu’elle compare ensuite avec les mythes annonciateurs de fin de cycle. « Hormis le fait que la science nous ait apporté de nombreuses avancées techniques, celle-ci n’a pas réussi à remplir la fonction [principale qu’elle s’est elle-même] attribuée, à savoir expliquer ‘l’ordre [et le véritable fonctionnement] de l’univers. » exprime-t-elle.
Pour illustrer ses propos, Laura commence alors son exposé par l’histoire suivante :
Il fut un temps, un éminent scientifique dirigeait une recherche et les grenouilles représentaient son sujet d’étude. Les grenouilles étaient conditionnées pour sauter sur commande.
C’est alors que le scientifique coupa une jambe à chacune des grenouilles. Il leur ordonna ensuite de sauter, ce qu’elles firent avec difficulté. Par après, il leur sectionna une autre jambe et leur commanda de bondir. Elles eurent encore plus de mal à effectuer cela. Ces résultats étaient notés dans [son] journal de bord. Le chercheur amputa ensuite une autre patte à chacune des grenouilles et leur ordonna encore une fois de sauter. Avec énormément de peine, les pauvres créatures parvinrent à effectuer un mouvement latéral.
Étant impitoyable, le scientifique mutila enfin le dernier membre de chacune des grenouilles et leur donna l’ordre de faire un bond. Elles restèrent au sol, haletant et clignant des yeux – incapables de bouger – mais ne bondirent pas, peu importe à quel point il leur hurlait dessus. Il nota tout cela dans son carnet de recherches.
Quelque temps plus tard, le savant présenta les résultats de ses [‘fabuleuses’] expériences à ses collègues. Devant un auditorium bondé, il commença sa thèse de la sorte : « Pour moi, il est clairement évident que le fait d’amputer la patte d’une grenouille lui génère une profonde surdité. »
En parallèle, voici ce que David Wallechinsky(4), fils du réalisateur Irving Wallace, explique-lui aussi sur les dérives de la science et ses impacts dans son ouvrage ‘The People’s Almanac Vol.2’ :
Scientisme(5) : Le mot ‘science’ vient du mot latin ‘sciens’ qui signifie ‘savoir’. Les adeptes du scientisme sont appelés ‘scientistes’, un terme qui fut d’abord utilisé par William Whewell(6) en 1840. L’étude de la science a débuté en tant que loisir parmi les intellectuels grecs. Pendant des siècles, ceux qui acquéraient un savoir scientifique le gardaient secret ; et bien que cette pratique soit moins répandue de nos jours, il y a encore beaucoup de scientistes qui croient que leur savoir serait utilisé à mauvais escient s’il était partagé à des non-initiés. D’une petite secte, le scientisme s’est imposé jusqu’au sommet de la ‘respectabilité’ [et de l’aristocratie], et ses principes basiques sont enseignés à de jeunes étudiants partout à travers le monde.
Les scientistes croient que l’ordre de l’univers peut être déterminé systématiquement par des études et analyses. Ils croient que leur vérité est la seule véritable voie et que les autres voies ne sont que de ‘simples superstitions’.
Au fils des âges, le scientisme s’est divisé, à peu de choses près, en 1200 sectes ou ‘domaines’, chacun d’entre eux possédant leurs propres textes sacrés. On estime que la communauté scientifique mondiale compte de 3 millions de membres, bien que son nombre de croyants [- adeptes] est bien plus conséquent.
C’est ainsi que Laura exprime son point de vue sur les recherches savantes et les informations mensongères souvent propagées par certains acteurs scientifiques, œuvrant pour le ‘progrès’ constant de la science :
Il n’y a jamais eu, et il n’existera jamais une ‘pénurie’ de ces ‘autorités’ qui nous fournissent des explications rationnelles [, souvent absurdes et mensongères,] aux phénomènes qui nous entourent, [et qui nous dépassent] !
Tout ceci renvoya Laura quelques années auparavant, lorsqu’elle fit l’acquisition d’un livre sur les civilisations perdues. En s’interrogeant sur la nature des tragédies qui avaient pu frapper ces gigantesques anciens centres culturels puis, en constatant la quantité d’interprétations vaseuses véhiculées à ce sujet, elle se rendit compte que l’hypothèse principale diffusée par la science était que ces peuples d’antan avaient été expulsés par la force, ou avaient tout bonnement migré ailleurs. Une ‘autorité mondiale’ semblait effectivement vouloir dissimuler la diffusion d’une grande quantité d’informations !
De nos jours, la plupart des gens n’ont que connaissance de l’Âge d’Or de la Grèce qui mena à l’Empire Romain et à l’avènement des âges sombres, en passant par l’époque médiévale. Mais « [d]e Grandes civilisations encore plus anciennes que ces dernières ont supposément existé. […] De nombreuses civilisations ‘perdues’ ont simplement disparu en ne laissant aucune trace – et il n’existe [que très peu de véritables] traditions, connaissances ou indices [qui permettraient de savoir] qui elles étaient, et comment elles vivaient. »
Par ailleurs, une information spécifique relayée dans le journal ‘Scientific American’ du 5 Juin 1852 – revue s’intéressant notamment aux existences et technologies dites ‘extraterrestres’ et ‘extranéennes’, marqua fortement Laura. Cette information vint entre autres apporter des confirmations sur les liens qu’elle tentait d’établir entre les anciennes civilisations et l’utilisation de certaines technologies poussées, déjà à des époques antédiluviennes :
Lors des opérations minières en 1851 à Dorchester, dans le Massachusetts, des explosions ont éjecté un récipient en forme de cloche qui était coincé sous des strates de roche solide. Il était constitué d’un métal inconnu et était décoré avec des incrustations florales en argent.(7) [Cet objet a été nommé le ‘Dorchester Pot’, et est estimé à plus de 100,000 ans.]
Le ‘Dorchester Pot’, déterré en 1851 à Dorchester
Aussi, d’autres fouilles archéologiques ont permis de découvrir par exemple « une dent humaine enfouie dans du charbon, estimée à plus de 10 millions d’années ; des empreintes de pieds humains chaussés fossilisés dans la roche, estimées entre 300 et 600 millions d’années(8) ; des squelettes d’humains ‘apparemment’ modernes découverts dans des formations rocheuses, estimés à au moins 100 millions d’années ; et ainsi de suite. Des outils, des squelettes, des artefacts – ont été trouvés en nombre suffisamment important pour permettre à de sérieuses questions d’être soulevées quant au cadre théorique et étroit de la science ! La manière la plus simple – la plus courante – dont la communauté scientifique appréhende ces anomalies, est de les rejeter en les faisant passer pour des blagues ou des escroqueries. [Et pour un esprit cartésien, le simple fait de s’ouvrir à] ces découvertes et informations représenterait déjà [un énorme travail], plutôt que de [passer son temps à rechercher] une énième théorie-explication-philosophie concernant [l’ordre et le fonctionnement de notre] univers. »
Ainsi, toujours dans le même contexte, dans sa quête d’informations, Laura explique :
J’ai essayé d’imaginer à quoi ressembleraient les structures de nos civilisations actuelles après qu’elles eurent été abandonnées depuis des centaines de milliers d’années. Je dus admettre que nous n’avons pas créé un environnement très riche [et ‘nourrissant’ pour nos successeurs]. Le fait de pouvoir laisser des vestiges aussi somptueux que par le passé à nos futurs archéologues représente effectivement une perspective infime ! Et le fait de supposer que [ceux] qui bâtirent ces centres métropolitains si sophistiqués étaient [des peuples] incultes et primitifs, voire arriérés par rapport à notre [société contemporaine] – [notamment d’une manière déjà inexacte en comparant nos technologies actuelles] avec les leurs, semble être le comble d’une vanité absurde.
Donc, lorsque les savants se sont rendu compte qu’ils étaient capables de décoder quelques traces écrites provenant de certaines civilisations antiques, ils ont ensuite interprété [que ces anciennes consciences étaient imprégnées] d’un état d’esprit primitif, simplement parce que ces peuples d’un passé lointain décrivaient leurs réalités en des termes différents des nôtres.
Dans de nombreux cas, quand des données astronomiques étaient examinées et que certaines anomalies furent relevées, il était immédiatement interprété que les [A]nciens possédaient des connaissances incomplètes. Et lorsque d’autres documents furent sanctifiés, alors considérés comme des ‘écritures sacrées’, il fut automatiquement conclu que leur langage n’était que ‘figuratif’ ou ‘symbolique’. […]
Néanmoins, cet ouvrage [sur les anciennes civilisations] éveilla en moi une grande soif d’informations, en lien avec les ‘anomalies’. Les ‘anomalies’ sont pour moi des choses qui ne rentrent pas dans le moule des explications scientifiques ou de ce qui est accepté [d’ordinaire] ; [celles-ci] sont généralement écartées par les grands prêtres [et savants] de la science qui considèrent [ces nouvelles informations] comme fortement suspectes, parfois même hallucinatoires ou frauduleuses.
Laura poursuit donc sur les ‘anomalies’ et définit ce que ces dernières représentent pour elle :
Les ‘anomalies’ sont très souvent découvertes ou expérimentées par des personnes ordinaires, honnêtes, [sensibles,] qui ne souffrent que du ridicule et de harcèlement, à cause de leur nature [basée] sur la recherche d’authenticité. […] La plupart du temps, les individus impliqués [et engagés dans ce genre de quête] ont vu leurs vies anéanties et leur crédibilité détruite, [notamment] par des campagnes scientifiques ‘diffamatoires’. […] Malheureusement, ce qui est ‘obsolète’ [erroné et faux] laisse sa place uniquement à l’issu de grandes luttes et sacrifices.
[Par exemple,] l’Église Catholique força Galilée(9) à se rétracter puis, [l’Église Catholique] a brûlé d’autres personnes sur le bûcher, ce qui est une preuve [irréfutable] de cette [I]llusion, si chèrement entretenue [dans notre monde]. Mais éventuellement, en dépit de la persécution et la répression, la [V]érité émerge petit à petit, dans quelques endroits [du globe].
Enfin, pour conclure cette première partie de ce chapitre basé sur la recherche d’informations, de vérités et sur l’ouverture de chaque individu à de nouvelles données, Laura précise « que la survie à cet holocauste cosmique est possible seulement pour ceux qui [travaillent pour reconstruire leur] ‘Noe’ – la conscience [- Connaissance] – [car ces personnes pourront alors] prendre conscience de l’imminence des évènements [à l’échelle de l’univers en lien étroit avec l’humain,] et se préparer physiquement, mentalement, et spirituellement en conséquence. »
1) Voir à ce sujet : https://www.linternaute.fr/science/biographies/1777964-albert-einstein-biographie-courte-dates-citations/
2) Voir à ce sujet la partie n°2 du chapitre n°2
3) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Immanuel_Velikovsky
4) Voir à ce sujet : https://stringfixer.com/fr/AllGov.com
5) Voir à ce sujet : https://www.toupie.org/Dictionnaire/Scientisme.htm
6) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/William_Whewell & https://www.cosmovisions.com/Academies.htm
7) Voir à ce sujet : https://irna.fr/OOPArt-Le-vase-de-Dorchester.html
8) Voir à ce sujet notamment ‘Les Chroniques du Ğírkù Tome n°1 - Le Secret des Étoiles Sombres’ - L’Introduction des Chroniques – La bataille du passé p.15 et p.19, par Anton Parks
9) Voir à ce sujet : https://www.futura-sciences.com/sciences/personnalites/astronomie-galilee-220/
Écrire commentaire