6. Résumé de “The Noah Syndrome” de Laura Knight-Jadczyk, ch.2 – 4ème partie

 

Pour rappel, dans ce chapitre, Laura expose ses interrogations sur la science, notamment ses effets sur le monde contemporain. Elle partage également les compréhensions qu’elle tire de l’ouvrage ‘Mondes en collision’ par Immanuel Velikovsky(1), et qu’elle compare ensuite avec les mythes annonciateurs de fin de cycle. “Hormis le fait que la science nous ait apporté de nombreuses avancées techniques, celle-ci n’a pas réussi à remplir la fonction [principale qu’elle s’est elle-même] attribuée, à savoir expliquer ‘l’ordre [et le véritable fonctionnement] de l’univers.” exprime-t-elle.

 

Une des principales méthodes pour dater des échantillons de roches (météorites, débris de comètes, rocs fossilisés, glaciers ensevelis, etc.) consiste à mesurer en laboratoire, la désintégration radioactive d’éléments chimiques en fusion(2). Lorsque le taux de décomposition des roches est connu, il serait alors soi-disant possible de définir de façon précise l’âge des différents matériaux et éléments. Cependant, ces types d’analyses techniquement savantes demeurent des études mathématiques qui ne relèvent en grande partie, que du domaine théorique.

 

Pourquoi ? Quantité de problématiques émergent de ces analyses scientifiques, principalement celle de ne pas détenir de données claires concernant la totalité des autres organes impliqués dans ces chocs naturels et, tout particulièrement, les multiples formes de vie engagées qui seraient entrées en interaction avec l’objet en question, lors de la collision ou de l’impact.

 

Aussi, la science moderne réduit son raisonnement quasi invariablement à la formule linéaire suivante : ‘x en fonction de y’, ou ‘y en fonction de x’. Et même depuis l’arrivée et la popularisation de la physique quantique, il est encore rare d’avoir l’opportunité d’affirmer concrètement et de mettre en lumière la réalité des mondes multiples ou du multivers(3), d’exposer les phénomènes d’imbrications temporelles d’espace-temps ou de temps-espace ; ces derniers, constamment fluctuants, étant par ailleurs intrinsèquement liés à la multidimensionnalité de l’être humain.

 

En effet, la science contemporaine a principalement été fondée sur un ensemble de croyances et de principes ancestraux qui remonteraient aux origines suméro-babyloniennes, eux-mêmes imprimés dans l’inconscient collectif, contrôlés et ayant été transmis par des forces prédatrices imperceptibles aux sens limités de l’homme. Ceci, dans le but que l’être humain reste avant tout dans l’oubli de sa capacité d’auto-guérison, cette dernière contenue dans la connaissance de sa véritable identité.

 

Par ailleurs, les mémoires de l’âme ne recèleraient-elles pas tout ce que l’homme a oublié ? Entre autres, les mémoires représenteraient les impacts mémoriels des erreurs passées et/ou futures qui font, ont fait, ou feront partie de l’expérimentation de l’évolution de l’âme d’un individu ! En faisant l’effort et le choix de se rappeler, l’être humain développerait ainsi le pouvoir profond de changer irrévocablement le cours de sa vie.

 

Il y a des millions d’années, les dinosaures se sont éteints. Ils ne sont donc plus actuellement présents physiquement dans notre monde. Cependant, d’autres formes reptiliennes ne seraient-elles pas toujours présentes, tellement proches de notre psyché, que l’humain lui-même l’aurait oublié ? Alors, qui étaient les dinosaures et les grands reptiles ? Pourquoi tant de fascination et de peurs à leur sujet ?

 

Robert T. Bakker(4), paléontologue américain, spécialiste des dinosaures a exprimé :

 

Que ce soit au cours du 19ème ou du 20ème siècle, personne n’a jamais élaboré un cas convaincant prouvant que, dans leur ensemble, les dinosaures ressemblaient plutôt à des crocodiles reptiliens qu’à des oiseaux au sang-chaud. […]

Par conséquent, des théories sur les dinosaures qui ont plus d’une centaine d’années continuent d’exister sans qu’elles soient remise en question. [B]ien trop souvent, nous présumons que [ces dernières] sont totalement correctes. [Et] même lorsque de telles théories se révèlent comme possédant tout un tas d’erreurs, [la société, la masse pensante, ‘on’, met toutes ces nouvelles informations de côté, les classant alors comme sans importance, sans se demander ‘pourquoi’] […]

L’extinction soudaine des dinosaures est un des sujets les plus popularisés en paléontologie. Pour quelle raison, malgré tout, est-ce que les dernières dynasties [de dinosaures] se sont-elles finalement éteintes à travers une extinction totale ? […]

[E]n réalité, l’histoire des dinosaures contient un drame qui va bien plus loin que de simples morts. [Les dinosaures] ont souffert de trois voire quatre catastrophes majeures durant leur longue prédominance, chacune d’entre elles faisant [peu à peu] diminuer les rangs du clan entier de [ces grands reptiles]. Et à la suite de chacune de ces chutes, [les dinosaures] ont reconquis leur ‘fortune évolutive’, puis se sont relevés afin d’occuper le système terrestre mais cette fois-ci, par une autre vague de nouvelles espèces et familles d’espèces. [Étrangement, des familles royales, de hautes lignées ancestrales de ‘sang bleu’ sur Terre, semblent avoir le même comportement].

[Pour en revenir aux dinosaures], leur extermination complète et finale est seulement apparue il y a six millions d’années. C’est ce que les géologistes aiment effectivement nommer ‘l’Extinction Permien-Trias’, [un des plus grands désastres évolutionnaires] de tous les temps. […]

Par notre vision [linéaire et chronologique] de l’évolution, nous [oublions de] prendre en compte les coups [ainsi que les impacts] profondément désorientants, portés par l’environnement [et ses cataclysmes naturels], lors des extinctions mondiales.(5)

 

Depuis la nuit des temps, la science aime perpétuer la croyance que l’Homme est le produit d’une évolution lente et ordonnée, et que son espérance de vie actuelle de soixante ans minimum représenterait un progrès phénoménal. Puisque, selon l’histoire passée enregistrée, celle-ci nous indiquerait qu’à d’autres périodes, alors que des conditions plus hostiles prévalaient, l’Homme avait soi-disant une durée de vie bien plus réduite. Mais est-ce véritablement le cas ?

Comme Laura le souligne au début de ce résumé, la problématique principale de ces théories savantes est que celles-ci ne reposent que sur des analyses, des chiffres, des évaluations, des inventaires et des statistiques, qui ne permettent pas à certaines informations primordiales pour la conscience de l’être humain, d’émerger.

 

En effet, Amanda Ruggeri, journaliste-enquêtrice, soulignait “la confusion entre espérance de vie et durée de vie. Contrairement à une croyance bien ancrée dans l’imaginaire collectif, les gens ne décédaient pas tous à 30 ans avant l’arrivée de la médecine moderne. Civilisation et progrès n’ont eu aucun impact sur la durée de vie d’Homo Sapiens en tant qu’espèce ; il y a toujours eu des anciens, tant dans les cultures civilisées que chez les cultures non-civilisées(6).”

 

Par ailleurs, toutes ces différentes mesures scientifiques s’inscrivent dans et pourvoient de plus en plus au monde de l’Intelligence Artificielle, c’est-à-dire le monde inhumain futur qui s’en vient pour celui qui n’aura pas fait le choix de reprendre sa force entre ses mains.

 

Au cours de ses recherches, Laura fait également remarquer :

 

Ne pouvons-nous pas supposer qu’une réorganisation fondamentale des choses aurait pu sensiblement changer les conditions de manière préjudiciable dans le passé ? Évidemment, de nombreuses créatures qui ne pourraient désormais plus vivre sur la Terre, y ont vécu. Ainsi, lorsque les ‘anciens’ ont affirmé vivre jusqu’à 100 ans, devons-nous supposer qu’ils n’avaient pas la même conception du temps tel que nous le connaissons de nos jours ? À cet égard, certaines observations sur les dinosaures sont pertinentes.

Des dinosaures ont été trouvés – notamment des vestiges dans des terrains remplis d’os – qui étaient constitués d’omoplates de 3,30 mètres. L’imposant Brachiosaure, un herbivore, pouvait aller jusqu’à une quinzaine de mètres de haut et pesait probablement une centaine de tonnes. [Compte tenu de sa taille et de son volume], comment pouvait-il se nourrir ?

[Pour avoir un ordre de grandeur,] une centaine de tonnes représente à peu près quinze fois le poids d’un éléphant de la savane africaine – un animal qui consomme entre 150 et 300 kilogrammes de fourrage toutes les 24 heures, et qui passe quasiment 18 heures par jour à se nourrir ! Il semble totalement irréel [voire inexplicable et impossible], d’imaginer ce ‘Super-Dinausurus’ se nourrir lui-même [sans aucun problème].

[Les conditions climatiques n’étant pas les mêmes qu’aujourd’hui], si un Brachiosaure avait le sang-chaud comme un éléphant, il aurait été incapable de trouver assez de nourriture pour se maintenir en vie. Et même en supposant que [le Brachiosaure] ait été un animal à sang-froid, des doutes subsistent lorsque nous constatons le fait que cette créature gargantuesque aurait difficilement pu se nourrir, compte tenu de sa minuscule mâchoire et de dents ridiculement petites.

La science orthodoxe nous a affirmé que les dinosaures étaient des échecs – des échecs colossaux. Une litanie d’interdits et de contraintes existent à leur sujet. [Par exemple,] ils ne pouvaient pas marcher dans des zones boueuses car ils étaient trop lourds. Ils ne pouvaient rien manger d’autres que des aliments broyés car leur boîte crânienne était trop petite. Ils ne pouvaient pas courir vite car les joints de leurs membres étaient irréguliers. [Manifestement,] ils ne pouvaient pas être de sang-chaud car leurs cerveaux étaient bien trop petits. [Ainsi,] ils n’auraient pas pu rivaliser avec d’autres animaux au sang-chaud, plus petits qu’eux.

Pourtant, quand les dinosaures ont commencé à émerger en tant que groupe dominant, de nombreux autres types d’animaux avaient une opportunité égale de dominer. Pendant 5 millions d’années, les dinosaures étaient sur un pied d’égalité avec les autres habitants de l’écosystème. Mais, par la suite, les dinosaures ont démontré qu’ils étaient les plus forts et ont survécu dans une domination absolue du globe. Au cours de leur règne, il n’existait aucun être ‘non-dinosaure’ plus grand qu’une dinde. Les dinosaures ont monopolisé la planète pendant 130 millions d’années. Alors qu’ils se répandaient dans toutes les zones de dominance, ils ont chassé et/ou ont détruits des clans très avancés qui évoluaient et s’adaptaient depuis des dizaines de millions d’années.

Pendant leur long règne, d’autres clans étaient menaçants – cependant, à chaque fois, les dinosaures montrèrent qu’ils étaient les ‘plus forts’, ‘qu’ils étaient les premiers et les plus grands avec la plupart des autres races’, en termes de vigueur d’adaptation.

La classe des mammifères semblait bien définie, précisément au moment où les dinosaures commencèrent leur expansion. Mais, évidemment, être un mammifère était une situation à risque à cette période ! Les dinosaures évoluaient rapidement, changèrent à plusieurs reprises, et maintinrent leur domination jusqu’à ce qu’un évènement terrible mette fin à leur règne de manière abrupte.(7)

 

Représentation d’un squelette de Brachiosaure ou ‘Brachiosaurus’

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Ainsi, au travers des âges, de nombreuses théories darwiniennes ont continuellement essayé d’expliquer ces informations par la pensée chronologique linéaire qui, lorsqu’elles sont examinées de plus près, présentent tout un tas d’anomalies et de contradictions. En effet, les explications de ces théories de la science moderne sont vaines, car bien trop de zones d’ombres, des questions sans réponses, demeurent toujours. “Ne pourrions-nous pas envisager que la Terre était un endroit différent, [possédait un environnement méconnaissable pour nous aujourd’hui, et qu’elle était constituée autrement, notamment au niveau de son atmosphère et de sa gravité,] au moment où les dinosaures [ont existé] ?” soumet Laura.

 

De plus, Robert T. Bakker précise :

Toute tentative d’analyse des évènements concernant l’extinction des dinosaures rencontre des difficultés fondamentales qui viennent entraver l’enquête de tous ces extinctions massives d’espèces. La plupart des os fossilisés doivent leur préservation à un enfouissement rapide par les sédiments juste après la mort de leur ‘hôte’. Mais généralement, la plupart des endroits de la biosphère terrestre subissent une érosion, et non un dépôt.(8)

 

Par ailleurs, de nombreuses trouvailles prouvent que l’homme existait déjà, depuis la nuit des temps, aux côtés de grands reptiles. Les figurines d’Acambaro tout comme ‘l’empreinte de Meister’ sont des vestiges de cette cohabitation. ‘L’empreinte de Meister’ “pourrait s’apparenter à la plus vieille empreinte jamais retrouvée, [et] fut découverte en Juin 1968 par William J. Meister, un collectionneur-amateur de fossiles. Si l’empreinte est bien ce qu’elle semble être – une impression d’un pied humain portant une sandale écrasant un trilobite – celle-ci aurait dû avoir été faite il y a 300 voire 600 millions d’années, et représenterait une preuve largement suffisante soit pour bouleverser toutes les idées conventionnellement acceptées de l’évolution humaine et géologique, soit pour prouver qu’un bipède portant des chaussures alors venu d’un autre monde, est un jour venu visiter cette planète.”

 

Une des figurines d’Acambaro découverte dans la région du Mont du Toro en Juillet 1944.

Trilobite fossilisé dans une roche.


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Voici ce qui est relaté concernant la découverte de William Meister(9) :

[William] Meister a fait sa potentielle trouvaille déroutante lors d’une expédition consacrée à une chasse aux fossiles et aux rochers à Antelope Spring, à 69 kilomètres à l’ouest de Delta, en Utah. Il était accompagné de sa femme et de ses deux filles. Le groupe avait déjà découvert plusieurs fossiles de trilobites lorsque Meister ouvrit une plaque de roche de 5 centimètres d’épaisseur avec son marteau et découvrit l’empreinte effarante. Le rocher tomba, s’ouvrit en deux ‘comme un livre’, révélant alors : “d’un côté, l’empreinte d’un humain avec des trilobites coincés à l’intérieur même de l’empreinte. L’autre moitié de la roche révéla un moule quasiment parfait de l’empreinte et des fossiles. De façon extraordinaire, l’humain [en question] portait une sandale !”(10)

 

 ‘The Meister print’, en français ‘L’empreinte de Meister’,

découverte en 1968 à Antelope Springs, en Utah.

Images libres de droits et gratuites mises à disposition par https://pixabay.com et www.wikipedia.com

 

 

D’ailleurs, Laura précise que les “trilobites étaient de petits [êtres] invertébrés marins – relatifs aux crabes et aux crevettes – qui ont prospéré pendant 320 millions d’années avant de s’éteindre il y a 280 millions d’années. La plupart du temps, [inexactement], nous pensons que les humains ont émergé il y a seulement 1 ou 2 millions d’années et que cela ne fait que quelques milliers d’années qu’ils portent de véritables chaussures à leurs pieds.

 

En outre, suite à sa découverte, William Meister dut se confronter à l’ordre scientifique établi :

Meister présenta le rocher à Melvin Cook, un professeur de métallurgie à l’Université d’Utah, qui lui conseilla de montrer le spécimen aux géologistes de l’université. Lorsque Meister, [décrédibilisé], finit par se rendre compte qu’il n’existait aucun géologiste prêt à examiner l’empreinte, il se rendit au bureau d’un journal local. […]

Le curateur du Musée des Sciences de la Terre de l’Université d’Utah, James Madsen, lui dit en riant : “Il n’existait aucun homme il y a 600 millions d’années. Il n’existait pas non plus de singes, d’ours ou de paresseux terrestres capables de laisser des traces pseudo-humaines. Quelle forme-humanoïde aurait bien pu se promener sur cette planète avant même que les vertébrés n’évoluent ?! […]

 

Le 20 Juillet 1968, le site de Antelope String fut examiné par le Dr. Clifford Burdick, un géologiste consultant de Tuscon, en Arizona, qui trouva rapidement l’empreinte d’un enfant sous une couche de schiste.(11)

 

‘The Burdick Print’, en français, ‘L’empreinte de Burdick’

également découverte en 1968 à Antelope Springs, en Utah.

Images libres de droits et gratuites mises à disposition par http://paleo.cc/paluxy/wilker6.htm

 

 

Quantité d’autres trouvailles encore plus mystérieuses ont été découvertes(12) mais elles ont, pour la plupart, évidemment été mises de côté par l’ordre scientifique établi sous couvert d’explications approximatives et vaseuses.

 

Par exemple, “Le rocher dans lequel les empreintes ont été trouvées a été détruit par des vandales… Certains des ossements ont été envoyés au Musée d’Investigation Américain à Philadelphie, où il semble alors qu’ils aient [mystérieusement] disparu… [Les ossements] ont été perdus dans une inondation… La momie a disparu… Le professeur n’a jamais rendu public aucun des résultats de ses tests; il a tout simplement quitté son poste pour un nouveau, dans un autre état du pays…, etc.” Laura conclut cette partie de son exposé en précisant qu’il est “clairement évident que les experts ont une tendance à rejeter les trouvailles désagréables pour eux et leurs systèmes de croyances, plutôt que d’admettre que la grenouille ne peut pas sauter parce qu’elle n’a plus de jambes(13).”

 

Même dans la Bible et d’autres écrits religieux de cultures différentes, il est mentionné que “[d]es géants étaient sur la Terre en ces temps-là”. Alors, si d’autres formes de vies, d’autres espèces humanoïdes adaptées à différentes conditions gravitationnelles, atmosphériques, climatiques et météorologiques avaient pu exister dès ces temps-là, pourquoi sommes-nous aujourd’hui, en ces temps de grands bouleversements ; ne serait-ce pas pour une mission bien précise ? Le monde, a-t-il réellement changé comparé à avant ; ou est-ce que le monde de maintenant n’est qu’une réplique de celui d’auparavant ? “Peut-être tenons-nous tout juste le coup actuellement, dans un environnement hostile qui rapidement, devient plus hostile chaque jour, [et qui nous pousse donc, aujourd’hui, à changer].

 

Ainsi, pourquoi donc est-ce que Velikovsky et son matériel ont-ils tant bouleversé le corpus scientifique de l’époque ?

 

Au début du XXème siècle, les informations de Velikovsky étaient révolutionnaires car elles allaient complètement à l’encontre des idées du corpus scientifique établi. Velikovsky avait compris que les phénomènes cosmiques étaient intrinsèquement associés à la vie humaine sur la Terre. Et même si ses recherches semblent aujourd’hui particulièrement détaillées scientifiquement, il ne faut pas oublier qu’il fut l’un des premiers, à son époque, à mettre en lien les phénomènes anthropocosmiques avec l’existence possible de formes de vie venues d’ailleurs, d’un passé ou d’un futur.

 

S’étant intéressé de près à la planète Vénus, née de la planète Jupiter, et à un contact possible avec la Terre il y a des milliers d’années, Velikovsky affirme que la Terre aurait alors pu “être éjectée de son orbite et projetée dans une nouvelle boucle orbitale. […] Ces accidents cosmiques ont causé des tremblements de terre, des tsunamis, des éruptions volcaniques, des ouragans mondiaux ainsi que l’émergence et l’immersion de grandes zones terrestres, des changements soudains dans l’orientation polaire de même que l’ébullition des mers du globe, mais aussi le voilage de la Terre par les poussières cométaires et les produits incendiaires des volcans. Suite à ces évènements, la Terre fut alors plongée dans les ténèbres pendant 40 ans [ce qui a très souvent été repris de façon symbolique dans des mythes, des légendes et de nombreux écrits religieux], puis, d’autres périodes obscures amenèrent le réchauffement climatique rapide qui détruisit de nombreuses espèces de plantes et d’animaux. Le réchauffement excessif de zones océaniques mena notamment à la destruction de nombreux animaux marins.

 

Ceci pourrait également expliquer la formation de montagnes, de canyons inhérents à certaines catastrophes naturelles comme les inondations, possiblement à l’origine des sillons dans le Parc National des Badlands, en Dakota du Sud, ou le Bryce Canyon dans le Sud-Ouest de l’Utah aux États-Unis par exemple(14).

 

 À gauche, le ‘Bryce Canyon’ en Utah,

à droite, le Parc National des Badlands en Dakota du Sud.

Images libres de droits et gratuites mises à disposition par www.wikipedia.com & www.wikimedia.org

 

 

Enfin, Laura exprime :

[Par ses recherches et son matériel], Velikovsky a décrit de façon très précise les mécanismes des interactions extraterrestres. […] Durant ces contacts, des décharges massives de potentiels électriques entre la Terre et une comète, ainsi qu’entre une comète et sa queue, ont apporté des altérations considérables dans l’atmosphère de la Terre et également des altérations possibles dans sa structure atomique. Ces manifestations cosmiques ont laissé une empreinte indélébile sur les habitants dolents de la Terre […], au fil des âges, elles ont continué à être remémorées à travers des chants, des mythes et des légendes.

Alors que la comète approchait de la Terre, l’attraction gravitationnelle entre la comète et la Terre aurait maintenu les mers du globe suspendues puisque la rotation de l’orbite de la Terre fut ralentie. Une énorme décharge d’électricité brisa l’attraction et les mers retombèrent, s’ensuivit un gigantesque déluge de rochers et de débris en provenance de la queue de la comète. Velikovsky suppose que tout ceci arriva à la période de l’Exode, [relatée dans la Bible] […]

Lorsque cette théorie est pleinement prise en considération dans toutes ses ramifications, cette théorie explique alors de nombreux problèmes que la science ne parvient absolument pas à élucider. Elle permettrait également de pouvoir expliquer la disparition de nombreuses cultures de la Terre, porteuses de mystères […] [C]ela modifierait aussi de façon radicale la chronologie et la datation de la Terre […], puisque nous ne pouvons pas être certains des changements quantiques qui ont pu se produire lors de décharges électriques massives ou d’autres forces inconnues. Cette théorie [dont l’inversion des pôles terrestres et le changement de l’orientation magnétique de la Terre] expliquerait pourquoi les anciens possédaient des cartes différentes du système solaire et de ses corps célestes […]

À chaque fois que les planètes ont interagi entre elles, des changements se sont manifestés dans l’axe orbitale, la vélocité orbitale, la position axiale, l’atmosphère de la Terre, etc. Ces évènements ont été consignés comme étant les ‘changements des temps et des saisons’, un ‘nouveau’ paradis et une nouvelle Terre, ‘le Jour du Seigneur’.

Ainsi, si nous nous ouvrons à l’hypothèse de Velikovsky sur les interactions périodiques possibles entre les corps célestes et le système solaire – ou même des corps ou des sources d’énergies en provenance des profondeurs du cosmos – en termes de portées et de potentiels, nous élargissons alors notre tâche de pouvoir expliquer l’ordre de l’univers. Cela ne veut pas dire que cette théorie résout toutes les problématiques, mais elle fonctionne certainement de façon beaucoup plus ouverte que les concepts actuels promulgués par l’uniformitarisme. Comme Dr. Velikovsky l’a soulevé, quantité d’analyses doivent être élaborées et effectuées afin de déterminer les opérations de plusieurs aspects de cette idée.

Et cela ne signifie pas que nous devons être entièrement convaincus de l’exacte chronologie telle que décrite par Velikovsky, mais je pense qu’il est très important de considérer son analyse puisqu’elle entre en relation avec des termes et des concepts concernant l’ordre de l’univers et le sens profond de la vie. Ces concepts sont inextricablement connectés entre eux, car pour connaître notre passé nous devons apprendre à faire des conjectures avec notre futur. Et connaître notre futur, c’est être capable de déterminer notre quête profonde au sens cosmique.

 

Et pour ceux qui souhaitent aller plus loin dans la compréhension des informations partagées par Velikovsky, voici certaines transcriptions dans lesquelles les Cassiopéens développent des points clés de son matériel :

 

1994 :

- 22 Juillet 1994 : https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-22-juillet-1994.45836/ 

- 30 Septembre 1994 : https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-30-septembre-1994.45843/ 

- 5 Octobre 1994 : https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-5-octobre-1994.45850/ 

- 16 Octobre 1994 : https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-16-octobre-1994.45862/

 

1998 : (Cette traduction est disponible en anglais seulement. Toutefois, il est possible de la traduire avec www.deepl.com/translator par exemple.)

- 4 Juillet 1998 : https://cassiopaea.org/forum/threads/session-4-july-1998.27026/#post-327994

 

2012 :

- 4 Mars 2012 : https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-4-mars-2012.46786/

 

 

Notes :  

 

1) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Immanuel_Velikovsky

2) Voir à ce sujet : https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/geologie-geologie-voyage-temps-681/page/4/

3) Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Multivers

4) Voir à ce sujet : https://atelieremploi.fr/wiki/Robert_T._Bakker

 

5) Extrait de ‘The Dinosaur Heresies’ – ‘Les Hérésies des Dinosaures’ par Robert T. Bakker (New York : William Morrow and Co. , 1986)

 

6) Voir à ce sujet ‘L’allongement de la durée de vie ou la fiction du progrès’ par Amanda Ruggeri (Version originale anglaise : ‘Do we really live longer than our ancestors ?’)

 

7) Pour approfondir le sujet voir dans les ‘Les Chroniques du Girkù : Le Livre de Nuréa Tome 0’ par Anton Parks :

1- ‘L’Introduction aux Chroniques du Ğírkù’ - 4ème partie p.59 dans ‘Le Langage des Étoiles et le Code Secret des Anciens “Dieux”’,

2- p.173 dans le chapitre ‘Ğírkù-Tìla Nuréa / Min-ME-Dili’,

3- p.187 dans le chapitre ‘Ğírkù-Tìla Nuréa / Min-ME-Min’,

4- note de bas de page n°103 dans le chapitre ‘Ğírkù-Tìla Nuréa / Min-ME-Limmu’

 

8) Extrait de ‘The Dinosaur Heresies’ – ‘Les Hérésies des Dinosaures’ par Robert T. Bakker (New York : William Morrow and Co. , 1986)

 

9) Voir à ce sujet : https://medjouel.com/y-a-millions-dannees-homme-porte-chaussures-a-marche-trilobite/

 

10) Extrait de ‘Mysteries of the Unexplained’ – ‘Les Mystères de l’Inexpliqué’ par Reader’s Digest (p.37 - 1985)

 

11) Ibid.

 

12) Voir à ce sujet : https://passionsetpartage.clicforum.fr/t1306-Paleontologie-Empreintes-mysterieuses.htm - Avec le traducteur www.deepl.com/translator par exemple, voir : https://www.bible.ca/tracks/burdick-track.htm

 

13) Voir à ce sujet le résumé de la première partie du ch.2 de ‘The Noah Syndrome’, dans lequel Laura raconte le conte du ‘Savant et de la grenouille’.

 

14) Voir à ce sujet :
https://factum-info.net/fr/interesnoe/puteshestviya/965-inoplanetnye-mesta-nashej-planety-chast-8 & https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_des_Badlands & https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_de_Bryce_Canyon

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