Bonjour,
Je viens de regarder votre dernier reportage « à l’heure de l’Italie » qui a brassé un peu mais qui m’a ramenée aux mémoires d’un cataclysme. Lequel je ne sais.
Votre troisième vidéo montre cet Abgal pris dans la roche.
C’est exactement ce qui s’est passé pour certains d’entre nous et que je perçois ici : 2 êtres mêlés l’un dans l’autre. Au moment d’un cataclysme, il est possible que différentes dimensions fusionnent. Par conséquent, les canaux des différents êtres en présence fusionnent aussi. Peut-être qu’au moment d’un grand séisme et si l’on se trouve dans une autre dimension en lien avec un autre être, alors les deux sont affectés en même temps. Je ne sais pas quelle est la taille de la tête de cet Abgal ci-dessous sortant de l’œil de cet humain à la bouche ouverte. Si l’Abgal est de bonne dimension alors l’humain pourrait être un géant.
Je me suis revue de très grande taille en éthérique avec un bandeau autour du front précisément dans votre région, alors que je participais à une marche méditative. Dans les livres de la médium Chrystia Sylf qui relate les temps avant les temps, les grands hommes au bandeau étaient des récolteurs d’œufs de dwongos (animaux du fond des âge) sur un sol dangereux dû à des plantes ultra toxiques. Or plus jeune j’avais un passe-temps favori : modeler des œufs en terre (je devais bien passer pour une dingue !).
J’ai revécu également en Auvergne le moment où mon corps avait été pris par un souffle si violent que je n’ai pas eu le temps de m’en rendre compte. J’ai vu mon corps en position horizontal rouler sur lui-même, projeté dans l’espace et comme réduit en cendres (peut-être en autre chose : décomposition de la matière ?) à l’instant même. Pas le temps de souffrir !
Si vous venez en Auvergne (j’écris toujours Auvergene et puis corrige), il y a un lieu qui m’a été transmis par Jacques Gérard Vésone dans son ouvrage « Arrêt du moteur de souffrance » (page 288), lieu d’un ancien temple atlante. Quand j’ai su où cela se trouvait j’ai écrit à monsieur Vésone pour lui demander ce qu’il en était. Il m’a répondu que ce lieu est particulier car les 4 éléments air, eau, terre, feu y sont en équilibre. Connaissant ce lieu depuis mon enfance, je m’y suis rendue. Un vent fort et tourbillonnant ne prédisposait pas à allumer une bougie que j’avais prévue instinctivement. Malgré tout, je n’ai pas résisté à l’allumer. Et surprise elle resta immobile, le feu comme lié à mon cœur, faisait revenir et se superposer à ma physicalité un autre corps, éthérique celui-là. Un moment de bonheur.
Vous nous amenez sur le terrain du son ce qui m’intéresse grandement surtout lorsque vous le relier à l’énergie noire. Effectivement, elle est très importante pour la création à travers l’Humain. Grâce à elle nous pouvons écrire des livres, dessiner, peindre, danser, correspondre télépathiquement, chanter pour aider à des autoguérisons. Il y a plus de 2 ans, j’ai rencontré une thérapeute éthiopienne. Elle avait remarqué dans ma famille un problème concernant l’alcool. Or ma cousine germaine en était dépendante. Prise de compassion je me suis demandée comment faire pour la résolution de ce problème qui évidemment me concernait. La nuit qui a suivi l’info de la thérapeute, j’ai pu voir un Stonehenge dans lequel s’étaient regroupées des personnes. Nous étions debout en cercle comme en méditation et chacun était là pour quelqu’un d’autre. Ma cousine était dans le cercle non loin de moi. Alors je me suis mise à chanter ma cousine et j’insiste : pas à chanter pour ma cousine (si vous avez vu le film Amazonia un futur petit chaman chante sa mère de substitution pour qu’elle devienne ce qu’elle est, il lui dit : « je te chante »).
Je vais aussi vous parler d’Ayad Hayet et de l’expérience que j’ai eue à distance avec elle. Je l’ai capté la première fois qu’elle s’est présentée sur le site « le grand Changement ». J’ai de suite été subjuguée par ses sons qui me rappelaient mon enfance dans laquelle, de temps en temps, j’aimais faire le son qu’elle-même a capté et qui l’a amenée à faire ses thérapies. J’étais souvent malade et lorsque je me retrouvais seule chez mes parents je chantais, ça m’aidait.
J’ai donc écouté Ayad, ressenti que l’énergie de son son montait jusqu’à un degré de lumière, probablement le haut astral. Waouh sur le moment ! (coucou le prédateur). J’ai cru que cela
avait décapé dans un de mes corps éthériques un gros paquet de « crasses », ça l’avait littéralement explosé ! ILLUSION !
Le jour suivant le gros paquet gris me retombait dessus comme un énorme ballon gonflé d’eau ! Voilà une unième leçon : tout ce qui vient de l’extérieur ne peut avoir
d’impact réel pour une libération ! C’est ce qu’avait compris Bruno Gröning à la fin de sa vie : après avoir fait des miracles, il comprit l’importance de l’autoguérison. C’est la
même chose pour la PMT bien sûr avec ce qu’il y a à découvrir derrière. Je me doutais bien de quelque chose. Encore merci de me remettre sur la piste du prédateur.
Doris
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