Les recherches de T. C. Lethbridge sont extrêmement intéressantes. Vous trouverez une étude très approfondie sur ce blog. Par ailleurs, Laura Knight-Jadczyk a écrit dans l’Histoire secrète du Monde (p.390 sqq) :
" La Technologie de la Pierre et T.C. Lethbridge "
Pour en revenir à nos pierres et à notre envie de savoir s’il existe l’une ou l’autre indication que celles-ci impliquaient une quelconque technologie, notons tout d’abord que l’archéologue T.C. Lethbridge ayant placé un jour une main sur une de ces pierres, éprouva une forte sensation de picotement, comme un choc électrique, et la grande et lourde pierre parut s’ébranler violemment.
De nombreuses autres personnes ont ressenti un choc lorsqu’elles ont placé leurs mains sur certaines pierres, et des photographies ont, à l’occasion, montré d’inexplicables rayonnements lumineux
émanant de ces pierres.
L’examen montre que sur beaucoup de ces mégalithes sont gravés des “coupes et des anneaux”: des cercles concentriques et des “couloirs” ou sillons. La première impression devant ces dessins est
qu’ils représentent des circuits imprimés tels qu’utilisés dans les ordinateurs.
Dans le mythe grec il est dit que les murs de Thèbes avaient été construits grâce à l’habileté d’un musicien nommé Amphion et au son de sa lyre. Il jouait de la lyre d’une manière telle que les
pierres se déplaçaient.
Le mythe phénicien parle du dieu Ouranos qui faisait bouger les pierres comme si elles avaient une vie propre. Voilà l’une des nombreuses traditions dans le monde, selon laquelle
différentes sortes de sons étaient utilisées pour faire lever et déplacer de grosses pierres.
Les pierres pourraient avoir une autre propriété intéressante qui mérite des recherches sérieuses. En 1982, Tafter, le propriétaire de la « Prince of Wales Inn » (Auberge du Prince de Galles) à
Kenfig dans le Mid-Glamorgan, Pays de Galles, se plaignit d’une musique d’orgue et de voix qui le gardait éveillé la nuit.
Pour étudier le problème, John Marke, ingénieur électricien, et Allan Jenkins, chimiste industriel, connectèrent un soir des électrodes aux murs du pub, après la fermeture.
Ils envoyèrent 20.000 volts dans les électrodes et enfermèrent des enregistreurs dans la pièce pendant quatre heures. Lorsque les bandes furent analysées, il fut constaté qu’elles avaient
enregistré des voix parlant en vieux gallois, de la musique d’orgue, et le tic-tac d’une horloge. Il se fait qu’il n’y avait pas d’horloge dans la salle à cette époque. Il a été suggéré que
les pierres du mur contenaient des substances semblables à celles qui se trouvent dans les bandes d’enregistrement actuelles.
Cette dernière remarque à propos “d’enregistrements” dans la pierre nous fait penser à un autre point intéressant.
Tom C. Lethbridge, l’archéologue mentionné plus haut (et qui est devenu par la suite Directeur des Fouilles de la Société des Experts en Antiquités de Cambridge, et Directeur du Musée
d’Archéologie et d’Ethnologie de l’Université ), a écrit de nombreux excellents ouvrages formant un ensemble considéré comme l’une des plus fascinantes collections jamais compilées de comptes
rendus de recherche dans le domaine du paranormal.
Depuis quelques années, Lethbridge commence à être apprécié à sa juste valeur.
Combinant les compétences d’un scientifique avec un esprit totalement ouvert, il a mené une série d’expériences qui l’ont convaincu de l’existence de mondes hyperdimensionnels qui interagissent
dynamiquement avec le nôtre.
Colin Wilson a dit de lui que c’était un homme dont les talents étaient très en avance sur son temps et l’a considéré comme l’un des esprits les plus remarquables et originaux dans le domaine de
la parapsychologie.
Nous approuvons sans réserves et recommandons chaleureusement son oeuvre au lecteur.
Au cours des dix dernières années, et peut-être même davantage, l’oeuvre de Lethbridge nous a servi de plate-forme pour de nombreuses spéculations fructueuses à propos des réalités
hyperdimensionnelles. (voir la suite ici).
Laura Knight-Jadczyk écrit dans ce chapitre que le pendule (ou baguette) semble être « connecté » au mental de celui qui l’utilise, et qu’ainisi Lethbridge découvrait des objets cachés, etc. Il
découvrit alors que la longueur du fil du pendule correspondait à des fréquences différentes.
« La longueur d’onde de l’eau, par exemple, était différente de celle du métal. (…) Il était capable de détecter non seulement des minéraux, mais aussi des choses abstraites comme la colère, la
mort, la tromperie, le sommeil, les couleurs, les genres (mâle ou femelle). Après une longue série d’expériences par essais et erreurs, il rédigea une table de mesures très précises montrant, par
exemple, qu’une longueur de 22 pouces (55 cm) révèle l’existence d’argent ou de plomb, tandis que le fer demande une longueur de 32 pouces (80 cm), mais pour le soufre il n’en faut que 7 (17,5
cm). Plus étrange encore, le pendule réagit à différentes émotions et attributs, avec des longueurs différentes : pour les éléments féminins la longueur du cordon doit être de 29 pouces (72,5
cm), pour les éléments masculins elle doit être de 24 pouces (80 cm), qu’il s’agisse d’objets ou de restes humains ou animaux. Les détails de ses expériences sont absolument fascinants. (…)
D’où vient le pouvoir de travailler au pendule ? Lethbridge pensait qu’il pourrait s’agir de quelque chose d’invisible et d’intangible, une partie de nous-mêmes qui en sait bien plus que nous.
(…) »
« Grâce à de nombreuses expériences, Lethbridge établit que la « fréquence » de la mort et de la colère violente était à 40 pouces (un mètre). Et il découvrit que cette longueur
est aussi la fréquence du froid et du noir. En effet, les couleurs ont des fréquences. Le gris est de 22 pouces (55 cm, ce qui n’est pas surprenant, puisque le gris est également
la couleur de l’argent et du plomb. Pour le jaune c’est 29 pouces (72,5 cm) et pour le vert : 30 pouces (75 cm).
Après des mois d’expériences, Lethbridge avait mis au point sa table des fréquences, et découvert que 40 pouces représentait une sorte de limite. Toutes les substances simples
qu’il avait testées correspondaient à des longueurs de zéro à 40 pouces. C’est alors qu’il découvrit quelque chose de curieux : le soufre réagit à un pendule dont le cordon est de 7 pouces (17,5
cm); s’il allongeait le cordon du pendule jusqu’à 47 pouces (117,5 cm), le pendule réagissait encore au soufre, mais pas directement au-dessus de cette substance. Il n’y réagissait que faiblement
sur un côté. Il se rendit compte que cela était vrai pour tout ce qu’il avait testé et qui réagissait à plus de 40 pouces : il y avait une réaction, mais seulement à côté. Il remarqua encore une
autre chose étrange : au-delà de 40 pouces, il n’y avait pas de fréquence pour le concept de temps. Le pendule ne réagissait tout simplement pas. Lethbridge réalisa
qu’il mesurait en fait une autre dimension. Cependant, quand il allongea le cordon du pendule à 80 pouces (2 mètres), il y eut une réponse à l’idée de temps. Lethbridge médita sur cette
énigme, et émit finalement la théorie que, dans le monde d’au-delà de 40 pouces, le pendule est dans le temps lui-même, et que c’est pour cette raison qu’il n’y a pas de réaction au concept.
Mais, au-delà de cela, il y a d’autres « mondes » où l’idée de temps existe, dans un autre monde « au-delà de la mort ».
Lethbridge découvrit que s’il allongeait encore le cordon au-delà de 80 pouces il obtenait toujours le même résultat, comme s’il y avait encore une autre
dimension. Lethbridge réalisa qu’il avait découvert des mondes mondes d’autres dimensions, en dehors des limites spatio-temporelles, et supposa que nous ne pouvons pas les percevoir parce
que notre corps physique est un détecteur limité.
Tom Lethbridge poursuivit ses expériences et détermina que le monde du niveau « jouxtant le nôtre » est un monde où les vibrations énergétiques sont quatre fois plus rapides que celles de
notre monde. L’effet d’une rencontre avec cette réalité peut être comparé à un train rapide dépassant un train lent. Bien qu’ils avancent tous deux dans la même direction, le train lent
paraît aller à reculons. Ce monde hyperdimensionnel se trouve tout autour de nous, mais nous sommes incapables de le percevoir parce qu’il dépasse la portée de nos sens. Tous les objets de notre
monde représentent très probablement juste notre perception limitée de ce qui se passe dans cette réalité totale.
Malheureusement, Lethbridge mourut des suites d’un infarctus avant d’avoir pu mener ses recherches à bonne fin.
Notons ici que Tom Lethbridge n’était pas un spiritualiste. Il était convaincu que la magie, le spiritisme, l’occultisme et toutes ces « foutaises » n’étaient que des tentatives grossières de
comprendre le vaste univers des énergies cachées, dans lequel nous vivons. Nous voudrions ajouter que les explications issues de la plupart des tendances ésotériques ne servent généralement qu’à
obscurcir, et non pas à révéler; elles servent à désinformer plutôt qu’à diffuser de la vraie connaissance. Tom Lethbridge a eu recours à la logique, à l’observation, et à l’expérimentation pour
arriver à la conclusion qu’il existe d’autres mondes de réalité en dehors de notre propre monde, et qu’il existe des formes d’énergie que nous ne commençons même pas à comprendre. »
L’eau, un lien entre les mondes
Lethbridge étudia également les propriétés de l’eau. Il se rendit compte que certains endroits conservent la « mémoire » d’un évènement. Il fait référence à un lieu où quelqu’un s’était suicidé et qui donnait des frissons et rendait déprimé à chaque fois que l’on passait à cet endroit précis. Il comprit que des sentiments peuvent être « enregistrés » dans l’atmosphère ou dans les objets et que la clé était l’eau. L’eau interagit avec le champ magnétique de la terre.
« Les champs magnétiques sont les moyens par lesquels le son est enregistré sur une bande recouverte d’oxyde de fer. Cela fit penser à Lethbridge qu’un champ magnétique produit par de l’eau
courante pouvait enregistrer les fortes émotions qui (…) déclenchent des activités électriques dans la physiologie humaine. Ces champs pouvaient « être rejoués » continuellement et amplifiés par
temps humide et lourd.
Cela pourrait expliquer pourquoi ces « zones de dépression » semblent former des murs invisibles. Lorsqu’on approche un aimant de plus en plus près d’un objet de fer, on remarque qu’à un certain
point, l’objet est « saisi » par l’aimant alors qu’il entre dans le champ de force. (…) »
Texte en provenance de News of Tomorrow
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