Cette nouvelle récapitulation me permit d’observer plus attentivement l’influence de la spiritualité New Age sur ma vie. Il me fallait me pencher sur le sujet pour pouvoir continuer d’identifier des croyances que j’entretenais encore inconsciemment. Au cours de ce long processus d’écriture, plusieurs de mes anciennes pratiques ont donc fait l’objet d’une remise en question, et de nouvelles informations ont pu être apportées à mes alter.
Aussi, cette enquête m’amena à lever le voile sur une part de moi non humaine de 4e densité, appartenant probablement à la caste prédatrice des Kingú-Babbar. Par son biais, je fus donc invité à reconnaître la polarité dite “sombre” qui m’habite, et à apprendre à ne plus la juger.
La programmation transgénérationnelle
Né en 1990 au milieu de la campagne audoise, j’ai grandi au contact de la nature dans un environnement dans lequel je me sentais épanoui.
Ayant exercé le métier de constructeur et expérimenté la vie au sein d’une communauté hippie pendant une période, mon père m’a inculqué une certaine façon de “vivre simplement”. Il m’a donné l’envie d’explorer les talents de bâtisseur enfouis en moi et par sa manière de travailler, m’a laissé percevoir qu’un rythme soutenu dans une activité manuelle était normal. (Voir à ce sujet : Que cache le bourreau de travail ?)
Ma mère m’a quant à elle davantage invité à m’interroger spirituellement. À côté de son métier d’institutrice, elle accompagnait des jeunes dans leur cheminement au sein de l’École Arcane, école fondée en 1923 par Alice Bailey. Cette dernière, co-fondatrice de l’organisation spiritualiste mondiale Lucis Trust, est une figure importante du mouvement New Age.
Sur le site de cette organisation, je lis : “La formation à l’État de disciple dans le nouvel âge est donnée par l’École Arcane.” Ce n’est que dans le cadre de cette récapitulation que je découvris ce que cette dernière promeut, à savoir : la méditation, l’astrologie, la pleine conscience, la paix dans le monde, le retour du Christ et une nouvelle religion globale pour un nouvel ordre mondial.
(…) l’Homme est appelé́ au cours de son évolution à se libérer du joug de la quarantaine qui a fait partie de son expérience de sa conscience terrestre. L’Homme s’en va quelque part. Ses facultés vont et deviennent grandissantes. Son psychisme va se réveiller à lui. L’Homme va prendre conscience de son intérieur comme il n’a jamais pris conscience avant. Mais il va passer par une phase de transition, une phase très spirituelle, le New Age que moi j’appelle l’Âge du ravage !
Bernard de Montréal – La Psychologie Évolutionnaire, p. 31
Pour revenir à mon histoire, ma mère me parlait finalement très peu de son travail au sein de l’École Arcane, et pour ma part, je n’y portais que peu d’intérêts. Pourtant, sans que j’en aie conscience, beaucoup de mes croyances provenaient d’enseignements qui y sont délivrés, et qui allaient influencer mes comportements et mes choix de vie.
Vouloir changer le monde
Après dix ans de formation intense et traditionnelle auprès des Compagnons du devoir, interpellé par certains comportements sociétaux tels que la surconsommation, l’individualisme ou le manque d’écologie, je fus amené à chercher quelle pouvait être la voie qui participerait à changer le mode de fonctionnement de notre société, tout en correspondant à mes envies profondes.
Ayant à cœur de préserver la nature et l’environnement, sans mettre de côté le compagnonnage, je rejoignis une association de construction paille et me mis à travailler sur des chantiers écologiques.
À cette époque, bien que je ne considérais pas ma vie désagréable, je souhaitais tout de même être plus épanoui et surtout, échapper au stress d’une activité professionnelle chargée et routinière.
Alors en quête de solutions, je m’informais par le biais de vidéos sur le développement personnel ou l’ouverture de conscience. Baignant tout naturellement dans le mouvement New Age de la Haute Vallée de l’Aude, je prenais également part à diverses activités dites alternatives (la permaculture, l’eco-construction, les foires bio, les stages sur le bien-être, le tantrisme, la radiesthésie, le chamanisme etc.) et finissais par assister mensuellement à des conférences clairement inspirées du matériel New Age d’Alice Bailey.
Souvent après ce genre de conférences, je me sentais mieux et reprenais confiance en moi. Mais quelques jours plus tard, cet état disparaissait et je retombais aussitôt dans la routine énergivore de ma réalité quotidienne.
Malgré toutes mes tentatives, impossible de résoudre mon mal-être latent. J’étais pourtant persuadé que vivre l’instant présent et suivre mes envies m’aideraient à incarner mon côté lumineux et donc, à me sentir bien ! Mais force me fut de constater que cheminer de cette façon ne me suffisait pas pour aller mieux ; les joies et les libérations n’étaient que de courte durée.
Persévérant dans ma quête d’épanouissement, je rejoignis des groupes de méditation et découvris que cette pratique pouvait m’être utile pour apprendre à réfléchir calmement, et à prendre du recul sur mes expériences quotidiennes.
Après quoi, me vint l’élan de participer à des méditations pour la paix dans le monde. L’idée était d’envoyer des ondes positives aux horreurs qui sévissent sur la planète, afin de les amoindrir. À cette époque, j’étais loin de me poser la question de savoir où irait cette énergie, ni de quoi il en retournait véritablement.
Mais aujourd’hui, avec le recul, je me suis interrogé : bien que ce procédé puisse donner des résultats, focaliser ma pensée sur ce que “je veux ou ne veux pas”, n’était-ce pas utiliser la loi de l’attraction au profit de mon petit soi égotique ? Ni bien ni mal, cette manière de raisonner et de fonctionner relèverait de la logique du Service de soi, sur laquelle est basé l’ancien monde. M’orienter vers le neuf induisait alors forcément l’apprentissage du lâcher-prise. J’allais devoir apprendre à lâcher le contrôle de l’ego et à me laisser guider par mon intuition profonde et les signes laissés par mon Soi supérieur.
Aussi, au fil des expériences que j’étais amené à vivre, je dus me rendre à l’évidence : la vibration qui émanait de mes champs d’énergie primait sur l’énergie de mes pensées, aussi positives soient-elles.
Ils (les humains) croient encore, puisque cela est toujours largement corroboré par certains physiciens corrompus et stupides, que l’homme crée lui-même sa propre réalité.
Alors qu’en réalité, l’individu attire à lui les conditions de “sa réalité”, telles qu’il les vibre, puisque cette vibration de résonance, inscrite dans les mémoires primitives du génome reptilien, reproduit invariablement et cycliquement, le même genre d’événement. Cahier de l’Ange n°27
Dès lors, changer ma réalité quotidienne passerait inéluctablement par le fait d’apprendre à conscientiser ce qui vibre malgré moi dans mes champs d’énergie. Et pour parvenir à conscientiser mes “bagages inconscients”, il me fallait apprendre à me servir d’un outil : le miroir quantique !
Finalement, je compris que méditer pour la paix revenait à vouloir me donner bonne conscience et à me préoccuper de l’extérieur, en omettant soigneusement de m’employer à ma propre transformation intérieure. De cette manière, l’énergie créatrice de ma conscience s’en retrouvait complètement détournée.
En envoyant de la lumière à autrui avec la volonté de pallier une situation que j’estimais négative, non seulement je faisais potentiellement ingérence dans son expérience, mais je fortifiais mon rôle de sauveur, alors même que j’étais celui que je devais sauver !
Par exemple “envoyer de l’amour” (dans le monde extérieur) n’est-il pas une forme de déni de ce qui se passe à l’intérieur de nous-même ? N’est-ce pas un subterfuge de l’ego afin de se “délester de son miroir” et de rejeter sa responsabilité lorsque l’individu est incapable d’admettre ses propres souffrances ?” Dialogue avec notre Ange n°33
Mais concrètement, comment parvenir à me sauver ? Qu’est-ce que cela voulait dire ?
Tout d’abord, je compris que c’était à moi-même que je devais impérativement envoyer de la lumière, c’est-à-dire de l’information ! Je devais apprendre à m’occuper de moi, autrement dit, de toutes mes parts ou “alter”. Encore “invisibles” pour la plupart, ces derniers allaient pouvoir m’être révélés grâce notamment à l’utilisation du miroir quantique. D’où, son utilité.
De plus, il me fallait comprendre que je n’avais pas à chercher à changer “le” monde, mais à changer “mon” monde ! Me libérer de mes mémoires du passé, voilà ce qui allait me permettre de manifester, avec d’autres, une nouvelle réalité plus “évoluée” en termes de conscience. Et là, revenait ma responsabilité.
C’est finalement en me libérant de mes mémoires que je viens en aide à autrui, puisque – comme le démontrerait l’expérience du centième singe –, la transformation de mon génome aurait un impact bien au-delà de ma propre génétique ! Ceci étant, je n’ai pas à m’en préoccuper puisque je n’ai pas à jouer le rôle de sauveur envers qui/quoi que ce soit ! Ce rôle ou programme ayant pour but de me vider de l’énergie dont j’ai besoin pour effectuer ce fameux travail intérieur.
Quand le mal enseigne
Plongé dans mon enquête, un autre souvenir d’enfance refit surface.
Sur la porte des toilettes de la maison familiale était accroché cet extrait de La Grande Invocation (mantra qu’Alice Bailey affirme avoir reçu d’un “maître de sagesse”) : “Que le Plan d’Amour et de Lumière s’épanouisse, et puisse-t-il sceller la Porte de la demeure du Mal”. Ce commandement ou cet ordre aurait visiblement fini par s’ancrer dans ma psyché, engendrant alors chez moi un certain type de comportement.
Effectivement, je refusais de voir, aussi bien en moi que chez autrui, tout ce que je jugeais “sombre”. S’il m’arrivait d’être investi de colère à l’égard de quelqu’un, j’évitais soigneusement de montrer cette “négativité” afin de renvoyer aux autres une image positive. Les “mauvaises vibrations” étant à bannir, je les mettais sous le tapis. La honte, la peur ou la tristesse restaient également en grande partie dissimulées, puisque j’avais appris à les considérer comme des marques de faiblesse. Au lieu de m’autoriser à les exprimer et d’écouter ce que ce “mal” avait à m’enseigner, je lui fermais tout simplement la porte, comme stipulé dans cette fameuse invocation.
Inconsciemment, j’étais constamment dans le contrôle et le déni de nombreuses parts de moi-même qui, aujourd’hui, demandaient à être reconnues.
Étant donné que dans mes comportements au quotidien, je me voyais coupé de certaines de mes émotions, je m’interrogeais sur une possible programmation à laquelle je serais toujours soumis par le biais d’un de mes alter. Récemment, je tombai sur cet extrait qui me parla :
Les expérimentations Babbar occasionnent des mutations inquiétantes sur leurs sujets Miminu ("gris"). Ils ont trouvé le moyen de neutraliser les commandes chimiques et neuronales de leurs vassaux biologiques, ce qui modifie leurs émotions de façon irrémédiable. Adam Genisis d'Anton Parks, p. 61
Possiblement cette programmation était-elle en rapport avec un alter Gris dont les émotions, selon cet extrait, auraient été génétiquement modifiées par ses maîtres/créateurs généticiens Kingù-Babbar. Intuitivement, je percevais le Gris comme la part de moi qui, suite à la modification de ses émotions, pouvait garder le contrôle dans n’importe quelle situation. Elle appartiendrait peut-être à la caste des soi-disant futurs sauveurs de l’humanité, prostrée dans une attitude de sage à la peau lisse, renvoyant une apparente neutralité émotionnelle.
Petit à petit, le déni concernant mes émotions refoulées commença à se révéler. Une après-midi, je croisai une ancienne connaissance “experte dans le domaine de la spiritualité” avec qui j’eus une courte conversation. Selon cette dernière, me préoccuper de mettre en lumière mes parts sombres ou prédatrices risquait de me desservir.
Grâce à cette rencontre et à l’application du miroir quantique, me furent révélées à la fois les parts de moi qui, par manque d’informations, rejetaient l’idée qu’un prédateur agisse à travers moi, et la peur d’entrer en contact avec ce fameux prédateur ! Je pus alors observer une croyance jusque-là inconsciente : croire qu’en contactant ou en mettant à jour une de mes parts sombres, je risquais de lui donner de la force et de me faire engloutir par celle-ci.
Or, ne serait-ce pas justement le fait de l’accueillir et de tirer leçon de sa “visite” qui me permettrait de me défaire de son emprise ? Voir à ce propos Capsule 13, Les alter, voyageurs de l’Onde.
Par conséquent, cette faculté à communiquer avec les parts dites “sombres” ne serait pas à fuir. Il s’agirait d’une capacité chamanique qui, lorsqu’elle est acceptée et assumée, servirait mon processus de transition vers la 4e densité au Service d’autrui.
En outre, à travers leurs “attaques psychiques”, ces entités pouvaient devenir mes enseignants, à partir du moment où je parvenais à identifier en moi le/les programme(s) obsolète(s) qu’elles me révélaient malgré elles.
À l’époque où je fréquentais le milieu New Age, bien que beaucoup parlaient de prédation et que moi-même j’en avais la notion, il m’était impossible de concevoir que des entités prédatrices puissent vivre à travers moi “grâce” à la génétique.
Dans le cas des entités prédatrices reptiliennes (rappelons que certaines entités reptiliennes ne sont pas prédatrices), personne ne semblait pouvoir dire de façon objective que ces dernières comptent parmi nos ancêtres et géniteurs et que de ce fait, l’humain a hérité de leurs codes génétiques !
Les ancêtres reptiliens, lorsqu’ils seront reconnus en tant qu’être réels, pourront être libérés par vous du rôle qu’ils ont joué. Vous êtes des créatures multidimensionnelles, et une version de vous-même est celle-ci, sur Terre, en tant qu’être humains. Simultanément, dans une autre version de la réalité, vous pouvez également être ces êtres mêmes qui vous ont influencés. Vous pouvez faire l’expérience d’une identité où vous êtes ces créatures et ressentir leur dilemme ainsi que leurs restrictions au sein de leur propre paradigme. À mesure que vos croyances sur vous-mêmes et votre chez-vous seront modifiées, ce qui vous mènera vers une souveraineté nouvelle, vous affecterez vos racines dans toutes les directions – le présent et le futur.
TERRE, Clés Pléiadiennes de la bibliothèque vivante, p. 83
Au départ, l’existence du prédateur en tant que “part de moi” est une information contre laquelle j’ai lutté. Puis, j’ai cru que cet “ancêtre” était en action seulement lorsque je me mettais en colère. Plus tard encore, j’appris que 95 % de mes pensées n’étant pas les miennes, même en étant parfaitement calme, j’avais 95 chances sur 100 d’être manipulé psychiquement par une entité résultant de mon “passé”, qu’elle soit reptilienne, humaine ou autre.
Alors que l’élite sans le savoir reçoit ses ordres à partir du plan astral, c’est les morts qui vous rendent intelligents. C’est les morts qui vous donnent vos idées. C’est les morts qui vous transfèrent de l’information dans le rêve. C’est les morts qui par le rêve vous amènent monsieur Fermi à développer le concept moléculaire de l’atome. Puis les morts sont bien plus actifs chez l’Homme qu’on pense. Si on regardait sur une base de cent pour cent jusqu’à quel point la science de l’Homme aujourd’hui est dirigée par le plan astral, on serait surpris de savoir que c’est au-dessus de 95 %.
Bernard de Montréal – La Psychologie Évolutionnaire, p. 66
Lors du visionnage d’une vidéo de Patricia Darré, une phrase m’interpela : Cette humanité ne pourra jamais accéder à la paix tant qu’on n’aura pas réglé le problème des bourreaux dans l’au-delà. Cette information me renvoya à l’importance du pardon, mais “accorder le pardon” à la sauce judéo-chrétienne n’a aucun sens ! “Par-donner” signifierait reprendre ma part de responsabilité face à ces entités, “moi dans le passé”, qui ne feraient finalement que rechercher l’information c’est-à-dire la lumière, à travers moi, leur hôte ! Ceci, afin de parvenir à changer elles aussi de densité.
Accomplir mon service à autrui prenait alors tout son sens : “autrui” renvoyant aux parts de moi prisonnières du passé.
Fort de toutes ces compréhensions, aujourd’hui, je suis davantage disposé à communiquer avec mes alter. Or, cette communication ne peut avoir lieu que si j’apprends à ne plus les/me juger.
Tant que mon ego juge et donc, rejette ces entités, elles demeurent des prédateurs et je demeure leur proie. Tandis que lorsque j’accepte d’entrer en contact avec elles et donc, de leur donner de l’énergie-information, elles n’ont plus besoin de m’en voler.
Donc désormais, lorsqu’une situation génère en moi des émotions, il me faut saisir l’occasion pour appliquer un nouveau procédé : m’introspecter afin d’identifier la ou les parts cachées dans l’ombre qui s’expriment à ce moment-là, et qui ont besoin de l’information-lumière que je suis à même de pouvoir leur transmettre, pour notre évolution “commune”.
Avec ou sans viande ?
Poursuivant cette récapitulation, j’en vins à l’alimentation et plus particulièrement au végétarisme.
Enfant, j’éprouvais du dégoût en voyant mon père tuer, puis découper un mouton. Arrivé à l’âge adulte, bien que j’aurais été incapable de tuer l’animal moi-même, je consommais de la viande avec plaisir. Puis, petit à petit, je me mis à croire au scénario d’une branche des mouvements écologistes préconisant de la supprimer de notre alimentation, dans le but de réduire la souffrance animale et le réchauffement climatique. Plusieurs influenceurs recommandaient de ne manger que de la protéine végétale, car selon eux, elle était plus adaptée à notre organisme.
Je me suis donc progressivement retrouvé à considérer que manger de la viande était un acte irresponsable. Consentir à tuer un animal pour me nourrir me faisait culpabiliser, sans oublier l’argument du prix qui m’encourageait à en réduire ma consommation. Finalement, “tout était fait” pour me conforter dans la croyance que la viande était à bannir de mon alimentation.
Ainsi, pris au piège de la culpabilité, j’en arrivai à devenir végétarien ! Pourquoi cette nouvelle orientation dans ma psyché et jusque dans mes actes, d’où pouvait-elle bien provenir et à quelle fin ? Ce n’est qu’en enquêtant et en expérimentant que je pus commencer à le découvrir.
Je vis que cette culpabilité par rapport à la souffrance animale, venait toucher la notion même de prédateur. Vu le jugement que j’avais envers le “mal” et le côté “obscur”, il m’était très difficile de reconnaître la part prédatrice en moi qui, pour évoluer, a besoin de se nourrir de l’animal.
En effet, pour mon ego imbibé de spiritualité New Age, cet état de fait entrait en totale contradiction avec les notions de bonté, de bienveillance et de bonnes intentions qu’on lui a inculquées. À travers le végétarisme, mon ego tentait donc à tout prix de se donner bonne conscience.
La génétique de ce que vous ingérez déterminera votre avenir. Si vous ne mangez que du végétal croyant sauver les animaux, votre corps accumulera des données génétiques de “l’âme du végétal” de 2ᵉ densité, vous empêchant de grimper en 4ᵉ densité (puisqu’il manque le palier de 3ᵉ densité !). Vous “terminerez” comme certains Gris avec un système d’absorption d’énergie qui se rapprochera alors du végétal.
Mais si vous acceptez de manger de l’animal (de l’âme-ni-mal), vous absorbez des codes génétiques appartenant à la 3ᵉ densité que vous aiderez alors à grimper en 4ᵉ densité. Ainsi, croire à une alimentation vivante sous prétexte d’une culpabilité sous-jacente et de croyances erronées, est un très mauvais choix pour l’évolution de l’âme.
Les tendances alimentaires d’un individu dépendent donc de son passé génétique et de son présent génétique qui, ce dernier, assemble les briques de son futur génétique. Autrement dit, l’alimentation peut non seulement réparer le "passé génétique" d’un individu (donc ses programmes), mais elle participe simultanément à préparer le cheminement "futur" de l’âme. Cahier de l’Ange N°11
En contrecarrant de la sorte le processus de développement de ma génétique, je brimais donc purement et simplement celui de ma conscience et par conséquent, de mon nouveau futur !
Au fur et à mesure, suite à mes expériences et aux échanges avec d’autres, mes croyances à propos de l’alimentation s’effondrèrent. Aussi, entreprendre des recherches sur la possible désinformation en rapport avec la pratique du végétarisme, permit à mon ego d’apprendre et d’accepter de nouvelles informations, autrement dit, de remettre en question ses/mes certitudes. Voir à ce sujet : Chapitre III de l’Épopée de la Conscience, Dialogue avec notre Ange n°39 ainsi que cet article de SOTT .
Jeux de balle, je(u) de Babbar ?
Après avoir accepté l’information concernant mes “ancêtres” reptiliens, il me parut évident que certains agissements évoqués dans mon texte Sa majesté aux commandes pouvaient me révéler la présence d’un alter prédateur “royal”, un King-ú Babbar de 4e densité SDS.
Dans plusieurs partages écrits, j’avais évoqué mon attirance pour les jeux de balle – le football en particulier – et la compétition en général. J’avais pratiqué ce sport jusqu’à ce que je prenne conscience que les maux physiques et les petits conflits réguliers avec les autres joueurs pouvaient constituer une “alerte”.
En effet, de plus en plus pesantes, ces contrariétés étaient probablement le signe de la présence d’un alter ou d’un comportement à modifier. Toutefois, ne parvenant pas à identifier “qui” se jouait de moi, ni ce que je devais en comprendre, je continuais à satisfaire mon emballement pour le football.
La part de moi réjouie à l’idée de briller en marquant des buts prenait le pas sur tout le reste et m’empêchait de réaliser qu’entretenir cet état d’esprit, faisait de moins en moins sens.
Conscientiser ce comportement issu de programmes – notamment celui du besoin de me valoriser, d’être admiré et reconnu par les autres – ne put se faire qu’en apprenant à développer mon sens de l’auto-observation et à sortir de mes automatismes. Par la suite, la focalisation sur ce sport disparut d’elle-même tandis que je me vis réorienter mon énergie vers des activités non axées sur la compétition.
Mon cheminement se poursuivant, cette attirance excessive que j’avais eue pour les jeux de balle m’offrit un indice supplémentaire concernant cette part de moi Kingú-Babbar. En effet, ce dernier, décrit comme blond aux yeux bleus et particulièrement porté sur la rivalité, serait toujours accompagné de sa balle sphérique lumineuse.
Cette description me renvoyait donc à mon goût pour les balles et les jeux de pouvoir, mais également à mon apparence physique et à mon nom de famille. En effet, “Rivalan” m’indiquait clairement le programme de rivalité encodé dans ma génétique.
Par ailleurs, mon patronyme pouvait également se lire “rival d’An”. Considérant An comme l’archétype de Satan de polarité “SDS-” (le diable ou celui qui divise), le rival d’An serait alors de polarité “SDS+”, notamment représentée par l’énergie d’Enki (Lucifer, le porteur de lumière).
Toujours prisonnier de la dualité, cet archétype SDS+ s’emploierait à combattre son opposé, sans parvenir à s’extraire du jeu imposé par la programmation duelle du Service de soi : les gentils contre les méchants.
Sur le plan humain de 3e densité, cette part d’orientation SDS+ me renverrait alors aux parts de moi programmées par la doctrine New Age, qui se bornent à rechercher la paix et à vouloir incarner l’unité dans un monde duel, en passant outre la transmutation de leur propre dualité.
À ce sujet, cet échange via le site du Réseau LEO me sembla tout à fait opportun :
Question d’un lecteur :
Plus l'égrégore SDA se renforce, plus il met le corpus SDS en difficulté. Leurs réactions ressemblent à ce qui a été vécu à la fin de la deuxième guerre mondiale, lors de la débâcle où le pire s'est manifesté. (...)
Réponse du Réseau LEO :
Un centre de consciences SDA ne mettra pas le corpus SDS en difficulté, il sortira simplement du jeu de la dualité. Alors, qu’ils soient mains stream ou alternatifs, les médias qui nous présentent la situation mondiale relatent un affrontement entre les forces SDS + et les forces SDS - (voir à ce sujet “Petite étude sur les Nephilim”). En effet, ceux qui évoluent vers une conscience SDA, apprennent à ne plus gaspiller leur énergie par un investissement psychologique et émotionnel dans les conflits entre les “bons” et les “méchants”, les laissant ainsi expérimenter leur karma planétaire. (…)
***
Je peux maintenant constater que le mouvement New Age dans lequel j’ai baigné, orchestré et régi par les forces de 4e densité SDS, m’a intentionnellement laissé dans une grande confusion, particulièrement quant à la notion de prédateur. Outre la confusion, cette manipulation de ma psyché m’amena à développer un état de suffisance (notamment en me croyant au sommet de la chaîne alimentaire) et donc, à maintenir ma conscience plafonnée, ignorante des réalités qui régissent notre monde de 3e densité.
Cela dit, mon expérience au sein d’une famille imprégnée de cette philosophie fut sans aucun doute une étape nécessaire. Ma famille m’offrit le contexte propice à mon évolution, celui dans lequel “je”, sur un autre plan, m’étais programmé à vivre. À présent, il est “simplement” temps que je me libère de cette programmation et des croyances qui en découlent, car je n’en ai plus l’utilité.
– Maya semblait savoir quelle tournure prendrait sa vie si elle naissait de ces parents-là.
– Oui, apparemment, avant que nous naissions, chacun de nous a une vision de ce que sa vie peut être, de ce que seront ses parents, ses mécanismes de domination, et même de la façon dont il pourra dépasser ces scénarios préétablis avec ses parents et se préparer à ce qu’il veut accomplir.
La dixième prophétie de James Redfield, p.114
Phénomène inhérent à toute recherche spirituelle, je m’étais toujours débattu avec la notion du bien et du mal, avec ce que mon ego prenait pour “négatif” ou “sombre”, c’est-à-dire avec ma propre dualité. Programmé par défaut à rejeter le prédateur, le fait de conscientiser que le Kingú-Babbar et le Gris seraient des parts de moi auxquelles je suis relié au travers de la génétique, me permit de concevoir puis d’accepter non seulement d’exister sur plusieurs plans simultanément, mais d’y endosser divers “costumes” !
Finalement, je suis aujourd’hui invité à sortir du jugement envers ces différents “costumes” pour pouvoir accueillir tous mes alter, quelle que soit leur polarité. Accepter de porter l’ombre et la lumière est un processus nécessaire avant de prétendre parvenir à les “dépasser” l’un comme l’autre, c’est-à-dire à transcender progressivement la dualité de ma conscience de 3e densité.
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