Il y a quelques mois, j’ai fait le rêve suivant :
« Je suis sur une île avec Lylia. Apparaît devant nous un être sauterelle/mante religieuse, en combinaison spatiale verte. Lylia l’appelle baba, je ne comprends pas. Jenaël apparaît alors et répète BAABAA et là, je saisis. Cet être est un ancêtre. Un passé.
Le décor change, je me retrouve dans un état entre deux, non réveillée et non plongée dans un rêve. Je suis immergée dans le noir, hyper-consciente. Je sens ce même être derrière moi. Il me prend la main droite et l’enfonce dans sa bouche. Il a faim.
Je n’ai pas peur. Je lui dis simplement non, que je suis un être libre et qu’il n’a plus le droit de me manger. Avec mon autre main, je lui écarte les mâchoires pour me libérer. Je prends sa main effilochée dans la mienne et lui dis : maintenant nous allons tous deux cheminer vers la voie SDA. »
Quelques semaines après, j’ai subis une attaque inhabituelle, que j’appelle « le bombardement psychique ». Généralement, la technique « je te vois » marche et me libère de l’hypnose. Ce jour-là, rien n’a fonctionné. Submergée de pensées, de paroles, d’images… J’avais la nuque raide, les yeux dans le brouillard et mon crâne pesait des tonnes. Je ne comprenais pas ce qui se passait et je demandais à la guidance un indice. J’ai trouvé quelques minutes plus tard, une mante religieuse. Le brouillard s’est dissipé d’un coup.
Par la suite, j’ai fait ce rêve :
« Ma mère m’incite à nous occuper de mon jardin intérieur. Elle commence par tout désherber. C’est alors qu’elle soulève dans sa main un être Mante humanoïde en combinaison blanche. Je lui dis : ah, t’as trouvé mon prédateur personnel ! Elle le jette au sol et l’écrase du pied avant de continuer son travail. Là, je vois la mante toujours vivante, monter sur le corps de ma mère, se positionner entre ses yeux et « chausser » ma mère. C’est alors qu’elle effectue un geste précis. Elle s’étire des antennes qu’elle n’a pas. Ma mère sous hypnose fait de même avec ses cheveux. »
La journée précédente, j’avais moi-même fait le même geste devant le miroir. J’étais habitée par le besoin de me faire toute belle, de me sentir séduisante, confiante en ma féminité. J’avais alors remarqué une fourmi qui s’étirait les antennes et j’avais souri parce qu’elle me rappelait moi-même.
Ce nouvel aspect en tête, j’observe ma programmation. De temps à autre apparaît en moi cette énergie : « Je veux captiver le regard ». Je peux la camoufler derrière le « je me fais belle pour moi-même ». C’est faux ! Si c’était le cas, le regard d’autrui ne m’importerait pas. Or, j’observe si je suis observée et je me nourris de l’attention des autres. Plus j’attire le regard, plus je me sens bien. En saisissant qui se cache derrière ce programme, je détecte plus aisément cet aspect chez moi et le contrecarrer devient aisé.
Lors de mes lectures concernant les Mantidaes, ainsi que le visionnage de vidéos, les mots généticiennes et hybridations revenaient quasi constamment. Ce qui m’amène au sujet de ce partage.
Il y a une année, j’avais dévoilé sur le réseau Léo ma culpabilité concernant ma relation avec le Cheikh (Lire : 6. Acter pour exprimer mon choix). Cette mise à nu m’a permis de faire de même avec Anas, mes parents et ma sœur. Le fait de divulguer cette expérience que je condamnais m’a libéré de ma culpabilité. Cette libération s’est reflétée sur mon physique par l’atténuation de la mycose vaginale dont je souffrais continuellement et le retour à la normale de mon cycle menstruel qui s’était déréglé pendant de nombreux mois, durant 40 jours environ. Mycose (ma cause ou ma faute), cette prolifération était liée à ma culpabilité que je traînais et que j’alimentais. Aidée d’un régime tantôt cétogène, tantôt hypoglucidique, la mycose avait presque disparu ne revenant que rarement.
J’ai commencé à noter l’apparition épisodique de la mycose. Je ne comprenais pas pourquoi elle revenait. C’est alors qu’un schéma s’est révélé. Dans les trois jours avant l’apparition de la mycose, j’ai un rêve érotique.
Je commence alors à faire très attention avant de dormir, de me rappeler moi-même, parce que celle que je deviens en rêve est radicalement différente de celle que je suis tous les jours. Je me répète de refuser de fournir mon énergie, de ne pas jouer le jeu de la prédation. C’est alors que les choses se corsent.
Après quelques nuits d’échec, je fais le rêve suivant :
« Je suis dans une pièce, avec du public autour. Je suis avec un homme et nous devons coucher ensemble, mais voilà, aucun de nous deux ne veut le faire. C’est alors que je sens cette peur nous envahir, si nous ne le faisons pas, une présence invisible que je détecte, fera du mal à nos proches. Nous le faisons et je sens la présence invisible me toucher. Je vois ma chair s’écraser sous des mains invisibles. Je dis à mon partenaire qu’ «IL» est là ! »
Au moment de l’orgasme, je suis à moitié réveillée et je sens cette présence au-dessus de moi, aspirer l’énergie. Saisissant que je venais de me faire avoir, encore une fois, la colère me submerge. Je me rendors et je fais un autre rêve :
« Un homme se déguise en vache et part coucher avec son troupeau de vaches, car c’est là la manière de procéder pour récolter du lait. L’orgasme des vaches est le lait. Ce lait est essentiel pour lui et surtout pour sa progéniture. »
Je me réveille, mais impossible de bouger. Je suis paralysée. Je les entends parler dans ma tête. Des prédateurs qui rigolent. Ils me susurrent des choses et mon corps réagit. Je suis submergée par la peur.
A ce moment, nous sommes plusieurs « moi/alter » dans ma tête. Une « moi » commence à prier (réciter le coran), une autre « moi » lui dit : oui, vas-y appelle Anu et ses sbires, ouvre-leur plus la porte ! Celle qui prit se tait. Un autre « moi » nous propose d’appeler la guidance pour nous aider. La « moi » très terre-à-terre lui répond : on ne sait même pas ce qu’est cette guidance, se peut très bien être « eux » déguisés. Bref, je suis paralysée et bloquée par cette peur-induite, et je me sens seule, sans le moindre refuge.
Là, j’entends, distinctement, l’un des prédateurs (un reptilien que je commence à connaître) me parle en ces mots : « Allez rendors toi, jamais tu ne parviendras à te lever ! » et il ricane.
Sa remarque réveille ma colère et je me lève. Je saute carrément du lit.
Je trouve mon téléphone qui clignote, j’ai reçu deux mails la nuit :
- Le premier envoyé par un site : « Fermez les yeux, n'écoutez QUE ma voix ! On vous hypnotise en Direct ce lundi soir orsula :-) » ; exactement ce qui venait de se passer. J’avais essayé de résister et de refuser d’être un « buffet libre-service », je n’avais même pas réussi qu’ils passaient à l’attaque directe.
- Le second était la Léo news : J’entre et je lis les partages et là j’ai comme une évidence. Connecte-toi à l’unité tribale Léo ! Je ne suis pas seule. Bien évidemment, le matin, je perds cette confiance et les doutes reviennent : tu es à des milliers de Km d’eux ; il leur a fallu du temps pour interagir ensemble physiquement pour former cette tribu et toi du soir au lendemain, boom, intégrée, tu rêves !
Je prends conscience que pour la prédation, pour ce « reptile déguisé en gris » que je vois de plus en plus, je suis une vache laitière de son troupeau. Monsieur couche avec nous ou du moins nous manipule pour qu’on fournisse sa pitance. Sa progéniture ne peut survivre sans notre énergie.
Suite à cela je remarque un autre aspect de la manipulation des prédateurs.
Le rêve suivant est le déclencheur :
« Je suis avec un homme en plein acte quand il éjacule en moi. Je me lève en affirmant que « je n’ai jamais donné mon accord pour être fécondée ! ». Je pars dans la salle de bain et me lave pour enlever le sperme en répétant « non, non, non ». A ce moment, se passe un étrange phénomène. Mon environnement me paraît d’un coup pixélisé. Les pixels changent de couleur et je me retrouve dans ma chambre. Ma voix dans ma tête me dit que j’étais dans ma chambre depuis le début. Je commence à me détendre et à la croire quand apparaît sous mes yeux une barre biscuit dont le nom est « Néosperm ». Tout me revient en tête et je me réveille. »
Deux jours plus tard, la mycose est revenue.
En essayant de faire le lien entre ce type de rêve et la mycose, je me rappelle avoir entendu Sand en parler dans la vidéo « Partage à 4 à Cassaigne ». Cette fois-ci, je la re-visionne en étant plus attentive. Leur échange me renvoie à un autre rêve :
« Je suis dans un village, j’ignore ce que j’y fait, mais je l’explore. C’est un village en noir et blanc. Alors que j’observe les gens qui y habitent, nous sommes tous paralysés. Je suis projetée hors de mon corps et j’observe la scène du dehors. Trois hommes (en costumes cravates comme le film l’Agence) apparaissent, ils nous étudient. Une lumière scanne les lieux de haut en bas. Cette lumière révèle sur mon corps une sorte d’armure féline, poitrail et masque. Ils s’approchent et l’un d’eux fait la remarque : « ça, ce n’était pas prévu ! ». Un autre lui répond qu’il va tout réparer. Il traîne mon corps comme un objet et commence à le triturer au niveau génital. Je sens ce truc fin s’introduire en moi et je reviens dans mon corps au moment de l’orgasme. Je reprends le contrôle, je lui dis « je t’offre cette énergie », lui fais un bisou sur la joue, me lève et me sauve en courant. »
J’ignore en quoi me triturer au niveau génital peut me garder dans les rangs. Peut-être est-ce une question d’énergie. Une faible énergie dans le corps amoindrit la capacité à faire des liens, à résister à l’hypnose…
Concernant le « Néosperm », j’ai envisagé la possibilité qu’ils utilisent mon ADN pour des manipulations, ou peut-être m’utilisent-ils comme un utérus sur pattes ? En faisant des recherches sur le sujet, je constate que les femmes sujettes à ce type d’expériences sont communément appelées « incubatrices », je remarque aussi que ces entités ont besoin de l’accord de la personne pour effectuer leurs expériences. Cet accord est souvent soutiré par la ruse, généralement à cause de la crédulité accablante de l’humain et surtout de ses failles émotionnelles.
Le rêve qui suit peut révéler comment je me suis faite avoir :
« Je me retrouve sur une plage, je suis perdue, mon pied s’enfonce dans une tanière sous le sable. Je casse plusieurs œufs. Je me rends compte que c’était le nid d’un reptile. Le mâle hurle et je suis paniquée, je m’enfuis parce que je sais qu’il va me tuer. Ce reptile ressemble à un comodo sur 2 jambes. J’observe au loin des « scientifiques » qui se tiennent sur des rochers hors de l’eau et examinent la vie marine. Je sais que seuls eux peuvent m’aider. Quand je parviens à leur niveau, je leur explique ce qui vient de se passer, que je ne veux pas qu’il me tue et que je suis prête à porter ses œufs. Je leur demande de changer le reptile en humain, lui de me changer moi en reptilienne, et on se chamaille là-dessus.
Le temps passe, je suis toujours humaine, dans une installation sous la glace. J’ai « pondu » des centaines d’embryons qui au moindre dérèglement de température meurent. »
Les « scientifiques » me paraissent être les opérateurs de la 4ème densité. Ils observent la vie sous-marine, immergée dans l’émotionnel, la 3ème densité. Si je me fie à ce rêve, par peur et crédulité, je me suis proposée pour le rôle d’incubatrice au service de ce mâle reptilien.
Le problème avec les rêves, c’est que je ne peux pas être certaine qu’ils n’ont pas été induits. Peut-être est-ce le cas ? Ou peut-être mon inconscient me montre-t-il de manière rapide que l’accord, je l’ai donné volontairement ? Supposons que ce soit vrai, maintenant que mes œillères commencent à laisser filtrer la réalité, je peux retirer l’accord donné. Je peux dire « stop », j’arrête cette expérience !
Le 2 février 2020, je fais le rêve suivant :
« Je suis dans une salle d’hôpital. Cette installation je la reconnais et elle me parait être une co-création entre moi et eux. Je suis à la fois, allongée physiquement sur un lit et suspendue, en conscience, dans les airs à regarder la scène. Je sens des présences invisibles autour du lit. Je relève ma jambe et je leur dis qu’ils peuvent injecter le sperme. Celle qui est allongée est consentante. Le sperme n’est pas humain.
Celle qui flotte retourne dans le corps et s’assied pour empêcher le sperme de la féconder.
Je me retrouve dans une chambre d’hôpital que je reconnais comme « ma chambre ». Je commence alors à répéter « non », « enlevez-moi ça », « je retire mon accord », « je vous ordonne de tout enlever ». Je tourne autour d’une table et je répète la même chose, avec volonté, sans peur. Et je sais qu’ils m’écoutent.
J’ai un poster d’hôpital dans la chambre, l’image dessus change. Apparait alors celle d’une femme. Je comprends que c’est ma radio. Je vérifie l’utérus. Il n’y a rien dedans. Ils ont tout enlevé. Je continue de regarder le reste du corps quand je trouve 3 taches sombres sur mon front. Je me rends compte qu’ils triturent mon crâne.
A ce moment, ma conscience est de nouveau projetée hors de mon corps. Je perçois dans une autre chambre ma sœur. Elle s’endort et ils la fécondent. Son ventre gonfle au cours de la nuit. Le matin, elle se réveille en accouchant. Une immense détresse s’échappe d’elle, elle est paniquée. Elle se dirige vers la salle de bain et je retourne dans mon corps pour la rejoindre.
Elle est livide, squelettique et en sueurs. Elle tient le gros bébé, bien portant, dans ses mains tremblantes. La détresse qui s’échappe d’elle n’est pas due à un besoin d’aide ou autre, mais simplement parce qu’elle « ne comprend pas ».
Je prends l’enfant dans mes bras et lui répète avec force « cet enfant n’est pas le tien ! ». Je constate que le cordon le lie toujours à elle et je refuse de lui rendre le bébé pour chercher une paire de ciseaux. Je lui dis que je vais appeler maman. Ma mère aussi est dans l’installation. »
De ce rêve, je constate que je peux retirer tout accord donné. Que j’ai une implantation ou programmation limitante (ce n’est pas nouveau). Que ma sœur, ma mère et moi, servons peut-être d’incubatrices pour eux.
Quand je remonte l’histoire familiale, ma grand-mère souffre de mycoses vaginales depuis toujours, ma mère a subi une hystérectomie à la quarantaine, ma sœur a des problèmes hormonaux qui font que son cycle menstruel disparaît et moi j’ai eu des cycles longs et des mycoses. Un autre point, lorsque j’ai révélé l’histoire avec le cheikh à ma mère, elle m’a avoué qu’il avait essayé de faire de même avec elle, qu’elle s’était enfermée toute la nuit dans la salle de bain et que le lendemain il l’avait baratiné et elle l’a cru. Ce même cheikh qui insiste sur le fait d’enfanter avec nous. Pourquoi ? N’est-il pas simplement très en lien avec son prédateur, et ramène en bas ce qui se déroule en haut ?
En tous cas, je ne veux plus jouer le jeu de la prédation. Ma volonté est telle que je m’endors en mode guerrière. Dire Non, refuser, me libérer ! Puisque je surveille ces portes, la prédation en a utilisé une autre que je ne voyais pas.
Voici le rêve :
« Je suis sur une plage et je vois un vaisseau qui s’écrase. Dedans, il y a un gris en mauvais état. Je dis aux autres de ne pas l’approcher. Il me dégoûte. C’est alors que cet être enlève le gris comme s’il enlève une combinaison. Se révèle dessous un corps d’homme. Il est allongé sur le sable et je suis à genoux à ses côtés. Je remarque alors ses yeux. Ceux d’un reptile.
Je suis fascinée par lui. Je le reconnais et je suis follement amoureuse. Je me propose alors de lui offrir mon énergie pour l’aider à guérir. J’ai peur que des humains le trouvent et lui fassent du mal. Il n’est pas inquiet. Je lui demande si c’est parce qu’il sait qu’à la tête des humains se trouvent les reptiles ? Il sourit. »
Je me réveille avec cette sensation « amoureuse » dans le ventre. Heureusement, j’avais déjà lu le partage d’Hélène « Chapitre 14 - Comment diable, l'Ange m'enseigne-t-il ? » et celui de Yakout et Fred « 2. Se défaire de l’emprise de nos « Corbeaux » et faire grandir notre partie SDS+ ». Donc je coupe court cette sensation. Pas question qu’il s’engouffre par-là ! Cependant, couper une fois ne suffit pas. Si je ne fais pas attention, cette fascination revient très ténue, comme un fin filet encré dans mon corps.
Cela fait plus de deux mois que la mycose est absente. Je continue de surveiller mes rêves et les réactions de mon corps. Une chose est sûre, pas question d’être une vache laitière, une incubatrice ou même une groupie à la merci de la prédation. J’ignore ce que les opérateurs SDS trouveront comme nouvelle manœuvre, mais… comme disent les Cassiopéens :
« Attendez-vous à des attaques »
« Apprenez à les reconnaître »
« Parez les attaques »
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