Bonjour à tous
Je vous propose un texte que j'avais trouvé "par hasard" il y a plus d'un an sur internet. Je l'ai beaucoup partagé à l'époque autour de moi parce qu'il me semblait d'une grande justesse , et que
j'avais éprouvé les écueils de la peur du changement, de la victimisation et de l'amertume , entre autres "bonnes excuses", je savais donc que ça disait vrai. Et très honnêtement ça arrive encore
aujourd'hui... mais je veille... :-)
Quand j'ai partagé ce texte (je l'ai diffusé partout, amis, famille, réseaux sociaux) j'ai constaté qu'il était reçu majoritairement avec une grande froideur, en fait il ne met pas les gens en colère
, soit ils le zappent, soit ils refusent de faire le lien entre leurs "maladies" et leur processus de pensée, de fonctionnement : "c'est idiot ! On ne choisit pas d'être malade, et tout ceux qui le
sont rêvent de guérir".
Je ne leur ai donné ni tort, ni raison :-) , parce que c'est vrai que "la guérison est très désagréable", mais quand on a entamé cette volonté, faire machine arrière est bien pire que désagréable
.Mais comment l'expliquer à qui ne veut pas encore entendre ? Chacun son rythme !
Bien cordialement
Muriel
"Pourquoi les gens ne guérissent pas ? de Maria de los Ángeles Rodeiro .
Un médecin intuitif partage avec nous sa vision unique de la raison pour laquelle les gens ne guérissent pas. Il a longtemps pensé que tout le monde voulait être guéri. Mais il a fini par se rendre
compte que « la guérison était très désagréable ! »
Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passé, de cesser d’être une victime, et la peur du changement. Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se
fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.
La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures. Ce médecin dit que la seule raison de nourrir et de garder le passé vivant,
c’est l’amertume de ce qui s’est passé.
Refuser de pardonner à un évènement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites. Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres
pour les blessures qu’ils ont causées.
Il a plus à voir avec la liberté de la personne qui se perçoit comme une victime.
Quand nous arrivons à voir un évènement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet évènement reflue vers les circuits
énergétiques de notre corps physique.
Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime. Trop souvent, les gens obtiennent du pouvoir sur les autres grâce à leurs blessures parce qu’ils ont
trouvé que ça leur apportait du soutien. Les blessures deviennent alors un moyen de manipuler et de contrôler les autres.
La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. Le changement peut être effrayant !!!
Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous
savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…
Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des
changements et de se sentir vivant à nouveau.
La guérison nécessite une action. Manger, l’exercice quotidien, prendre le bon médicament produisent des changements sains dans le physique.
Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.
Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’énergie sont intimement liées.
Même le processus de la mort auquel nous sommes tous confrontés, peut devenir un acte de guérison des vieilles blessures qui se libèrent en résolvant les questions laissées en suspens avec ses
proches."
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Muriel (dimanche, 24 juillet 2016 09:53)
Bonjour à tous
Je vous propose un texte que j'avais trouvé "par hasard" il y a plus d'un an sur internet. Je l'ai beaucoup partagé à l'époque autour de moi parce qu'il me semblait d'une grande justesse , et que j'avais éprouvé les écueils de la peur du changement, de la victimisation et de l'amertume , entre autres "bonnes excuses", je savais donc que ça disait vrai. Et très honnêtement ça arrive encore aujourd'hui... mais je veille... :-)
Quand j'ai partagé ce texte (je l'ai diffusé partout, amis, famille, réseaux sociaux) j'ai constaté qu'il était reçu majoritairement avec une grande froideur, en fait il ne met pas les gens en colère , soit ils le zappent, soit ils refusent de faire le lien entre leurs "maladies" et leur processus de pensée, de fonctionnement : "c'est idiot ! On ne choisit pas d'être malade, et tout ceux qui le sont rêvent de guérir".
Je ne leur ai donné ni tort, ni raison :-) , parce que c'est vrai que "la guérison est très désagréable", mais quand on a entamé cette volonté, faire machine arrière est bien pire que désagréable .Mais comment l'expliquer à qui ne veut pas encore entendre ? Chacun son rythme !
Bien cordialement
Muriel
"Pourquoi les gens ne guérissent pas ? de Maria de los Ángeles Rodeiro .
Un médecin intuitif partage avec nous sa vision unique de la raison pour laquelle les gens ne guérissent pas. Il a longtemps pensé que tout le monde voulait être guéri. Mais il a fini par se rendre compte que « la guérison était très désagréable ! »
Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passé, de cesser d’être une victime, et la peur du changement. Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.
La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures. Ce médecin dit que la seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé.
Refuser de pardonner à un évènement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites. Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées.
Il a plus à voir avec la liberté de la personne qui se perçoit comme une victime.
Quand nous arrivons à voir un évènement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet évènement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.
Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime. Trop souvent, les gens obtiennent du pouvoir sur les autres grâce à leurs blessures parce qu’ils ont trouvé que ça leur apportait du soutien. Les blessures deviennent alors un moyen de manipuler et de contrôler les autres.
La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. Le changement peut être effrayant !!!
Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…
Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.
La guérison nécessite une action. Manger, l’exercice quotidien, prendre le bon médicament produisent des changements sains dans le physique.
Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.
Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’énergie sont intimement liées.
Même le processus de la mort auquel nous sommes tous confrontés, peut devenir un acte de guérison des vieilles blessures qui se libèrent en résolvant les questions laissées en suspens avec ses proches."